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Hep 18 4e

Published by vgu08417, 2020-06-06 10:12:12

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Dossiers cliniques Dossier clinique 30 Dossier clinique 31 Principaux items abordés Principaux items abordés Item 280 – Constipation chez l'enfant et l'adulte (avec Item 280 – Constipation chez l'enfant et l'adulte (avec le traitement) le traitement) Item 281 – Colopathie fonctionnelle – Syndrome de Item 284 – Diverticulose colique et diverticulite aiguë l'intestin irritable du sigmoïde Item 284 – Diverticulose colique et diverticulite aiguë Item 285 – Pathologie hémorroïdaire du sigmoïde Item 298 – Tumeurs du côlon et du rectum Grille d'évaluation Grille d'évaluation N° Réponses Points N° Réponses Points 1 Syndrome de l'intestin irritable 10 1 A, B, C, E 10 2 Coloscopie 10 2 Résultat du toucher rectal 15 3 Antispasmodique 10 3 A, B 10 4 Laxatif osmotique ou mucilage 10 4 B 15 5 5 ans 10 5 A, B, C, E 8 6 Diverticulite sigmoïdienne ou sigmoïdite 10 6B 15 diverticulaire 7 C, E 7 8 Fissure anale 20 7 Scanner abdominal 10 100 Total Avec injection 10 Et opacification colique 5 8 Antibiothérapie double 5 478 Amoxicilline + acide clavulanique 5 Associée à une quinolone ou métronidazole 5 Total 100

37CHAPITRE 37 QI 479 Questions QI 4 Entraînement QI 1 Parmi les propositions suivantes, quelles sont les trois exactes concernant la physiopathologie du syndrome Parmi les propositions suivantes, quelles sont les trois de l'intestin irritable ? exactes concernant la dysphagie ? A les symptômes peuvent être dus à une hypersensi- A toute dysphagie impose la réalisation d'une endos- bilité viscérale copie œsogastroduodénale B les troubles de la motricité digestive sont exclusive- B en cas de compression extrinsèque de l'œsophage, ment coliques la dysphagie prédomine sur les liquides C les troubles moteurs sont favorisés par le stress C une dysphagie de cause organique est le plus sou- D un syndrome de l'intestin irritable peut faire suite à vent intermittente une gastroentérite D une dysphagie peut être en rapport avec une infil- E le microbiote intestinal est en général normal tration de la muqueuse œsophagienne par des QI 5 polynucléaires éosinophiles E la dysphagie prédomine souvent sur les liquides en Parmi les propositions suivantes, quelle est celle exacte cas d'achalasie concernant la diverticulose colique ? A elle touche exclusivement le côlon gauche QI 2 B elle est due à une alimentation trop riche en fibres C elle est symptomatique chez la majorité des malades Parmi les propositions suivantes concernant la D elle est plus fréquente chez les sujets âgés ­dysphagie dans l'achalasie, quelles sont les deux E elle favorise la survenue d'un cancer colique exactes ? A est progressivement croissante pour les solides puis QI 6 les liquides Parmi les propositions suivantes, quelles sont les deux B peut être intermittente au début de l'évolution exactes concernant la diverticulite ? C n'est pas constamment associée à une perte de A elle se traduit habituellement par une diarrhée B elle peut être favorisée par un traitement par anti- poids D ne s'associe jamais à des symptômes de reflux inflammatoires non stéroïdiens C elle peut se compliquer d'un abcès péricolique gastro-œsophagien D son traitement médical repose sur les désinfectants E n'est jamais douloureuse intestinaux QI 3 E une résection de la zone diverticulaire enflam- Parmi les options thérapeutiques possibles suivantes, mée doit être proposée dès le premier épisode de quelles sont les deux exactes dans l'achalasie ? diverticulite A la prescription d'anticholinergiques B la cardiomyotomie QI 7 C la prescription d'antispasmodiques D la résection chirurgicale du tiers inférieur de Parmi les situations suivantes, quelles sont les trois qui peuvent compliquer une diverticulose ? l'œsophage A rectorragies E la dilatation pneumatique du cardia B méléna C péritonite Hépato-gastro-entérologie © 2018, Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés

QI D volvulus sigmoïdien D le traitement par IPP est efficace dans plus de 90 % E fistulisation dans la vessie avec pneumaturie des cas sur les symptômes de RGO QI 8 E un traitement par IPP en continu est systématique en cas d'endobrachyœsophage Chez un homme de 26 ans sans antécédent particu- QI 13 lier qui consulte pour un pyrosis intermittent et isolé, quel examen prescrivez-vous ? Parmi les propositions suivantes, quelles sont les deux A endoscopie digestive haute exactes concernant la constipation fonctionnelle ? B pHmétrie œsophagienne A on parle de constipation lorsque le transit n'est pas C manométrie œsophagienne quotidien D traitement symptomatique sans exploration B une constipation peut être liée à un trouble de la E transit baryté œsophagien statique rectale C la coloscopie est indispensable chez tous les QI 9 malades pour affirmer le diagnostic de constipa- tion fonctionnelle Parmi les situations suivantes, indiquez les trois qui D l'apport quotidien en fibres pour soulager une favorisent la survenue d'un reflux gastro-œsophagien. constipation doit être de 5 g/j A grossesse E les laxatifs osmotiques sont le traitement médical B achalasie de 1re intention C sclérodermie D obésité QI 14 E traitement antiparkinsonien Parmi les médicaments suivants, quels sont les trois QI 10 qui peuvent provoquer une constipation ? A sulfate de magnésium 480 Parmi les examens suivants, quels sont les deux B opiacés C amoxicilline qui vous permettent le diagnostic positif de reflux D antidépresseurs E sels de fer gastro-œsophagien ? A manométrie œsophagienne B scanner thoracique C impédancemétrie œsophagienne QI 15 D échoendoscopie E pHmétrie œsophagienne Parmi les propositions suivantes, quelles sont les trois exactes concernant la hernie hiatale ? QI 11 A toute hernie hiatale par glissement se complique d'un reflux gastro-œsophagien Parmi les propositions suivantes, quelles sont les trois B une hernie hiatale peut être à l'origine d'une ané- exactes concernant le reflux gastro-œsophagien ? mie ferriprive A il peut être acide ou non acide C l'étranglement est la complication de la hernie hia- B il est favorisé par les relaxations transitoires du tale par roulement sphincter inférieur de l'œsophage D l'âge n'influence pas la fréquence de la hernie C il se complique d'œsophagite dans 50 % des cas D l'endobrachyœsophage correspond à une méta- hiatale E toute hernie hiatale doit être opérée plasie intestinale du bas œsophage favorisée par le reflux QI 16 E il est prévenu par un traitement anticalcique QI 12 Parmi les propositions suivantes, quelles sont les trois Parmi les propositions suivantes, quelles sont les deux exactes concernant le syndrome de l'intestin irritable ? exactes concernant le traitement du reflux gastro- A la douleur abdominale est calmée par l'émission de œsophagien (RGO) par inhibiteurs de la pompe à pro- tons (IPP) ? selles A ils doivent être prescrits à demi-dose en 1re intention B la douleur abdominale est souvent matinale ou B un RGO nocturne justifie une prise d'IPP plutôt le postprandiale soir avant le dîner C dans les formes avec diarrhée, la diarrhée a les C le traitement par IPP se fait à la demande en cas caractères d'une diarrhée de malabsorption d'œsophagite D la coloscopie est indispensable chez tous les malades pour affirmer le diagnostic E les antispasmodiques sont proposés comme traite- ment de 1re intention

