Un concentré de Lorraine ! PATRUnIMOINE HISTORIQUE EXCEPTIONNEL Paris A33 N4 D993 N57 Maison de la Forêt Magnières Baccarat s D46 wwwD32 .tourisme- lunevillois.colomarm N E C O N59 D914 S
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LES GALLO-ROMAINS LE SAVIEZ VOUS ?Parfois les plus importantes découvertesarchéologiques sont le résultat du plus grand deshasards comme pour le sanctuaire Herculéen deDeneuvre. En 1974, un agriculteur du village désirantcreuser un puit fait appel à un sourcier qui lui indiqueoù creuser et là au plus grand étonnement de tous,une colonne fut mise au jour, prémices de 12 ans defouilles à venir.SITES À VISITER - Tour de LBaanchaa(eànDtreenMeuovyreen et Gerbéviller) - Villa de LVeoiDeo«nroomn aine» - de Raon-les-l’Eau -
LE MOYEN-ÂGEHISTORIQUE Ils furent de fidèles alliés de nos ducs et lorsque le dernier desDès le Haut Moyen-Âge, la comtes de Blâmont mourut sansLorraine est le cœur de l’Austrasie, descendance en 1506, il léguaberceau des Carolingiens, mais ilfaudra attendre le 10ème siècle pour par héritage toutesque commencent à ses possessions ause construire dans duché. Il reste de nosle Lunévillois une jours bien des tracessérie d’imposantes de ce tumultueuxforteresses. Une passé, malgré lafamille en particulier volonté destructrice deva marquer l’Histoire certains souverains,médiéval de notre les châteaux-territoire : les comtes forts restent biende Blâmont. Leurs présents dans nos paysagesterres s’étiraient sur tout le sud du comme à Blâmont, Baccarat,Lunévillois depuis Blâmont jusqu’à Deneuvre ou encore Moyen,Deneuvre, ils sont issus de la depuis leurs épais remparts, ilsfamille de Salm, ils s’installèrent en veillent sur notre Lunévillois.Lorraine à la fin du 12ème siècle.
LE SAVIEZ VOUS ? Henri 1er sire de Blâmontlddaeadpenménatpd’FatgfalllLiooeêi’rraun1uunaalnmnula8tioengnRtdrgrn7nieelucdévrtot0geepeipeersustmdourmutaepetnaileinobqt’mponieasnulduuAtsnnilpdeqt,iaertlnaevnsiludn…paeleieqoeleegllmuaxlesuctatuiitrfcrrtosegaveeeoéetgnleuareguerlansrueéanivooéegdsgDdétmgsnldeepeiiupeioma.meroapamnàlsufnleliseuraitnhtm.aaeniishslennéqIt’eMleiasçisunluqnif’beaféotetarluteiéiceosu.steforemaniemdixlllnebnatlerOeeeeiautaitètnsenirrsrente aussi connu sous le surnom de « le Grand », fut en son temps le plus connu SITES À VISITER des membres de la famille de Blâmont. Il s’illustra tout particulièrement lors du ---CCChhhâââttteeeaaauuudedetepBPoliâenmrtrmoenPétedricééveal de Moyen formidable tournoi de Chauvency en 1285 durant lequel pendant six jours, 500 chevaliers vont se défier dans toute une série de joutes et de mêlées. Le trouvère Jacques Bretel immortalisera cet évènement dans une œuvre dédicacée à Henri IV de Salm. ---CCThoirâuctureidateudsedVseorTueuémrsqpàuaBertasstcidceaenrDateneuvre
HISTORIQUE Pendant bien des siècles la Lorraine a été tiraillée entre la France et l’Allemagne. Cette lutte d’influence va avoir de terribles conséquences pour notre territoire. Le premier grand conflit européen qui va ravager la Lorraine en général et le Lunévillois en particulier sera la Guerre de Trente Ans. Si celle-ci débute dès 1618, elle n’atteint notre région qu’à partir de 1631. L’invasion de notre duché par l’armée Française, serait la conséquence du mariage, sans l’autorisation de Louis XIII son frère, de Gaston d’Orléans avec la sœur du duc de Lorraine Charles IV. Dès lors les Français et leurs alliés Suédois vont ravager notre territoire. Pour assoir ses succès, le roi de France ira même en 1636 jusqu’à ordonner la destruction de toutes les forteresses Lorraines. C’est ainsi que de fiers édifices comme les châteaux de « Qui qu’en grogne » à Moyen ou de Deneuvre furent démantelés sur ordre de la France. Entre la guerre, les épidémies et les exils, le duché perdra plus de la moitié de sa population et son indépendance. Il faudra attendre la fin du 17ème siècle pour que Léopold 1er reprenne possession de ses états et entreprenne le redressement de la Lorraine.