QI 37 QI 17 D la forme clinique dysentérique aiguë constitue la 481 présentation clinique habituelle Devant des ulcérations iléales (iléite aiguë), quels sont Entraînement les trois principaux diagnostics ? E le traitement probabiliste est licite devant une diar- A amibiase intestinale rhée au retour d'un pays d'endémie B yersiniose C maladie de Crohn QI 22 D tuberculose intestinale chez les immigrés non Parmi les affirmations suivantes concernant la diar- vaccinés rhée du voyage, lesquelles sont vraies ? E rectocolite hémorragique A peut toucher jusqu'à un voyageur sur deux B correspond le plus souvent à une infection intesti- QI 18 nale virale Parmi les propositions suivantes, quelles sont les C est le plus souvent bénigne complications potentielles d'une maladie de Crohn D doit faire évoquer un accès palustre en pays d'en- colique étendue ancienne ? A sténoses démie lorsqu'une fièvre s'y associe B cancer rectocolique E est dite prolongée lorsqu'elle dure plus d'un mois C malabsorption des micronutriments D fistules QI 23 E abcès Parmi les mesures suivantes, quelle(s) est (sont) celle(s) QI 19 que le traitement de 1re  intention de la diarrhée du voyageur doit comporter ? Parmi les propositions suivantes concernant la giar- A antiseptiques intestinaux diose, quelles sont les deux exactes ? B hydratation A est une cause fréquente de diarrhée du voyage C apport en glucose B est rare dans les pays développés D antibiotiques C doit faire rechercher un déficit immunitaire dans sa E apport en sodium forme chronique QI 24 D est responsable d'une diarrhée hémorragique E est presque toujours diagnostiquée dès le premier Parmi les entités cliniques suivantes, lesquelles ne peuvent pas être tenues pour responsables d'une véri- examen parasitologique standard des selles table diarrhée chronique ? A hyperthyroïdie QI 20 B débâcles diarrhéiques sur fond de constipation C maladie cœliaque Parmi les propositions suivantes concernant le ténia- D évacuations répétées du syndrome rectal sis, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? E incontinence anale permanente isolée A peut se transmettre par l'ingestion de viande QI 25 bovine bien cuite « brune à cœur » B est une des causes possibles d'hyperéosinophilie Parmi les éléments sémiologiques suivants, le(s)quel(s) caractérise(nt) la diarrhée motrice ? chronique A les selles sont régulièrement réparties sur le C est souvent révélé par la présence d'anneaux dans nycthémère les sous-vêtements B les selles nocturnes sont fréquentes D peut être responsable d'asthénie et de perte de C la présence de résidus alimentaires non digérés est poids souvent notée par les patients E doit être traité en 1re intention par le métronidazole D la perte de poids est fréquente E un certain degré d'impériosité des selles est QI 21 habituel Parmi les affirmations suivantes concernant l'amibiase intestinale, quelles sont les deux exactes ? QI 26 A l'amibiase intestinale est due à Entamoeba Les intoxications par toxines produites préalablement dispar à l'ingestion des aliments peuvent être dues auxquels B le mode de transmission habituel de l'amibiase est de ces germes ? : A Bacillus cereus féco-oral B Salmonella typhi C la recherche de formes végétatives d'amibes fait partie de l'examen parasitologique standard des selles

QI C Escherichia coli entérotoxinogènes D terrain de valvulopathie cardiaque opérée D Staphylococcus aureus E déshydratation sévère E Candida albicans QI 27 QI 31 Parmi les propositions suivantes, quelles sont les trois Parmi les propositions suivantes, quelles(s) est (sont) qui réduisent le risque de dissémination des infections la (les) mesure(s) que doit comporter le traitement de alimentaires ? toute diarrhée aiguë ? A hygiène des mains A antiseptiques intestinaux B filtration systématique de « l'eau du robinet » dans B réhydratation C apports alimentaires importants en glucose/ les pays développés C respect des règles de conservation des aliments amidon D respect des règles de préparation des aliments D apports alimentaires en sodium E achat des fruits et légumes sous emballages E conseils d'hygiène plastiques QI 32 QI 28 Parmi les propositions suivantes concernant l'aspect du kyste biliaire simple, quelle(s) est (sont) celle(s) exacte(s) ? Parmi les propositions suivantes concernant les toxi- A parfaitement homogène infections alimentaires collectives, quelles sont les B parfaitement anéchogène avec un renforcement trois exactes ? postérieur des échos à l'échographie A sont définies par au moins 10  cas groupés simi- C hypodense sur les images de tomodensitométrie laires d'épisodes digestifs dont on peut rapporter sans injection la cause à une même origine alimentaire D fortement hyperintense sur les séquences d'IRM B doivent être déclarées aux autorités sanitaires pondérées en T2 C peuvent être dues à Escherichia coli E avec une paroi décelable avant et après injection 482 entérohémorragique de produit de contraste D sont en général véhiculées par l'eau E peuvent faire courir un risque vital en fonction du QI 33 germe et du terrain QI 29 Parmi les propositions suivantes concernant l'adénome hépatocellulaire, quelle(s) est (sont) celle(s) exacte(s) ? Parmi les propositions suivantes concernant les diar- A le diagnostic nécessite une biopsie hépatique rhées aiguës, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? B est une tumeur bénigne A sont définies par l'évacuation de plus de 4  selles C est favorisé par la prise prolongée de contraceptifs liquides par jour depuis moins de 2 semaines oraux B sont habituellement bénignes et résolutives en D une transformation maligne est possible E ne nécessite aucun suivi moins de 3 jours C représentent un motif de consultation très fré- QI 34 quent en médecine générale Parmi les propositions suivantes concernant l'héman- D peuvent être graves en cas de déshydratation giome hépatique, quelle(s) est (sont) celle(s) exacte(s) ? A est une tumeur bénigne importante et dans le cas de germes et de terrains B est très rare particuliers C est hyperéchogène à l'échographie E ne nécessitent pas dans la majorité des cas en D est parfois multiple 1re intention la prescription d'examens biologiques E est à surveiller dans tous les cas et de traitements anti-infectieux QI 30 QI 35 Au cours d'une diarrhée aiguë, dans le(s)quel(s) de Parmi les propositions suivantes concernant le carcinome ces cas la réalisation d'examens biologiques est-elle hépatocellulaire, quelle(s) est (sont) celle(s) exacte(s) ? nécessaire ? A se développe presque toujours sur une maladie A diarrhée sous antibiotiques s'accompagnant de chronique du foie fièvre B au cours de la cirrhose, l'incidence du carcinome B syndrome dysentérique C fièvre inférieure à 38,5 °C et vomissements hépatocellulaire est de l'ordre de 2 à 5 % par an