LA GUERRE DE 30 ANSLE VILLAGE RUE LES PORTES MONUMANTALESATiopnrrvpGcuuesrtlisrrahosilarnejoèLanljaaoacaprotusrn»ncrntnetguuua.dneigstdpLteserlr,iééeAstgnaese(dviéeésee.éenrcuRia’tsetuellnlesrllnulrdLsoeeo,eltéaedeeaopatiivreppesstexpaaf»aesoueirlcmap)ttgarsee.urétmeerllletmEpc’uaeséceefdslahidrupollesteéoseidieetaosnntdonmnoeetprscnsteuntcevcnetresvfdroetisl.soncluluuendtnellaLoaorotcniréetaemmgestncdtcsdcGseit.kegoeulércpeneuahsusnéoevuoc«gesanceslioxéasélrebtvoslereuritaetsiiremealotungresldpaiaa,tes.dee’atddaglduonnsieeLrdloeeeeniettelrunnlru-«uesdeeo,sxnsus On parle de portes monumentales en Lorraine pour celles édifiées entre la fin du 17ème et le début du 18ème siècle. Pour comprendre pourquoi il y a autant de ces portes monumentales dans le Lunévillois, il faut expliquer la situation de la Lorraine à cette époque. Après la Guerre de Trente Ans, le duché est exsangue, avec une population réduite de moitié. Le duc Léopold 1er, à la fin du 17ème siècle décide une politique favorisant le repeuplement. Des populations de toute l’Europe, en particulier de Suisses, du Tyrol ou du Val d’Aoste s’installent dans notre région. Ce sont eux, en s’inspirant du style baroque fréquent dans leurs pays d’origines mais peu présent dans nos contrées qui vont parsemer la Lorraine de ces portes. Elles sont souvent présentent jusque dans le plus modeste de nos villages comme à Reherrey, Brouville, Moyen ou Ogéviller.SITES À VISITER---CVPhiollârattgeeeasumdedoeFnrMuamiomyebenontaisles à Ogéviller, Reherrey, Manonviller, Domjevin…
LE XVIIIème siècleHISTORIQUEA la fin du XVIIème siècle, le traité de Ryswick a mis fin à la politique impérialiste de Louis XIV qui dutrestituer les duchés de Lorraine et de Bar à Léopold, nouveau duc de Lorraine.En effet, lui qui n’a jamais vécu en Lorraine, veut prouver à son peuple et aux souverains européens, qu’ila toutes les ressources pour gouverner. Il décide de posséder une réelle résidence où il aura la possibilitéd’héberger sa famille et sa cour. Un lieu d’où il pourra exercer son pouvoir tout comme le fait le roi de FranceLouis XIV au château de Versailles.Le palais ducal à Nancy n’est pas à son goût et ne peut lui offrir l’espace nécessaire. Il voit dans le château deLunéville la possibilité de réaliser la demeure qu’il désire et pour laquelle il va très vite concevoir de somptueuxprojets. La même année, il épouse la nièce de Louis XIV, Elisabeth Charlotte d’Orléans.Dès 1702, Léopold décide la construction d’un véritable palais, qui sera le symbole de son pouvoir retrouvé.Le chantier est alors confié à l’architecte Germain Boffrand qui s’inspire du modèle Versaillais et le châteaudevient dès lors la résidence officielle du duc de Lorraine.En 1737, Stanislas hérite du duché de Lorraine et s’installe avec sa cour au château de Lunéville. Le nouveauduc ne touche pas au château mais il décide d’embellir les jardins par la construction de fabriques, sorte depetits pavillons exotiques. Il fait appel au célèbre architecte de la Place Stanislas, Emmanuel Héré. Plus qu’unsimple reflet de Versailles, le château de Lunéville est devenu le foyer de la pensée des Lumières en accueillantphilosophes, savants et écrivains. Voltaire appréciait l’atmosphère détendue et tolérante qui régnait en ces lieux.Il était accompagné d’Emilie du Châtelet, son amie et sa maîtresse depuis quelques années. Cette femme duXVIIIème siècle, ambitieuse, a refusé d’accepter les limites que la société de son temps imposait aux femmes.Elle s’est voulue l’égale des savants de son temps, affranchie des tabous, femme de science mais aussi grandeamoureuse, femme de toutes les passions, femme moderne, en quelque sorte... femme libérée. Elle mourut auchâteau de Lunéville en 1749.L’objectif de Stanislas était de promouvoir les connaissances et la science afin de dépasser l’obscurantisme et lasuperstition. L’installation du duc de Lorraine et de sa cour à Lunéville permit également un développementéconomique, culturel et urbanistique sans précédent de la ville.À la mort de Stanislas en 1766, le duché de Lorraine est rattaché au royaume de France. Le château accueilledès lors de prestigieux régiments de cavalerie jusqu’au début du XXe siècle. Lunéville est alors appelée « la citécavalière ».
LE SAVIEZ VOUS ? Parc du château de Gerbévillere1dNmtm8tieToallàs3GaasGiaàtutfe1Llsiurairr’orsrecaélRVéélttsoaneumgoégcépnpéaElXoluhvoiaogrrgdlntVoitoèôimarudira.eIltestnelIureluse’Ia.eFuaèuetdspdnmoimntpnoealeCnuanere1enràsesuuidsot,7nvosdvrslanc5it’FéniAsslieetolè0eriiemstsèapngsssudclmndrdn’eeeeapéroléçeesu’rmurtéEcaqdeisldtnmhsHiebuieuiisdéugoecamtleeéfbaeéirnuifp.nnsrneeesidCpaaart.rsenSieogalmulCeteetàrneJxoldséeenlsln’reulnsaaPeouf’asacisniarLmnglbtlicnbvl,urieiiuultiaBaaovannsudrrtniealviescéeaoil’Aptrtaesesvanisiagrtnobsiueteaildfneesnlbluuoect,éteies Comme à Lunéville, le parc du Château de Gerbéviller avait été aménagé avec des fabriques. Ce qui en faisait sa spécificité, c’était notamment le nymphée, incluant le pavillon rouge crée par l’architecte Clément Métezeau. Elle est constituée également de 3 grottes en enfilade et ses niches ornées de statues.SITES À VISITER ---CMPhaaâritcseodanuuddCuehâMLtueanarcéuhvdailenledGeàetrpLbuaénrvcéildvleielrlseBosquets
HISTORIQUELddeferpuadetdeesnVilsepcérutjtoûfeueLpeàvrrtaqsvndtzcruaésnoscaeclïaaauodoéeBquvevssonoCsurleSqmutioueilAuemoniaunéemtsètrqasuepxdnprrczoic’cimvttmbiàtpusbbniaecnaetiirbpiiVdtnedreselia4alrrp,elutpeclserléeerem’sruénoerlnriendtaoexmqse.enztauCBvaueitoucM.stis’anosLsmudtdurasellnroptuséranuefeusdeualddcneetàdisaaaso(mesnusznesos,feuesiuiepapteaertoasrlpuLnerlejevrfearmïplqnuaefolrunaafeinaovd,eetanneeadueustjurocnniitdiocteïnssètlcvtlmfuejanirluécit.oisulovutedreeéedcrinlléoeovuuebtei’uecrrrrteeeiut’mécLg,têimdsduhrnrnltnérltslrieeeesilLtllddeo’ruueiootoeMoPhsprrrscuer’fupuii,iniBiehbstuerlexenslgXodaeltlao’lxsausXe.ciiusAraaényVnmlrenoSincdde.aiIsrvrvededLsIXtcavcnqitp’etIpniaminatenSuIaeesièeldtnuoètFntlabl,oaprtsreriaioiemriisoattreoupssornrvpèadnCeuiendtapensèenqscasrerrer.utrir)dved.eeataconcrnAraruiesCiCeoeetvprèivlsrsetdeculniaoeeauyeeliniiosFisroleoutrcldè,nvMnp,oboesnee-oircdscniere1fevtsenldosniuemrun-èuaaefleucee7n’eouuteesiCqslnernr6lmurissàeeiurun4dlrtnrereeimanttsuaaeulryivàfauàasvuporàovqévseeMlryfénatscfuadotcrédepia–rivotwhopiLextooirllaiblsaetanaaersiasllsamcDdoanmrleecobe,nsteecgtSbbunss.iinlliillgèueiolovlricaolrtlaapasteCretfpeoéaicncesnencalrrdpse’idéaeiessjoFxtdméoscoe.rsiuuemsrptptcvheamfuaiteécrxMoecloviatdiene1ltecuioberoqdaTmguéquané8tcarxàrurnueseroipfuredtie7aemnrsaptsirV«vcveeito1epsnleeaioefdroVsarinPacofatlpltturnr’rléuqio’ititbuecal.eaqrenirpteleuyiedèisavrnttnubradsvlitosderm’orsucqCeuateraeouduueohisicuhevxmrdeisnvrartirdicétaveteântreavtlégrelsetriittuadeuiiedtraioilnèaerLcetlérWelscsneiljnarrsulelàeeon’rooesdeastlbatrtenn’ntucpdAmetLftdlAiuéaieouelrnleeuérlémee.lvunllommreurcosenstTuiedltrnépceaalremmééoctrlben.eocinoejélreLvesmontrsaiabtslcnuoiereeqo»uetlvagirovilrnualuenneearvLniràueblelxauesioisaienllesndiluilsxileneétpresei-stseasse.r
LA RÉVOLUTION INDUSTRIELLELE SAVIEZ-VOUS ? LA COUR DES CRISTALLERIESM«aCdGclfroLaearfEcsaoiCr…,ManneHilldidEAtfdterNéérMaeoTlusFueBladasvfeRaïeanaEemïierTntfgi1naTcssi7necuElcee5ra,ursis8lelfpeeas,»fr,pcitopnDteédpuoercierrtrusiii-eaétroàloLtendaUdisbrieeeNr!ipessEdErcSoVmneudApIiecLotItrNeLoettltEiTuasrftè,-sseàs Cet ensemble a vu le jour en 1764 lors de dur. l’implantation d’une verrerie à Baccarat. De forme rectangulaire, il comporte l’entreprise, le château de l’administrateur, des logements pour le personnel et même une chapelle. A l’époque où la verrerie puis cristallerie chauffait ses fours grâce au bois des forêts toutes proches, il était difficile de prévoir à l’avance le moment où la température de fusion serait atteinte. C’est la raison pour laquelle les verriers étaient logés à côté des ateliers. Ce site qui était autrefois un espace clos au milieu des champs est aujourd’hui une petite ville dans la ville.SITES À VISITER - MMéumséoeirdeudCerTisetxatlil+e à Val deteCs hCâritsitllaolnleries à - Cour---(McAEfxtue:psRloéioeesrui-tatgietoaendlleiseerdrileaeC«FéFaDraaïïeaemnnnisccqeelue)tesocàuoBtpaaeduaoulonxnv»gillàedreMla’agnnnièérees Baccarat des broderies à Lunéville - Conservatoire
1914 LA GUERRE DE MOUVEMENT HISTORIQUEdrFaebMeervbdpfairosleeuVooroe’na1tAùeirntreChrèsfcç0segaeftrcdfdzscafrr’ahmderueqranrpdoeleaspcoesria1aanoéSesnstuinneriueéprninot8tltâiysséltedi’fortptgeàszélouft7idoûtarpanunlvoeeiirleuobii1ebnntrdgadeéseaetsdneFincns.