QI 37 C est vascularisé exclusivement par la veine porte C syndrome de Budd-Chiari 483 D l'augmentation de l'alphafœtoprotéine est un D syndrome néphrotique E tuberculose péritonéale Entraînement marqueur très sensible et très spécifique de cette tumeur QI 41 E un taux d'alphafœtoprotéine >  50  ng/mL suggère fortement le diagnostic de carcinome hépatocellulaire Parmi les propositions suivantes concernant l'infec- tion du liquide d'ascite, quelle(s) est (sont) celle(s) QI 36 exacte(s) ? A peut être découverte de manière fortuite par l'exa- Parmi les propositions suivantes, quelles(s) est (sont) le(s) facteur(s) de risque du carcinome men du liquide d'ascite sans signe d'appel hépatocellulaire ? B le diagnostic est fait par le décompte des polynu- A sexe féminin B âge cléaires dans le liquide d'ascite > 250/mm3 C durée d'évolution de la maladie hépatique C le diagnostic exige l'isolement d'une bactérie dans D diabète E tabagisme le liquide d'ascite D l'infection est souvent polymicrobienne QI 37 E le traitement nécessite une antibiothérapie asso- Parmi les critères suivants, le(s)quel(s) est (sont) ciée à la perfusion d'albumine indispensable(s) pour le diagnostic du carcinome hépatocellulaire quand on veut éviter la biopsie QI 42 hépatique ? A présence d'une cirrhose Parmi les propositions suivantes concernant l'ascite B IRM ou TDM avec injection de produit de contraste au cours de la tuberculose péritonéale, quelle(s) est C rehaussement artériel du nodule à l'imagerie (sont) celle(s) exacte(s) ? D lavage ou wash-out au temps portal A est généralement pauvre en protéine (< 25 g/L) E élévation de l'alphafœtoprotéine B est généralement riche en leucocytes (>  1 000/ QI 38 mm3) C les lymphocytes y prédominent (> 70 %) Parmi les cancers primitifs suivants, lequel est en cause D la recherche de BK est fréquemment positive à la le plus souvent en cas de métastases hépatiques ? A cancer du sein culture de l'ascite B adénocarcinome du tube digestif et du pancréas E le diagnostic est fait par la biopsie du péritoine C carcinome anaplasique D mélanome malin sous cœlioscopie E tumeur endocrine QI 43 QI 39 Parmi les propositions suivantes concernant le cours En imagerie, quel(s) est (sont) l'(les) aspect(s) que de la carcinose péritonéale, quelle(s) est (sont) celle(s) peuvent présenter les métastases hépatiques d'adé- exacte(s) ? nocarcinome digestif ? A l'ascite est souvent riche en protéine (> 25 g/L) A nodules hypoéchogènes B le taux de leucocytes dans l'ascite peut être élevé B nodules hypodenses avant injection de produit de (> 250/mm3) contraste C les cellules tumorales sont constamment présentes C aspect kystique D n'ont généralement pas de paroi à l'examen cytologique de l'ascite D un syndrome d'obstruction intestinale incomplète QI 40 est fréquent Dans le(s)quel(s) de(s) cas suivant(s), l'ascite est-elle habituellement riche en protéines (> 25 g/L) ? QI 44 A cirrhose sans infection B insuffisance cardiaque Parmi les propositions suivantes concernant le mésothéliome péritonéal, quelle(s) est (sont) celle(s) exacte(s) ? A est favorisé par l'exposition au benzène B l'ascite est souvent riche en protéine (> 25 g/L) C le taux de leucocytes peut y être élevé (> 250/mm3) D les cellules tumorales sont fréquemment présentes à l'examen cytologique du liquide d'ascite

QI QI 45 D l'existence d'une polypose adénomateuse colique Parmi les propositions suivantes concernant le dépis- familiale doit conduire à une coloproctectomie tage organisé du cancer colorectal en France, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? totale A repose sur la coloscopie pour tous à partir de E la séquence adénome – cancer est exceptionnelle, le cancer survenant presque toujours de novo 50 ans B s'adresse aux sujets présentant des symptômes QI 49 digestifs ou évocateurs C ne s'adresse qu'aux sujets à risque élevé ou très Un homme de 67 ans sans antécédent personnel ou familial est adressé en consultation de gastroentéro- élevé de cancer colorectal D s'adresse à la population à risque moyen de cancer logie par son médecin traitant pour rectorragies, faux besoins et ténesme. Parmi les examens complémen- colorectal E comporte la pratique d'un test de recherche de taires suivants, lesquels vous semblent adaptés à réa- sang microscopique dans les selles suivie d'une liser en 1re intention afin de permettre un diagnostic étiologique de certitude ? coloscopie si le test est positif A test immunologique OC-sensor® QI 46 B rectoscopie au tube rigide C coloscopie Parmi les propositions suivantes concernant le syn- D IRM pelvienne drome de Lynch ou syndrome HNPCC, laquelle (les- E manométrie anorectale quelles) est (sont) exacte(s) ? A représente environ 25 % des cancers colorectaux QI 50 B est associé à une incidence élevée de cancers colorectaux familiaux au 1er degré et à un âge plus Concernant la place des traitements périopératoires jeune que dans la population générale dans le cadre de la prise en charge du cancer colorec- C est caractérisé par une mutation constitutionnelle tal, parmi les propositions suivantes, citez celles d'un des gènes MMR qui expose à un risque très exactes ? élevé de cancer colique mais aussi d'autres organes 484 (p. ex. estomac, utérus chez la femme) A une chimiothérapie adjuvante est toujours indi- quée pour un cancer du côlon droit opéré et classé D est de transmission autosomique récessive pT3 N0 M0 E est associé à la survenue de cancers ayant un phé- B un traitement néoadjuvant n'est jamais indiqué notype instable (MSI ou dMMR) dans le cadre de la prise en charge d'un adénocar- cinome du bas rectum QI 47 C en l'absence de contre-indication, une chimiothé- rapie à base de 5-fluoro-uracile et d'oxaliplatine Parmi les propositions suivantes concernant le cancer est indiquée pendant une durée de 6  mois après l'exérèse d'un cancer du sigmoïde de stade III colique, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? D en cas de cancer du côlon droit asymptomatique A la survie à 5 ans d'environ 50 % est indépendante avec présence d'adénopathies locorégionales au scanner thoraco-abdominopelvien sans lésion du stade de la maladie suspecte à distance et en l'absence de contre- B la coloscopie permet la recherche et l'ablation de indication, une chimiothérapie néoadjuvante com- prenant un médicament anti-angiogénique est polypes colorectaux éventuellement associés au généralement indiquée avant la résection chirurgi- cale de la lésion cancer colique E dans le cadre de la prise en charge du cancer du C la TDM thoraco-abdominopelvienne fait partie du rectum, la radio chimiothérapie préopératoire, quand elle est indiquée, diminue significativement bilan préthérapeutique indispensable D le traitement curatif est chirurgical E la chimiothérapie n'a pas de place dans le traite- ment du cancer colique traité chirurgicalement QI 48 le risque de récidive locale comparée à l'absence de radio chimiothérapie préopératoire Parmi les propositions suivantes concernant le cancer QI 51 du rectum, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? Laquelle ou lesquelles de ces affirmations sur le can- A la discussion en réunion de concertation pluridisci- cer gastrique est (sont)-elle(s) exacte(s) ? A la cicatrisation sous IPP d'une lésion ulcérée gas- plinaire (RCP) sur la prise en charge thérapeutique trique permet de distinguer ulcère bénin et cancer intervient dès la période postopératoire ulcéré B l'IRM pelvienne est utile à la décision thérapeutique B l'atrophie et la métaplasie intestinale au cours de la C la radiothérapie ou la radio chimiothérapie pré­ gastrite chronique sont des lésions précancéreuses opératoires n'ont plus de place depuis l'avènement de la chirurgie d'exérèse emportant le mésorectum avec la tumeur