–ilnéeosrséueftcetraeadtopétsB.eruesapnaezisnvutoeuesml,Lèltamnéfc-ucslaeafànuruouvrdcclefçSspCtcenieeortxnrtoonoeladiasfoi,eloeetdnduièénemnielnncjrenyrpsauroterarsvte.tdtvausp,qaee,abraupenineAiteMexsblsudbdslcaurrlmorsecldtnefssrleeéto’utdorpteartudieilvtlsoerpebdteup’aéçssar.na’nieAlubtsa.elleXirolnucdrCvelerrtrugvfrLrerttileenIoonaoeelmlmtXrias.eàviseenrcuniadtsrtdleèsetattlmtenéélMivpcdleéai’tameeir’émvtndoeésieneesurednerétatmiBdrtfednéoessémssanifilBeld1sipteveatuelelândoeaeat’d4edein1sarmaippmutsnx’bsmvfnliénur9easnerèoeréaslalbiijootnbat1peslcpèc’sveàupordé,arlnni4clloare.eeareeâtûFeMeeeoépAtt.Msa.iscCprnrsctsiftuianèlettLAea–lièarnhuclemeoéltnveqerutelcdeaigéueanpaescteCmçiurpsoveleqcnsrealtrpafeileaaaetpuiohcrrtauelCçnihcoioeclurnsaôvcamantecgeeoatseereyénlrucertiidrniatvrevr.rcsébeaèiturxégpdrfasseoiaisbusaunlnsèdruslelstséeiatrtrierurèadsitensmedtt7LarouseAeadnedleeielnae’irtselaboetdepmliltossecnarauaeutostcutrmcBtieitdviMnuqrinonlpLeasltitdmoadelfuvLcaosueiénsneeiLootqlaulur’uicinelmleleabrrfalerreecteuèsplintndelitnt2sirepo2el,lqstebKeaeéaltget4tdsresmF2nucgseeavvdàeesos1ereoleneriinaaar’utnebdsusel9,eaFRomeslsotMenoesaioaqnoe1ffrctoatsnn.ffûcarnçnrtôi4tuûoetrazJasdht,dnaetleittdtenceutlav,mnesailaéreéçnetsaleLveosurlsisnisauuatlmMxedlaeqluatfnsreseeiccxeolérlsuedenouBesvuhs.eoipcneclr2dtru’aanéoiB.onemaréofuesltl70entrvlottiuAauulservtasa4uMalvieseracrétrcirllrrigcnex1eeànlldarelcsooeseelsaletenntp2neatae.eusûenplamirseesireatmaesApmAntsrti«aeddse.er.daurperttepttstaeTl’udimunerDpxulHpeasnearoiarnimndneetnoeeaàtyeiacsctLestsdGrtutdstsobpncbéàGtsmvtrpiaopéouaruttoroairàaledsargauéeusne’bipitrrmusorlrnareeést,datosderéltblttdneéc’d.ogeteol–osnciuseeienlte,AeiiroenfeipnendqBvsestlfcctCpnete2Ctsaéailesuterlh,ltâoeenir5etdrtlhrtpeeeaèmodiLicusoepsee’olanvnlmraseutpal’iurruA.êstlrneovoveudroisonmtpAsuetppeilenuntrntrl1fûétérneerorideodtrtelrp2nnevsts,’a.mdsseoniiese,allsisériuveuleutesnlla»eprs5eesupp.tnca,0seaeLdrrses
LE SAVIEZ VOUS ? LA QUÊTE DES FAMILLESpBptcàoleccoAôâddôurpefppmtGrndurt1eruériuaoégtoee0ocxorl.ncFmluoa-ntadikôrtcErtvmttiaipéimeiitsneèeeonémes–psrrrrlnçre’rnsare:taAodaéqeCCenjibdinalru.onismlfg’ereleotereueiaradstmenlderyégltnqacsnanr)u,aeculenitaedsnonsctestsqeteedt-epsFféelaurolmarraedallaoeiejalzoaernptfFnloenugomsaçsr’lncaaaasrnua’aosaeingenuidenlgsnntarsrçresparad(rqadieungelnlieuesuessr.spoudosêseseLtrdeeiltloardoedohreeptvmurunaalnoioebaldvtrragmmiuudaàeesàvnrt.srpmeberdcéltqénaiLeaneaeeeeutratuunsansaleerxidiltltsaee A l’issue des terribles combats de l’été 1914, beaucoup de famille furent sans nouvelles de leurs proches, disparus dans le tumulte des batailles. Pour des questions pratiques, de nombreux soldats furent enterrés à la hâte là où ils étaient tombés, dans des tombes individuelles ou des fosses communes isolées. Les identifications étaient difficiles et le moindre objet avait son importance. C’est pour cette raison que le nombre de soldat considéré comme inconnu ou disparu est relativement élevé durant cette période. Un premier regroupement eu lieu vers 1916 côté français avec l’implantation de nécropoles accueillant également les corps des soldats tombés sur le front tout proche. A partir de 1920, une partie fut restituée aux familles qui en faisaient la demande. Les autres sont toujours dans les différentes nécropoles citées ci-dessous. Côté Allemand, les dépouilles furent regroupées dans les nécropoles de Reillon et Gerbeviller mais bon nombre, placés dans des tombes isolées et non entretenues entre 1915 et 1918, ne furent jamais relevés et ont donc mélangé leur poussière à celle de trente invasions.SITES À VISITER-R-G-MoPNezooréenbncltiéureovemuitplrelNeoenslréetcssreoFtrpaNonélçecasriosFerpasonelçetaNAislaeletsimoenatanAldelleedsmedaenRdeeislldoen -----NNC-FLMNéaooetcrloéiLtrdoncoédernuopoeamlmopalMeloeeoCanldnehNntetisNaopà,FtnoaEriVoetvtsiitnpsiotelcrlaaneiamlcareteiloed–CnedhMteBaoauCudbotoeuontrnbveNietllsoNesiréercaruoxpole
HISTORIQUEA partir de la fin du mois de septembre 1914, Vezouze côté Allemand), chaque village estla guerre s’enterre. Fait quasiment inédit sur également occupé car ce sont des milliersle théâtre des opérations, durant tout l’hiver d’hommes qu’il faut cantonner. De part1914 le front n’est pas réellement stabilisé et d’autre, on va développer un systèmedans le secteur qui va de la Forêt de Parroy à défensif en profondeur visant à interdirela Vallée de la Plaine. Dans cette vaste zone, toute manœuvre d’ampleur. De ce fait, notreil existe uniquement des avant-postes de territoire qui était un une zone stratégique àpart et d’autre et c’est surtout une guerre l’été 1914 va devenir un secteur secondairede patrouille qui va s’engager. La population et réputé « calme ». Mais tout est relatifcivile qui demeure dans ce périmètre car dans cette guerre d’usure où l’artillerieest plongée dans un profond désarroi et prédomine, les pertes seront quasi-sera petit à petit évacuée vers les lignes quotidiennes. Les deux adversaires ontfrançaises. grâce à l’observation aérienne, une parfaiteLe 27 février 1915, les troupes allemandes connaissance des organisations de l’autrelancent une attaque sur le secteur de et les tirs d’artillerie, très précis sur ce frontBadonviller et notamment au col de la