QI 37 C l'infection antrale par Helicobacter pylori protège C le TEP-scan au FDG est inutile si la TDM 485 contre le risque de cancer gastrique t­horaco-abdominopelvienne ne montre pas de métastases Entraînement D l'adénocarcinome et le carcinome épidermoïde de l'estomac sont les deux cancers les plus fréquents D le traitement endoscopique curatif est réservé à certaines petites tumeurs superficielles E le diagnostic des tumeurs épithéliales gastriques repose sur l'échoendoscopie avec biopsies E la radio chimiothérapie exclusive ou préopératoire est indiquée dans les tumeurs localement avancées QI 52 de stade III Parmi les propositions suivantes concernant l'infection QI 56 gastrique par Helicobacter pylori, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? Parmi les propositions suivantes, quel(s) est (sont) A n'explique que 1 % des cancers gastriques celle(s) que comporte le bilan préthérapeutique du B n'est pas un facteur suffisant de carcinogenèse cancer de l'œsophage ? A panendoscopie ORL gastrique B échoendoscopie haute en cas de petite tumeur C est un facteur reconnu de cancérogenèse gas- C scanner thoracique D scanner cérébral trique (adénocarcinome) E évaluation de l'état général D est également un facteur de survenue de lym- QI 57 phome gastrique du MALT E doit être recherchée et traitée dans la famille au Parmi les propositions suivantes concernant l'adéno- carcinome œsophagien, laquelle (lesquelles) est (sont) 1er  degré des patients présentant un adénocarci- exacte(s) ? nome gastrique A survient sur un terrain éthylotabagique B peut compliquer un endobrachyœsophage QI 53 C peut être traité chirurgicalement s'il est Parmi les propositions suivantes, quel(s) est (sont) le(s) métastatique facteur(s) de risques de cancer de l'estomac ? D peut être diagnostiqué par une coloscopie A alimentation riche en fibres E représente une proportion croissante des cancers B alimentation riche en sel C antécédents familiaux de cancer de l'estomac de l'œsophage D infection chronique à Helicobacter pylori E atrophie gastrique avec métaplasie intestinale QI 54 QI 58 Parmi les propositions suivantes concernant le can- Parmi les propositions suivantes concernant le carci- cer de l'œsophage, laquelle (lesquelles) est (sont) nome épidermoïde œsophagien, laquelle (lesquelles) exacte(s) ? est (sont) exacte(s) ? A tabac et  alcool sont les deux facteurs de risque A est plus fréquent chez l'homme B entraîne principalement une dysphagie principaux du cancer épidermoïde C ne peut être responsable d'une hémorragie diges- B reflux gastro-œsophagien et obésité sont deux fac- tive haute teurs de risque de l'adénocarcinome D est toujours infranchissable en endoscopie C l'endobrachyœsophage (EBO) est une lésion pré- E ne peut pas être opéré en cas d'insuffisance respi- cancéreuse de l'adénocarcinome ratoire sévère D la surveillance endoscopique des EBO a per- QI 59 mis une nette diminution de la mortalité par adénocarcinome Parmi les complications suivantes, quelle(s) est (sont) E la survie globale du cancer de l'œsophage est celle(s) qui peu(ven)t être observée(s) lors de vomisse- aujourd'hui d'environ 40 % à 5 ans ments aigus chez l'adulte ? A rupture de l'œsophage QI 55 B déchirure du bas œsophage (syndrome de Parmi les propositions suivantes concernant le can- Mallory-Weiss) cer de l'œsophage, laquelle (lesquelles) est (sont) C insuffisance rénale exacte(s) ? D dénutrition A la dysphagie élective pour les liquides est le maître E pneumopathie par inhalation symptôme B le diagnostic repose sur l'endoscopie avec biopsies

QI QI 60 D une douleur à la décompression élimine une irrita- tion péritonéale Parmi les propositions suivantes concernant le traite- ment des vomissements chez l'adulte, laquelle (les- E un silence auscultatoire peut être considéré comme quelles) est (sont) exacte(s) ? un critère de gravité A une réhydratation en milieu hospitalier est parfois QI 65 nécessaire B la pose d'une sonde d'aspiration gastrique néces- Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s) dans le cadre du diagnostic d'une site une intubation trachéale préalable douleur abdominale aiguë ? C le traitement par antiémétiques doit être instauré A la numération-formule sanguine et l'ionogramme quelle que soit la cause du vomissement sanguin n'ont aucun intérêt D les antiémétiques usuels comportent le métoclo- B une élévation de la lipasémie à plus de 3  fois la pramide, la dompéridone et la métopimazine normale signe la pancréatite aiguë E les sétrons et l'aprépitant sont réservés au C la réalisation d'un électrocardiogramme doit être traitement des vomissements induits par les systématique opiacés D le dosage des β-HCG n'a aucun intérêt E une imagerie doit toujours être réalisée QI 61 Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) peu(ven)t compliquer les vomissements ? QI 66 A déshydratation B alcalose respiratoire Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) C hématémèse est (sont) vraie(s) dans le cadre du diagnostic d'une D hyperglycémie douleur abdominale aiguë ? E pneumopathie d'inhalation A l'abdomen sans préparation remplace avantageu- sement le scanner abdominal B la radiographie du thorax est utile pour éliminer 486 QI 62 une cause pleurale ou pulmonaire C l'échographie abdominale est l'examen de Parmi les pathologies suivantes, laquelle est évoquée 1re intention en cas de syndrome occlusif par des vomissements matinaux en jet ? D le scanner abdominal est l'examen radiologique de A syndrome abdominal aigu choix B syndrome coronarien aigu E le scanner est l'examen de 1re intention en cas de C acidocétose diabétique suspicion de diverticulite sigmoïdienne D hypertension intracrânienne E occlusion intestinale QI 67 QI 63 Parmi les affirmations suivantes, laquelle (lesquelles) Parmi les pathologies suivantes, laquelle est évoquée est (sont) exacte(s) ? par des vomissements fécaloïdes ? A une péricardite peut se manifester par une douleur A syndrome abdominal aigu B syndrome coronarien aigu hypogastrique C acidocétose diabétique B les douleurs de colique hépatique sont toujours D hypertension intracrânienne E occlusion intestinale localisées à l'hypochondre droit C un ulcère perforé peut se révéler par une douleur QI 64 de l'hypochondre droit D une insuffisance surrénale aiguë peut se révéler par une douleur abdominale aiguë E une contracture abdominale peut être observée au cours de la maladie périodique Parmi les propositions suivantes concernant le cadre QI 68 d'une douleur abdominale aiguë, laquelle (lesquelles) Parmi les propositions suivantes concernant la mala- die hémorroïdaire, laquelle (lesquelles) est (sont) est (sont) exacte(s) ? exacte(s) ? A le terrain et les comorbidités peuvent permettre A peut s'exprimer par les mêmes symptômes qu'un d'orienter le diagnostic étiologique cancer du côlon ou du rectum B les affections gastriques et pancréatobiliaires sont B doit toujours faire réaliser une coloscopie plus fréquentes avant 30 ans C l'état général à l'admission du patient est une don- née très importante