inchangés seront souvent courts mais trèsChapelotte. De leur côté les Français lancent vifs. A partir de l’été 1916, des deux côtés lesun assaut sur le secteur de Leintrey-Reillon divisions de réserve qui tenaient le secteurles 19 et 20 juin de la même année. C’est vont laisser la place à des unités éprouvéesseulement à l’issue de ces attaques coûteuses dans les grandes offensives comme Verdunen hommes dont le but est de « rectifier » ou le Chemin des Dames et qui viendronsle front, que les lignes de tranchées vont se dans notre secteur moins mouvementé,fixer définitivement et resterons quasiment pour souffler un peu et se réorganiser. Afininchangées jusqu’à l’armistice. de tout de même fixer un certain nombreDe chaque côté, on va organiser l’arrière d’homme sur cette partie du front, les deuxfront et si Lunéville et Baccarat deviennent belligérants vont organiser de manièrecôté Français d’importantes zones répétée des raids ou « coups de mains » quilogistiques (Avricout, Blâmont et Cirey sur feront là aussi leur lot de victimes.
LA GUERRE DE POSITIONLA GUERRE DES MINESLe but de ce type de guerre est de détruire les installationsdéfensives de l’adversaire en creusant des galeries sous celles-ci et en y plaçant une forte charge d’explosifs. A Leintrey le 10juillet 1916, 83 soldats Français périrent lors de l’explosion de 4mines souterraines. Ce procédé fut également utilisé de façonplus courte et moins meurtrière sur dans le secteur du Chamois(Nord de Badonviller). Mais sur notre territoire, ce type de guerrea atteint son paroxysme au col de la Chapelotte. Durant près de 3ans, ce sont pas moins de 55 explosions qui vont complétementbouleverser la colline et lui donner un aspect lunaire. De part etd’autre de cette côte 542, Français et Allemands vont développerune incroyable logistique et vont descendre de plus en plusprofond, jusqu’à 80 mètres.SITES À VISITER ---l-M-aO-CMECMebosionnsprécentuanrurucmeevimetaldelpetCe’noIéhnn(tiPdrattdeieeueSursbbarptr3érererte5tétooP8t(1raneLei4oturn-iRcon1éàéIné8eàdPv)àeeiBieltMalHredrdaeoe–obnPnVdlteaviortrieinrccluiluévmexeimrloleennt)tation de-----CEAHMonbôltoropdinniedtunaulmaloKsieCrornshoutdantdpeepererLrislaenoBiiztnnrt(atedErsemedyDbeeoCrmhmejeémvniiinsl)e de Reillon
LLAESRAECMOÉNRISCTARIUNCSTEIOT NHISTORIQUEAux alentours du 20 octobre 1917, les habitants du évènement inspirera le poète Joyce Kilmer quisecteur de Einville voient passer des soldats dont écrira le poème « Rouge Bouquet » du nom du lieula silhouette ne rappelle en rien celles qu’ils ont où s’est déroulé ce fait tragique. Ce texte devintpu voir auparavant. Il s’agit des soldats Américains célèbre outre-Atlantique par la suite.de la 1ère Division d’Infanterie qui montent enligne dans le secteur Arracourt – Bures, près de 6 Les « Sammies » vont s’installer dans tout lemois après l’entrée en guerre de leur pays dans Lunévillois et se fondre dans la population quice conflit qui patauge depuis plus de 3 ans. voit avec intérêt ces hommes non usés par laLe 23 octobre, le premier coup de canonaméricain du conflit est tiré et suite guerre, ramener dans leurs bagagesà un coup de main Allemand, les 3 un ravitaillement conséquent. Apremiers morts au combat sont leur contact les habitants vontà déplorer dans la nuit du 02 au découvrir des sonorités nouvelles03 novembre dans le secteur de comme le Ragtime et un jeu auxBathelémont-les-Bauzemont. Ce règles bien étranges que l’onsont les premiers d’une longue nomme Base-Ball. A l’automneliste. Très vite d’autres unités 1918 les américains laissent laAméricaines se succèdent dans place aux troupes françaisesles tranchées du Lunévillois à partir qui préparent dans le secteurdu mois de février 1918. Elles viennent une offensive d’envergure pourse former à la guerre des tranchées. Cela ne l’hiver. L’armistice du 11 novembrese fait pas sans mal car les troupes Allemandes annulera celle-ci qui à coup sûr auraitvont quelques peu malmener ces nouveauxvenus en organisant de nombreux coups de de nouveau dévasté notre territoire.mains et surtout en employant fréquemment les En 1919 l’heure est à la reconstruction. La tâchegaz de combat, notamment dans le secteur de est énorme le long de l’ancienne ligne de front etBadonviller. Lors d’un bombardement sur la forêt des citées dévastées durant l’été 1914. Vitrimontde Parroy, le 07 mars 1918, 19 soldats américains sera le premier village reconstruit durant le conflit,périssent dans l’effondrement de leur abri. Cet viendront ensuite les autres. Durant les années 20 c’est petit à petit tout le Lunévillois qui se relèvera de ses décombres.
LE SAVIEZ VOUS ? DOUGLAS MACARTHURmàpppdllocéharOeaeéetrarantsbctttbetel,oarleisniiitnqqllapclptefeuutloeéiieetoceusrl..,ihiutntnoDmèrsptd’eruqlofeeualanuaisusnrceiedisfolmappeednccmsaaeptoirrlféleetûteai,btnrtecàéimeoltéurtyiesserpsauasrceaevopolrloca’qnùéuuoirursltrnnlitiaeeedlreniiruuesn.laparaiDeitettoepi’rapaoueiaieudénteprrttererrdérrlseèeeeess Né le 26 janvier 1880, Douglas MacArthur commençe sa carrière militaire en 1903 dans le Pacifique. Après un retour aux Etats- Unis, il participe à l’expédition de Veracruz en avril 1914. Il arrive en France avec le grade de Colonel au sein de la 42nd Division d’Infanterie US qui se formera à la guerre des tranchées dans le secteur Lunéville- Baccarat entre février et juin 1918. A cette occasion, il participe même à la capture de plusieurs soldats Allemands devant Neuviller les Badonviller. Mais c’est surtout durant la 2ème Guerre Mondiale que dans le Pacifique, son nom passera à la postérité. A noter également la présence au sein de cette même 42e Division d’Infanterie US du Major William Joseph (Wild Bill) Donovan, futur créateur et responsable de l’OSS, l’ancêtre de la CIA. Lors de son séjour Lunévillois il fut décoré de la Croix de Guerre à Croismare le 18 mars 1918.SITES À VISITER P-c-R-rMaoOééPumsocblxaehnbéqmniulaciucstmooeeqàureutAhrBsnetomat1lmdtad4éhu-mPree1iesscl8aéota3gimudtinpeeveoeredenBn:umtaircYiceàMarGsrCayAAtpmssueérrHilceiallmipnosrèntsuudémseeanutR--EeVEmciglolblainesgesremtsrdduéeecntViMliiot(oerninnm:ttrroeenuatxu,tLreeisn…tr)e.y, Reillon,
HISTORIQUE En juin 1944 suite au débarquement en Normandie, les actes de sabotages et de résistance s’accentuent21 ans après la Grande Guerre qui a profondément sur tout le Lunévillois. Paris tombe le 25 août et lesmeurtri notre territoire, un conflit avec l’Allemagne armées Alliées foncent vers l’Est. Nancy est libéréedevenue Nazie est inévitable. En appliquant la le 15 septembre et Lunéville le lendemain. Mais lesBlietzkrieg, les armées Allemandes déferlent sur la troupes Allemandes lancent une forte contre-attaqueFrance à partir du 10 mai 1940. Le Lunévillois ne sera d’éléments blindés le 18 septembre sur le secteurconcerné qu’à partir du mois de suivant. Le 14 juin, Arracourt – Lunéville. Celle-ci est freinée puisles Allemands déclenchent une offensive sur la Sarre. stoppée par l’arrivée rapide de blindés américainsCelle-ci évite soigneusement les secteurs fortifiés de et l’appui de l’aviation. Cette bataille qui prend finla ligne Maginot, qui pour la plupart ne tomberons à la fin du mois de septembre prendra le nom de «que fin juin. Parallèlement, les troupes Allemandes Bataille de Chars d’Arracourt ». A l’issue de celle-opèrent une manœuvre d’encerclement par le Sud, ci, l’automne s’installe et avec lui le mauvais temps,venant du secteur d’Epinal. Les troupes françaises se rendant les combats de plus en plus difficiles. Lestrouvant dans le Lunévillois sont donc pris dans une Américains mettent ainsi deux semaines à occuper laénorme nasse. De durs combats vont avoir lieu du vaste forêt de Parroy, subissant des pertes sensibles.côté de Blâmont et le long du canal de la Marne au Durant le mois d’octobre les Alliés marquent uneRhin où les soldats Français et Polonais se défendent pause sur notre territoire, notamment à cause duavec acharnement. Nancy et Lunéville sont occupés le problème de ravitaillement. Malheureusement, de19 juin et Baccarat le lendemain. Dès lors, ce sont des nombreux groupes de résistance, sentant l’arrivéemilliers de prisonniers français qui vont être enfermés des libérateurs se sont manifesté au grand jour. Ladans des Dulags (camps provisoires) à Lunéville et répression conduite par les services de la GestapoBaccarat. sera terrible dans toute la zone du Piedmont Vosgien,La vie reprend peu à peu malgré les privations et notamment à Pexonne et à la ferme de Viombois oùla présence de l’occupant. Cette dernière n’est pas un maquis sera pris au piège et durement touché. Leressentie partout de la même façon car elle n’est pas 31 octobre, la marche en avant reprend mais il faudrapermanente dans les villages et c’est surtout à Lunéville encore attendre la fin du mois de novembre pour queoù se trouve la Kommandantur et de nombreuses le Lunévillois soit entièrement libéré.troupes qu’elle est la plus forte. Le Lunévillois setrouve en zone interdite, au contact directe de lazone annexée par le Reich. Cette position va faire quetrès tôt, des réseaux de résistance et notamment depasseurs vont voir le jour. A partir de juillet 1942 larépression contre la communauté israélite commence,les premières déportations commencent, atteignantleurs paroxysme en mars 1944.