QI 37 C la thrombose hémorroïdaire se différencie d'une QI 72 487 crise simple par la durée de la douleur Parmi les propositions suivantes concernant maladie Entraînement D la grossesse est un facteur de risque de la survenue ulcéreuse gastroduodénale, Helicobacter pylori (HP) de symptômes hémorroïdaires et les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP), laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? E l'hémorragie hémorroïdaire est typiquement du A l'éradication de HP a peu d'influence sur l'histoire sang noir mélangé aux matières naturelle de la maladie ulcéreuse QI 69 B l'éradication de HP repose sur une antibiothérapie Parmi les propositions suivantes concernant la mala- simple et des IPP double dose die hémorroïdaire, laquelle (lesquelles) est (sont) C en cas d'ulcère duodénal, un traitement d'une exacte(s) ? A les thromboses hémorroïdaires externes se pré- semaine est toujours suffisant D après éradication d'HP, un complément de trai- sentent sous forme de tuméfactions douloureuses bleutées tement par IPP pendant 3 à 7  semaines est B la pathologie hémorroïdaire peut coexister avec la indiqué présence d'une fissure anale E l'échec du traitement d'éradication de 1re ligne est C le diagnostic de la maladie hémorroïdaire repose estimé, en France, à 30 % sur des données cliniques D le traitement médical associe la régularisation du QI 73 transit, les veinotoniques et les topiques locaux E le traitement instrumental est indiqué comme trai- Parmi les propositions suivantes concernant les gas- tement de fond trites, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A la gastrite est une entité histologique et non cli- QI 70 nique ou endoscopique Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) B les gastrites à Helicobacter pylori concernent 20 à est (sont) vraie(s) dans le cadre de la pathologie ulcé- reuse gastroduodénale ? 50 % de la population française A l'infection à Helicobacter pylori est beaucoup plus C les gastrites atrophiantes n'évoluent jamais vers la fréquente dans les pays développés cancérisation B l'incidence des ulcères gastroduodénaux est en D la gastrite à Helicobacter pylori n'évolue pas vers augmentation dans les pays développés l'atrophie C les AINS favorisent les ulcères via une inhibition de E la gastrite auto-immune est une gastrite la synthèse des prostaglandines hypertrophique D l'aspirine à faible dose n'augmente pas le risque QI 74 d'ulcère E le syndrome de Zollinger-Ellison est dû à une dimi- Parmi les propositions suivantes concernant l'anémie, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? nution de la sécrétion de gastrine A la symptomatologie fonctionnelle est liée à la QI 71 vitesse d'installation de l'anémie B une anémie par carence martiale est typiquement Parmi les propositions suivantes concernant mala- die ulcéreuse gastroduodénale et Helicobacter pylori hypochrome microcytaire (HP), laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? C une thrombocytose modérée est souvent associée A la douleur de type ulcéreuse est toujours de siège à l'anémie par carence martiale épigastrique D la baisse de la ferritinémie est un excellent critère B l'endoscopie œsogastroduodénale permet de carence martiale la réalisation de biopsies à la recherche de E le diagnostic de thalassémie est apporté par l'élec- Helicobacter pylori quelle que soit la localisation de l'ulcère trophorèse de l'hémoglobine C la mise en évidence de HP ne peut se faire que sur des biopsies gastriques QI 75 D l'hémorragie digestive est la complication la plus fréquente des ulcères gastroduodénaux Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) E la prise d'AINS favorise le risque de perforation est (sont) vraie(s) devant une anémie ferriprive ? ulcéreuse A l'examen gynécologique fait partie du bilan de 1re intention B le bilan endoscopique n'est réalisé qu'en 2e intention C la recherche de sang dans les selles par test immu- nologique OC-sensor® est fondamentale

QI D en cas de réalisation d'une endoscopie haute, les QI 80 biopsies duodénales sont systématiques Parmi les propositions suivantes concernant le traite- E la vidéocapsule endoscopique fait partie du bilan ment de l'hépatite C, lesquelles sont vraies ? de 1re intention A est le plus souvent très bien toléré (effets indési- QI 76 rables exceptionnels) B est de courte durée (3–4 mois au maximum) Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) C peut éradiquer complètement l'infection virale est (sont) vraie(s) devant une anémie ferriprive ? D repose toujours sur l'association d'au moins deux A la réalisation d'une vidéocapsule ne présente antiviraux directs aucune contre-indication E est pris en charge par la caisse primaire d'assu- B l'entéroscopie est indiquée après identification de rance maladie (ALD 30) lésions du grêle décelées par la vidéocapsule C le scanner n'a aucune place dans le bilan d'une QI 81 anémie Parmi les complications suivantes, lesquelles sont les D un régime riche en fer est souvent suffisant pour complications possibles de l'hépatite C chronique ? A hépatite fulminante traiter une carence martiale B cirrhose E la prise d'acide ascorbique augmente l'absorption C carcinome hépatocellulaire D vascularite par cryoglobulinémie du fer d'environ 30 % E spondylarthrite ankylosante QI 77 Parmi les propositions suivantes concernant la trans- QI 82 mission du virus de l'hépatite C, quelle est la réponse Parmi les propositions suivantes concernant l'infec- vraie ? tion par le virus de l'hépatite B, lesquelles sont vraies ? A le virus peut se transmettre par voie parentérale A est très peu fréquente dans le monde B le virus peut se transmettre par voie aérienne B peut se transmettre par voie sexuelle 488 C le virus peut se transmettre par voie orofécale D la transmission peut être prévenue par la C peut se prévenir par la vaccination D est la principale cause de carcinome hépatocellu- vaccination laire dans le monde E la transmission peut être prévenue par des règles E peut être à l'origine d'une hépatite fulminante d'hygiène alimentaire QI 78 QI 83 Parmi les propositions suivantes, devant une élévation Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) des transaminases sériques, sur laquelle (lesquelles) le caractérise(nt) l'histoire naturelle de l'hépatite  B diagnostic d'hépatite C repose-t-il ? chronique ? A la recherche d'anticorps anti-VHC par ELISA A une progression nécessaire du portage chronique B la recherche d'ARN du VHC par PCR C la réalisation d'une biopsie hépatique vers la cirrhose D l'évaluation non invasive de la fibrose hépatique B la possibilité de réactivation spontanée de la répli- E la détermination du génotype viral cation virale et de la maladie hépatique QI 79 C la possibilité de survenue du carcinome hépatocel- Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) lulaire en l'absence de cirrhose doi(ven)t être incluse(s) dans l'évaluation préthéra- D la possibilité d'élimination virale complète peutique d'une hépatite C chronique ? E la possibilité de réactivation virale induite par un A la détermination du génotype viral B la détermination de la charge virale traitement immunosuppresseur, une chimiothéra- C l'évaluation de la sévérité de l'hépatopathie pie anticancéreuse ou une biothérapie par  (histologique ou par des marqueurs non QI 84 invasifs) D la recherche de co-infections par le VHB ou le VIH Parmi les propositions suivantes concernant le traite- E la recherche d'autoanticorps ment de l'hépatite B chronique, lesquelles sont vraies ? A les analogues de nucléosides permettent d'obtenir une viro-suppression chez la majorité des patients B la viro-suppression induite par le traitement s'ac- compagne d'une amélioration des transaminases

QI 37 C la viro-suppression induite par le traitement s'ac- QI 89 489 compagne d'une amélioration de l'histologie hépatique Parmi les propositions suivantes concernant le diag­ Entraînement nostic d'hémochromatose génétique, laquelle (les- D une élimination virale complète peut être obte- quelles) est (sont) exacte(s) ? nue avec l'interféron alpha ou les analogues de A doit être évoqué devant une élévation de la satura- nucléosides tion de la transferrine E le traitement antiviral prévient complètement l'ap- B peut s'associer à une élévation de la ferritinémie et parition du carcinome hépatocellulaire du fer sérique QI 85 C s'accompagne d'une polyglobulie D doit s'accompagner d'un diagnostic génétique Devant des signes cliniques et biologiques d'hépatite aiguë, parmi les propositions suivantes, laquelle (les- pour la recherche de mutations dans le gène HFE quelles) faut-il rechercher ? E une enquête familiale doit être réalisée car il s'agit A hémochromatose génétique B maladie de Wilson d'une maladie autosomale dominante C hépatite virale A D hépatite virale E QI 90 E hépatite auto-immune Parmi les propositions suivantes concernant l'hémo- QI 86 chromatose génétique, quelles sont les propositions vraies ? Parmi les propositions suivantes concernant l'éléva- A la surcharge hépatique en fer peut se quantifier tion isolée des γ-GT, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? par échographie abdominale A peut être due à une consommation excessive B la surcharge hépatique en fer doit être quantifiée d'alcool par IRM hépatique B peut être due à la prise de médicaments inducteurs C l'hémochromatose peut se compliquer d'une cir- enzymatiques rhose et d'un carcinome hépatocellulaire C signe une cholestase hépatique D l'hémochromatose peut se compliquer d'un dia- D peut être due à une stéatose hépatique E est un signe de gravité de l'hépatopathie bète non insulinodépendant E l'hémochromatose peut se compliquer d'une QI 87 myocardiopathie Devant des perturbations du bilan hépatique, quels sont les éléments qui vous font évoquer une stéato- QI 91 hépatite non alcoolique ? A élévation de l'indice de masse corporelle Parmi les propositions suivantes concernant le traite- B association à une hypertension artérielle, un désé- ment de l'hémochromatose génétique, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) vraie(s) ? quilibre glycémique et une dyslipidémie A son objectif est d'obtenir une normalisation rapide C aspect hyperdense du foie à l'échographie du taux de saturation de la transferrine abdominale B son objectif est d'obtenir une disparition de la sur- D association à une hyperferritinémie E association à une hypergammaglobulinémie charge hépatique en fer C le traitement de 1re intention repose sur des chéla- QI 88 teurs du fer Parmi les propositions suivantes concernant la toxicité D le traitement de 1re  intention repose sur des hépatique médicamenteuse, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? saignées A peut être liée à un terrain génétique particulier E le traitement actuel repose sur une thérapie B peut être d'origine immunoallergique C peut être à l'origine d'hépatites fulminantes génique D peut évoluer vers des formes d'hépatopathie QI 92 chronique E doit toujours être confirmée par un test de réintro- Devant une hépatomégalie nodulaire, parmi les causes suivantes, laquelle (lesquelles) peu(ven)t être duction du médicament suspecté évoquée(s) ? A échinococcose alvéolaire B amibiase hépatique C paludisme chronique D carcinome hépatocellulaire E métastases d'un adénocarcinome colique

QI QI 93 D maladie périodique E porphyries hépatiques Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) peu(ven)t définir la dépendance physique ? A des épisodes répétés d'ivresse QI 98 B une dysarthrie lors de la consommation d'alcool Un homme de 57 ans consulte pour une douleur épi- C un syndrome de sevrage D une incapacité de réduire sa consommation et une gastrique brutale et des nausées. Vous constatez un météorisme abdominal et le malade signale un arrêt obligation comportementale E la prise d'une autre substance pour soulager ou des matières et des gaz. Parmi les propositions sui- vantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? éviter les symptômes de sevrage A vous suspectez une migration lithiasique B vous suspectez une occlusion QI 94 C vous examinez les orifices herniaires D vous réalisez un toucher rectal Parmi ces affirmations sur la consommation excessive E vous adressez ce malade aux urgences d'alcool, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A la grande majorité des décès prématurés dus à l'al- cool concerne des personnes dépendantes QI 99 B le repérage précoce des consommateurs d'alcool à Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) risque se fait essentiellement par l'entretien (ques- constate-t-on habituellement sur la TDM d'un malade en occlusion du grêle ? tionnaires), plus que par les examens biologiques A un niveau hydroaérique unique C l'intervention brève s'adresse aux consommateurs B des niveaux hydroaériques plus larges que hauts C des niveaux hydroaériques plus hauts que larges à risque non alcoolodépendants D de fines incisures allant d'un bord à l'autre de l'in- D l'intervention brève est efficace chez 50  % des testin dilaté consommateurs à risque alcoolodépendants E de larges incisures asymétriques n'allant pas d'un E les principales complications du sevrage alcoolique sont le delirium tremens et les convulsions 490 QI 95 bord à l'autre du côlon dilaté Au moment de la renutrition d'un dénutri, la carence QI 100 en l'un des éléments suivants fait courir un risque vital (refeeding syndrome). De quel élément s'agit-il ? Un homme de 67 ans diabétique consulte pour A potassium vomissements et douleurs abdominales intenses ; B magnésium l'examen est normal hormis une hernie inguinale C calcium droite connue depuis 3 ans et irréductible. Parmi les D phosphore propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) E vitamine E vraie(s) ? A vous suspectez en premier lieu une acidocétose QI 96 B vous suspectez en premier lieu une hypoglycémie C vous appelez un chirurgien pour suspicion de her- Parmi les aliments suivants, le(s)quel(s) est (sont) interdit(s) au cours d'un régime sans gluten ? nie étranglée A pâtes alimentaires D vous laissez le patient à jeun avec une voie vei- B riz C bière neuse d'abord pour hydratation D müesli E vous surveillez la glycémie E Maïzena® QI 101 QI 97 En cas de péritonite, parmi les propositions suivantes, Parmi les affections générales suivantes qui peuvent se laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s) ? révéler par des douleurs abdominales aiguës, laquelle A la contracture est parfois absente (lesquelles) est (sont) constamment accompagnée(s) B les trois causes les plus fréquentes sont  : ulcère de fièvre ou au minimum d'un syndrome inflamma- toire biologique ? perforé, cholécystite compliquée et perforation de A insuffisance surrénale aiguë diverticule sigmoïdien B hypercalcémie C en cas de perforation d'ulcère gastrique ou duo­ C acidocétose diabétique dénal, le pneumopéritoine est fréquent D en cas de péritonite diverticulaire, le pneumopéri- toine est souvent volumineux E en cas de péritonite appendiculaire, il n'existe pas de pneumopéritoine

Réponses QI 14 QI 37 QI 1 B, D, E 491 A, D, E QI 15 Entraînement QI 2 B, C, D B, C QI 16 QI 3 A, B, E B, E QI 17 QI 4 B, C, D A, C, D QI 18 QI 5 A, B, D, E D QI 19 QI 6 A, C B, C QI 20 QI 7 C, D A, C, E QI 21 QI 8 B, E D QI 22 QI 9 A, C, D A, C, D QI 23 QI 10 B, C, E C, E QI 24 QI 11 B, D, E A, B, D QI 25 QI 12 C, E A, B QI 26 QI 13 A, D B, E QI 27 A, C, D

QI QI 42 QI 28 B, C, E B, C, E QI 43 QI 29 A, B, D B, C, D, E QI 44 QI 30 B, C A, B, D, E QI 45 QI 31 D, E B, C, D, E QI 46 QI 32 B, C, E A, B, C, D QI 47 QI 33 B, C, D A, B, C, D QI 48 QI 34 B, D 492 A, C, D QI 49 QI 35 B, C A, B QI 50 QI 36 C, E B, C, D, E QI 51 QI 37 B A, B, C, D QI 52 QI 38 B, C, D, E B QI 53 QI 39 B, C, D, E A, B, C QI 54 QI 40 A, B, C B, C, E QI 55 QI 41 B, D, E A, B, E

QI 56 QI 70 QI 37 A, B, C, E C 493 QI 57 QI 71 Entraînement B, E B, D, E QI 58 QI 72 B, E D, E QI 59 QI 73 A, B, C, E A, B QI 60 QI 74 A, D A, B, C, D, E QI 61 QI 75 A, C, E A, D QI 62 QI 76 D B, E QI 63 QI 77 E A QI 64 QI 78 A, C, E A, B QI 65 QI 79 B, C A, B, C, D, E QI 66 QI 80 B, D, E C, D, E QI 67 QI 81 C, D, E B, C, D QI 68 QI 82 A, C, D B, C, D, E QI 69 QI 83 A, B, C, D, E B, C, E

QI QI 93 QI 84 C, E A, B, C QI 94 QI 85 B, C, E B, C, D, E QI 95 QI 86 D A, B, D QI 96 QI 87 A, C, D A, B, C, D QI 97 QI 88 D A, B, C, D QI 98 QI 89 B, C, D, E A, B, D QI 99 QI 90 B, D 494 B, C, E QI 100 QI 91 C, D, E A, B, D QI 101 QI 92 A, C, D, E A, B, D, E