LE SAVIEZ-VOUS ? LE MENUET DE BACCARATLJps’teédDeSrrdacaeiriesrunmanoiBvscnolPafdaàaennaicémnruiecitetlaelpredrnSelenaeeeuanttt2A,rvBlt1’delseerlpierejeanturhmuuunaiainéxvulpaoopàigrasmiqèlPnrouu,suaoepsddiqi)iaheséyoauveucuuora(rrêaxrisiDrvgtvF(ianauVelérenaneroltattén.tstHgçrglaefsaaenaosixsivs°nto1)iàe. Le 31 octobre 1944, la 2ème Division Blindée du Général Leclerc se lance à la conquête de Baccarat. Le plan est audacieux, Leclerc veut faire évoluer ses colonnes, regroupées en Groupements Tactiques, sur un terrain peu propice car boueux. Mais surtout, il veut qu’elle se croisent pour brouiller l’ennemi. Cette pratique est proscrite par tout stratège à l’époque car il augmente le risque de se tirer dessus. Ce mouvement ou ballet savamment orchestré par Leclerc et ses hommes rentrera dans l’Histoire sous le nom de « Menuet de Baccarat ». La Ville sera prise en fin de journée par surprise et très peu de perte côté Français.SITES À VISITER-P-MoMlooonnnuauimms eàenLntatdgdeaurldaBel1oèordeyDMiveisaidoonwdeàsMGorenncaedl lieesrs ---H-CCCMaihhrbcoaaluranuiiSutsnhsmdvéeeielerlmelnLatea-BcFnaleet«rarmcMilleeeonrddtfeeoHVrCoêihomtamdmrebdeoM’A»isoràrnaBdcaoodunoràtnviller Lunéville
PATRIMOINE RELIGIEUX HISTORIQUEépPeStadleLnadaapudMuuebLccuGeirxcécmaoeslisvdoa1peiefFReàolésrcoerDoeyuleputrlelosinphuuuuornacesnrleroepametirrBsuhriévtnmtspeirce-seiset-idoadprucelduuètÂalleouaueinoesices’evocinnaHngrttmsnrhtneulrlnnyssdteaDteeqeiasnpslavtbiab,er,gutmsieauàqéliacniosbacénureinvsvunutspauitaennaegtyloaillien’joyo.eanolsselevooieedejrtonnlstrrotuàtuoLsié’phnsàpigcnJrBsorrnnasdVan.aieqsoaitéeCqirgrsnpiogsorrDyrumgarttuttttaeiifnrsemaa’uiéeeadavuàieieaanltcmnpleimnelrbgenndcèviraeerrelsveomroeeoeerpéunnueureanvmmeti.selotlebrvn,deauttntsdundlrepsestelctenoeleoèistneemealessé,massuittgtsmSrçcvilpeopltsletaàniebcHicaereeorussluioeéerleeHionenomdoitnelrmslntmeeuriptcamuèiu.g-lpsetoulàsimix.iumslleorLtaesereelnsesessspdélLpr’b’étoarouqalregdautavAlénbiuprimrldeloafsaiélouleirsueeiripsqvvpisqrecTesinersiumlhudtlreluaetrl1ereeSieeésemcrampt7unaeédetdetlèiértieieecarnulnèoemetmtnndtrhoncusRe-tseeéipueAeRersotsddeseulvnetnlaiumeto’FimexmétsSyfssriiacgoatirééopyèdehaueenlmivsvitscnt.éoxtstoiidtléosoetilreeCllslrepseisuebd,éluletoaeSdedpseritDdsucftacartuseiona.fet’uisnetâsinipuaoecnnrtsgt1ctdatsmfefote-oreulo8rJrsdeelcuu.eiaaalèrsoealtmvncmavLimrlqratremiteaeaeeèeetguanm,tdmtGngeruuiecesorcannipuuosteinelenntlyeeneorrnedosl.lsràenroueuteirrrtenrereleeg
LE SAVIEZ-VOUS ?CdcXddoloeesoIluanIneneIrnèsssrsLtamgRsttrurihrorunueèonloyieiastiétmse,esvrLipaotmeièolrvoslnceaeueeerldnei1tscseid,7tfssie«8FuloXaedsr6tnVaspi,VffnIaalf.oafélacçreasrerEasmgecpydllhneneempeasicartr.pimeeepgésArscm’eloèiiatnssnsgueqissèpouirtcuoraotlereéenelliueeterr,s enfants.SITES À VISITER -----A-P-EESEbrEggyiggbellnililusaisiasesyergeeéeSdoSddadegaieeenuiBnSFteSatraJayodRiaionvnecentiqtmlL-lCueSuyleanédusméevdveeieDlnuleLetrunneéuvvirlele
HISTORIQUE UlIdernqengeSuudlutdeldaraLLrinduaadgeéiéaunnlse1eigtipaneptfgtdr9iirur-BauéuoréuiiMèeeetrolvanixsneamprtfmlicsaoeael,lrreecdluriemeoieteaèe1drnaidpnribsreèdeacpaneeéscxrr1etereilereesef,èaè9ilunoutdomecés4dtttusmludeeg4eGepevrel.,lulnasBlusieaéeeslxélnepehs,âlalifo’retèéRaaoemîtrn-somgsrfeuéqdgSrcéotulvraueaeiohesensotépeis,tiMeumnttldhtpsculespsrt’ioeoiééou-tefcqosiRnimngitmccoounufteudlteuinniemeoréimerssiortsesateneetnrylntreesrssedto,gaLoécdc’pduuaaigànodemefopvierLlantftsecaeurufotplt2shésrmeenrlAnrteoèeripumtrtteéfbzmruspceootenvetoàsitcaauietyirtisnyyltsneoyaerllumuateeplésitnsallrnGs,.sr’,slrésbedeaeptu.gpotpssinLpamaelalpadirleilrsrcelufdoerrlreéeooleseesenroedptimtScsssmdeeuodaioMmdvoerrimneprbéan’snloiuess’asgieâtuanfntnno-rotirgtLéfncvdàienuiroméelsuiamiicliaoslsusBceltaal.oepioexangotpsto,cimtenodadtsclsddvrnrv,maave,èaeonradseaisret