Index C 495 A CA 19.9, 383 Calcifications pancréatiques, 232, 234 Abcès, 242 Campylobacter, 284 –– du foie, 46, 354 Cancer ACE, 334 –– cardia, 340 Achalasie, 141 –– colique, 246 Acidose métabolique, 399 –– digestif, 391 Adénocarcinome, 131, 343, 442 –– extrahépatique, 354 –– œsophagien, 110 Carcinome hépatocellulaire, 75, 195, –– pancréatique, 232, 379 Adénome 208, 354, 361 –– hépatocellulaire, 160 Carence martiale, 60 –– plan, 322 Chimiothérapie, 285, 385 –– tubuleux, 321 Cholangio-pancréatographie, 190, –– tubulo-villeux, 321 –– villeux, 321 233, 442 Adénopathie, 332 Cholangio-pancréato-IRM, 190 Affection Cholangite –– biliaire, 96 –– immunoallergique, 184 –– colique, 97 –– sclérosante primitive, 184, 354 –– gynécologique, 97 Cholécystectomie, 445 –– ulcéreuse gastroduodénale, 95 Cholestase, 232 –– urologique, 97 –– anictérique, 180 Amylose, 143 –– chronique, 158 Anémie –– ictérique, 180 –– ferriprive, 330, 342, 408 Cirrhose, 158–159, 184, 223, –– hypochrome microcytaire, 62 –– microcytaire, 123 354, 362 Angiomes stellaires, 197 Classification Angioscanner, 411 –– de Hinchey, 294 Anomalies canalaires typiques, 234 –– TNM, 332, 345 Antibioprophylaxie, 202, 412 Clostridium difficile, 286–287, 289 Anticorps Cœlioscopie, 114 –– anti-endomysium Colectomie, 326 Colite et antitransglutaminase, 275 –– aiguë grave, 246 –– anti-VHA de type IgM, 24 –– amibienne, 46 Appendicectomie, 423–424 –– collagène, 247, 278 Appendicite, 97 –– inclassée, 241 –– aiguë, 415 –– lymphocytaire, 247, 278 Apports alimentaires, 86 –– microscopique, 277 Ascite, 195, 197, 213, 219 –– pseudo-membraneuse, 286 –– chyleuse, 215 Coloscopie, 63, 253, 273, 323, –– réfractaire, 208 Atrophie villositaire, 275 328–331, 334, 398, 411 Constipation, 249 B Corticothérapie, 205 Cowden (syndrome de), 326 Bacilles acido-alcoolo-résistants, 240 Critères Bactériascitie, 204 –– d'Amsterdam, 330 Ballonnement abdominal, 262 –– de Bethesda, 330 Biermer (maladie de), 342, 349 Crohn (maladie de), 237, 398, 421 Biopsie hépatique, 197 CRP, 438 Bronchopneumopathie, 86 Cystadénome Brûlures épigastriques, 107 –– mucineux, 381–382 –– séreux, 380

Index D Épistaxis, 409 Érythrose palmaire, 197 Dénutrition Étranglement herniaire, 396 –– anorexie psychogène, 84 Éventration post-opératoire, 396 –– carence phosphorée, 87 Examen –– compléments nutritionnels, 86 –– anatomopathologique, 122 –– énergétique, 83 –– endocanalaire, 303 –– kwashiorkor, 84 –– neurologique, 253 –– protéique, 83–84 –– proctologique, 252 Détorsion –– tomodensitométrique thoraco-abdominopelvien, 334 –– endoscopique, 401–402 Exploration colorectale, 300 –– radiologique, 402 Exsufflation endoscopique, 403 Diabète, 143, 232, 234, 382 Extension tumorale pariétale et ganglionnaire, 345 Diarrhée –– aiguë, 281 F –– cancer médullaire de la thyroïde, 274 Fécalogramme, 272 –– chronique, 269 Fécalome, 398 –– chronique sécrétoire, 247, 278 Fer, 57 –– des antibiotiques, 282 Fibrose, 28, 195, 242 –– factice, 274 Fistules, 242 –– hémorragique, 284 Flux hépatofuge, 198 –– par toxi-infection alimentaire collective, 285 Fœtor hepaticus, 197 –– persistante, 284 Foie –– tumeur carcinoïde intestinale, 274 –– cardiaque, 158 Diurétiques, 206 –– hémangiome, 355 Diverticulite, 292 –– kyste biliaire, 355 –– et abcès, 294 –– score de Child-Pugh, 364 Diverticulose, 291 –– score MELD, 364 Douleur Fundoplicature, 114 496 –– abdominale aiguë, 89 –– anale aiguë, 306 Duodéno-pancréatectomie céphalique, 385 G Dyschésie, 251 Ganglions lymphatiques, 333 Dysérythropoïèse, 181 Gastrine, 278 Dysmorphie, 198 Gastrite, 128 Dysphagie, 141, 342, 346 –– atrophique, 342 –– œsophagienne, 135 –– gastrectomie partielle, 342 –– oropharyngée, 135 –– hémorragie digestive, 342 Dysplasie, 108, 324 –– maladie de Biermer, 131 Gastropathie d'hypertension portale, 200 E Gastroscopie, 201 Gène APC, 325 Écho-endoscopie, 384, 386 Giardiose Échographie, 198 –– atrophie villositaire, 44 –– abdomino-pelvienne, 161 –– biopsies duodénales, 45 –– abdominale, 334, 436 –– examen parasitologique des selles, 45 –– hépatique, 210 –– voie féco-orale directe, 44 Élastométrie, 198 Granulome Encéphalopathie, 195, 203, 208 –– épithélioïde, 238 Endobrachyœsophage, 370 –– giganto-cellulaire, 238 Endoprothèse, 402 Endoscopie, 273 H –– colique, 305 –– œsogastrique, 371 HBc, 25 –– œsogastroduodénale, 63, 110, 238, 410 HBe, 25 Entamoeba histolytica, 45 HBs, 25 Entérite radique, 277 Helicobacter pylori, 342, 347, 412 Entéro-IRM, 69 Hémangiome, 160 Entéropathie médicamenteuse, 277 Hématémèse, 408 Entéroscopie, 69, 273 Hémochromatose, 71, 158 Épanchement pleural, 438 –– traitement, 74

Index Hémoglobinémie, 409 I 497 Hémopéritoine, 214 Hémoptysie, 409 Ictère, 197, 208 Hémorragie –– syndrome de Gilbert, 182 –– digestive, 108, 195, 203, 208–209, 407 Iléocoloscopie, 238 –– occulte, 408 Iléus, 418 Hémostase endoscopique, 123, 412 –– biliaire, 398 Hépatite –– réflexe, 391, 436 –– aiguë, 158 Impédancemétrie œsophagienne, 111 –– astérixis, 23 Incontinence fécale, 269 –– auto-immune, 206 Infection –– B –– bactérienne, 203 –– – analogues nucléosidiques –– chronique, 24 –– du liquide d'ascite, 195 ou nucléotidiques, 28 Inhalation bronchique, 146 –– – cirrhose, 25–26 Inhibiteurs de la pompe à protons, 411 –– – clairance immunitaire, 26 Insuffisance –– – contage, 26 –– cardiaque, 72 –– – groupe à risque, 26 –– hépatique, 208 –– – HBs, 26 –– hépatocellulaire, 197 –– – IgM HBc, 26 –– pancréatique exocrine, 234 –– – interféron pégylé, 28 –– rénale, 148, 203, 206, 399, 438 –– – relations sexuelles, 25 Intradermoréaction –– – sang, 25 –– – séroprophylaxie, 30 à la tuberculine, 240 –– – sérovaccination des nouveau-nés, 30 Invagination intestinale aiguë, 396 –– – tolérance immunitaire, 26 IRM pelvienne, 254, 332 –– – transmission verticale, 25 Ischémie intestinale, 400 –– C –– – carcinome hépatocellulaire, 31 K –– – cirrhose, 31 –– – contamination, 31 Kœnig (syndrome de), 398 –– chronique, 21, 158 –– définition, 21 L –– fulminante, 23 –– sévère, 23 Laxatifs, 256 –– transplantation hépatique, 23 Lésion organique colique distale, 281 Hépatomégalie, 155 Ligature, 202 Hernie, 391 –– élastique, 209, 307 –– crurale, 317 Ligne de Malgaigne, 315 –– hiatale, 106 Linite, 340 –– ombilicale, 224 Lipase, 436 –– par glissement, 106 Lipasémie, 436 –– par roulement, 106 Lithiase vésiculaire, 436 HNPCC, 342 Lyell (syndrome de), 85 Hyperemesis gravidarum, 151 Lymphome Hyperéosinophilie, 42 –– gastrique à grandes cellules, 347 Hyperhémolyse, 181 –– gastrique de type MALT, 347 Hyperleucocytose, 203, 416, –– intestinal, 277 Lynch (syndrome de), 322, 329 418–419 Hyperpression abdominale, 106 M Hypertension –– intracrânienne, 147 Maladie hémorroïdaire, 299 –– portale, 197 Mallory-Weiss (syndrome de), 146 Hyperthyroïdie, 274 Manométrie œsophagienne, 111, 138 Hypertransaminasémie, 441 Mastocytoses, 278 Hypokaliémie, 247, 277–278 Méléna, 330, 408 Hyponatrémie, 203, 206 Mérycisme, 145 Hypotension, 201 Métaplasie intestinale, 370 Hypovolémie, 399, 438 Métastases Hypoxémie, 438 –– hépatiques, 344, 354, 383 –– pulmonaires, 344 Micronutriments, 87

Index N –– indice de masse corporelle, 83 –– perte de, 83 Nausées, 145 Polyexonération, 269 Nécrose Polynucléose neutrophile, 292, 438 –– caséeuse, 240 Polype, 319 –– digestive, 315 –– adénomateux, 321, 324 –– intestinale, 395, 400 –– colorectal, 320 Néoplasie endocrinienne, 386 –– hyperplasique, 321 Nodules de régénération, 195 –– juvénile, 321 O –– pédiculé, 320 –– pseudo, 321 Obstruction chronique gastroduodénale, 147 –– sessile, 320 Occlusion Polypectomie, 324 –– intestinale, 389 Polypose, 321 –– organique, 391 –– adénomateuse familiale, 329, 342 –– sur bride, 395 –– juvénile, 326 Odynophagie, 135 Ponction Œdème, 208 –– abdominale, 213 –– lésionnel, 438 –– biopsie hépatique, 28, 159 Œsophagectomie, 375–376 –– d'ascite, 223 Œsophagite, 108, 110, 146 Procidence rectale interne, 252 Ogilvie (syndrome d'), 398 Prothèse biliaire, 385 Ostéopénie, 276 Pseudo-kystes, 439 Pullulation microbienne chronique P de l'intestin grêle, 277 Pyélonéphrite, 420 Pancréatite, 437 Pyrosis, 107 –– aiguë, 95, 229, 386 –– – alcoolique, 441 R 498 –– – auto-immune, 443 Radiographie pulmonaire, 334 –– – biliaire, 440 Récepteur soluble de la transferrine, 59 –– – hypercalcémie, 442 Rectocèle, 252 –– – hypertriglycéridémie, 442 Rectorragies, 330, 408 –– – idiopathique, 443 Rectosigmoïdoscopie, 285 –– – infectieuse, 442 Reflux gastro-œsophagien, 105 –– – médicamenteuse, 442 Régime désodé, 206 –– – nécrosante, 435 Régurgitation, 142, 145 –– – œdémateuse, 435 –– acide, 107 –– – origine tumorale, 442 Rumination, 145 –– – pancréas divisum, 443 –– – post-opératoire, 442 S –– chronique –– – alcoolique, 382 Saignement occulte, 328 –– – auto-immune, 229 Salmonella, 284 –– – héréditaire, 230, 382 Salpingite, 420 –– – hypercalcémie, 230 Scanner –– – idiopathique, 230 –– abdominal, 416 –– – obstructive, 229 –– abdomino-pelvien, 402 Paralysie du péristaltisme, 391 –– spiralé, 69 Perforation Scintigraphie au pertechnétate, 69 –– colique, 323 Sclérodermie, 143 –– diastatique, 399 Score –– digestive, 433 –– APACHE II, 439 Péristaltisme, 138 –– de Balthazar, 440 Péritonite aiguë, 427 –– de Child-Pugh, 211 Peutz-Jeghers (syndrome de), 326 –– de Ranson, 439 pH-métrie œsophagienne, 110 –– MELD, 211 Pneumopéritoine, 419, 429–431 Sérologie d'amibiase, 359 Poids Sevrage –– antérieur habituel, 83 –– alcoolique, 235 –– idéal, 83 –– en tabac, 235

Index Shigella, 284 Transit du grêle, 69 499 Sigmoïdite, 291 Transplantation hépatique, 207 Sonde de Blakemore, 202 Trouble Souffrance digestive, 400 –– digestif, 263 Splénomégalie, 197 –– du transit, 262 Spléno-pancréatectomie, 385 –– fonctionnel intestinal, 274 Stase gastrique, 106 Tube de Faucher, 402 Stéatohépatite, 158 Tuméfaction inguinale, 316 –– non alcoolique, 205 Tumeur Stéatorrhée, 231, 235, 272 –– de l'estomac, 339 Stéatose, 158 –– du foie, 354 –– aiguë gravidique, 151 –– endocrine, 278 Sténose –– – pancréatique, 380 –– bénigne, 402 –– intracanalaire papillaire –– digestive, 68, 149 –– œsophagienne, 108 mucineuse, 442 Syndrome –– – pancréatique, 381 –– appendiculaire, 423 –– kystique pancréatique, 380 –– bioclinique de Löffler, 42 –– maligne nécrosée, 46 –– de Lynch, 342 –– de réponse inflammatoire systémique, 438 U –– douloureux atypique, 120 –– du périnée descendant, 252 Ulcère, 108 –– dysentérique, 281–282, 284 –– hémolytique et urémique, 285 V –– hépato-rénal, 195 –– métabolique, 75 Vaccin, 24 –– occlusif, 391 Varice œsophagienne, 209, 412 –– rectal, 330 –– rupture, 200 –– septicémique, 282, 284 VHB –– tumoral, 362 –– dérivés du sang, 25 –– ulcéreux, 120, 342 –– toxicomanie, 25 Vidéocapsule, 273 T –– colique, 323 –– endoscopique, 411 Tachycardie, 201 VIH, 26 Technique ELISA, 24 VIP, 278 Test Volvulus du côlon pelvien, 396 –– au carmin, 272 Vomissements, 145 –– sérologique, 359 Thrombocytose, 62 W TIPMP, 381–382 TIPS, 202, 207 Whipple (maladie de), 277 Tomodensitométrie, 161 Wilson (maladie de), 206 –– abdomino-pelvienne, 292 –– thoraco-abdominopelvienne, 344 Y Yersinia, 284

Elsevier Masson S.A.S 65, rue Camille-Desmoulins 92442 Issy-les-Moulineaux Cedex Dépôt Légal : novembre 2018 Composition : SPI Imprimé en Italie par Printer Trento


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