PATRIMOINE RELIGIEUX MODERNELE SAVIEZ-VOUS ?JsBeoui2dèaétbynd0ecctaée0é1cluets0a91olp,aa0r55njeaud70p.tclcs.’’tiaEétéatèaerlSéglclctèieéoelnelibestsnsstémreeseddusieéoiennrdrdMetsdiiciégqacefréarféuitirécinsneneeetlrtmuieuae-nefRlanreeanpuetncndptemrtrttuosrmueé.yvdersoee1naXenn9nXndpda5osetenl3eneult,etsSITES À VISITER -----E-E-EEEgEgEgggglgllililislislisisieseseseeeedSSddd’aSAaeeieaiznnBiLeMnttleerâtLaoimnJ–éinletolRoterapreensneyomtnuledxy dd’eArLcudneévLiullneéville de Baccarat
AUX ALENTOURS NANCY PAYS DU SEL ET DU VERMOISbNqdPlâdacuoa’évotadoenleiuiIpoaxnrmmneccuilypNnayshpegpdlatduiailnèiCèeootattnéetrrnuascfsicpecfclsemreéàroyatiArab,uiuSrooèdnreelerttvierftetansaSnefrNtlrniteàddrelaoeaipdl’mseenêtvucalletpuioaveltosbrvaisanlseelnnaeaenaempsecdysrràutadceleiaan.aevuvLudugcSliaséerxluenndtleursepaeii.zeddtf,XnrcdiaeeS’qlVldAizb’eesnaUuyIellnlInldaeneInlmiPoè’assrEseaem,mnikcesbr-olciochcnlaeb.oeeuolesreud.Ib,pesuentfNeiielmulrdflèsiaéeemoxceecclberarnslepdeiltte,se elababnlcupelldavciiaaNxEnanloienmalnsitéLSlrsccdeeetomauohrrréalrqseenelieagrnanéulanasNitaseeqiitoelnaaiscedeuoftu.cenonrmeenVt,acmàsidaanvfePyfêcraledpinoçatedhtmaetétrénteeetil,isagSLpvldlcelleauéaaueedesipvlnlitn6edlsaivhéeltdelvlleedlvoeeradéNeriéntslXccuceoilbcicoeeInèlgelèsroen,’urefaemrmlieltvahnaasnlr.rsbpmseeac,bie,rlrehrsoadireassiniisasèe.ls’eteueiicNl,dcnàinldqooteeetmoecuun.ppRuEmiuenègFaoltsleurloatdseeéareningeroênèeanciqntnnrbcSoreueesdareardsiseegeiutnereetPAYS DE SARREBOURGlrd’lAeàAaesquvVsuFaoaprapulaileeMénrcudecueredrdn.pueedElunotDlsa,pofuaqoSnnmuuaoerrpinrlaltec,eoreeaRuomndojutoibuesuenagtrnraresqoti.rprupeAelei,udczacsammeàld.tibitreseeo,znprpdaSortoaduumirurneuett,-rnnQCaaieusndénierjftiooeneurr,nerPvscoiatlhilureacergsjmudess’i’Aintcmebladpruseeosnséfseceehprjowcafoourimlrmrleneismrétle!eieeAsprluepavtslohlusiueeésusnebtfiiàeedqarépuauarexdol mépfvictoialeolucaruhrgdvisenreeiser
PAYS DE SAINT-DIÉ-DES-VOSGESpEUuifrnfnmlnnnéaromfSsasiiaatodttnienuottrrlé,unaladcitnattngiiéthoeqtote’eraeoenuuid:.gmlzcunaredAahnbédspenefeeleSaanaisses,esbanrtsrte,zilorsenlpevsiedccptpoaldehea-mMaraiDutseetsciliuairoocteévdtsssrunieseasés’edelriricaaietfrrfeteefisérevsterPdt…sro,aicViésesecsdituorasstirueerCrensreceVsegselaeut’roœePlfNnielolsutsuoiousger,ndvmiêëlpvuedieutsplrsaiessseinr,sarted’seaVtdiscdeumgonuseTeezcoamtxTprglrdtàaelogqeilaeenarlsreuGaiubereseàiirxcndeétsafploiltogéagednloiiccnarrrsedCueieaoléteeeronnusllmivamnoddveGFofteseuepFuiiruersneaCaepltseuatrerr,rercxtriscidnHevhdeébise,irfi’adlautacedéreliuunelnrlesgliciveiiècicsirttrréeirahseivaHlec.asededuhpaseze:érxeuasitsLdclertap’eteheeisnoéacxsneCnsucetpoVrHuésrdalioriomelusiébtmssistucttougegaoorudisseéetniuli’irseatoeloeevlinpercpànrrdsaraelqeèePtfnetleuocsslitaJgt-hcêregiefelitinae’aanueshfrtcuntgeaietdiesxiè,rirPstetn,rrarotareciegnecotniirotsvaauqaeqi.iivtvvlruluueEeeidéetiirsac.éu.teaus::,
NANCY VIC / SEILLE Nancy BEZANGE LA Reims GRANDE ARRACOURT AZELOT COURBESSEAUX Etang de PARROY BURES XURES PARROY Voie Ve VITRIMONT SAINT-CLÉMENT MOYEN FROVILLE VILLACOURT ROZELIEURES CHARMES EpinBael lfort
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