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Sommaire 09/01/2016 LE JEUNE INDEPENDANT - HORIZONS. 10/01/2016 // EL Watan - L’EXPRESSION. Le Soir d’Algérie - Ennaharonline - // Algérie presse service. 20/01/2016 Le soir d’Algérie - L’Echo d’Oran – // Le jour d’Algérie. EL MOUDJAHID – L’expression – Le soir d’Algérie. Le Quotidien d’Oran – Les DEBATS

LE JEUNE INDEPENDANTL’ASSAINISSEMENT DES RECOURSPARACHEVÉ AVANT LA FIN DE 2016Les recours relatifs aux sinistres matériels véhicules, en instance dans les compagniesd’assurance, seront totalement assainis avant la fin de 2016, selon le président del’Union algérienne des sociétés d’assurance et de réassurance (UAR),Brahim Djamel Kessali.R.NLe09/01/2016Ces dossiers, qui concernent les recours cumulés depuis 2010, seront assainis grâce à laconvention d’assainissement des recours au coût moyen (Arcm), signée récemment par desassureurs publics et privés. Les dossiers antérieurs à cette date ont tous été réglés.En janvier 2016, ce sont les dossiers de recours de l’année 2010 qui seront assainis, tandisque le mois suivant sera consacré aux recours de 2011, alors que ceux de 2012 le serontavant la fin du premier semestre 2016, explique le même responsable qui avance qu’unavenant à l’Arcm sera signé pour pouvoir régler les sinistres en suspens de 2013 et 2014avant la fin de l’année en cours.« Nous allons ainsi mettre fin aux litiges en souffrance depuis cinq ans, ce qui vacertainement nous permettre de gagner en crédibilité vis-à-vis des assurés », selonM. Kessali.Les litiges en question concernent les assurés pour « dommages et collision », alors que lesassurés « tous risques » sont remboursés systématiquement sans passer par les recours.Avec plus d’un million de déclarations de sinistres enregistrées chaque année sur fondd’augmentation continue des accidents de la route, les sociétés d’assurances « sontsubmergées par les recours qui sont constamment stockés en attendant leur règlement »,observe-t-il.En fait, le problème se pose comme suit : les assureurs des clients victimes de dommageset collisions, qui doivent attendre les remboursements à verser par les assureurs de la partieadverse pour pouvoir les reverser aux clients, se retrouvent souvent avec des montants deremboursement inférieurs aux valeurs déclarées par les victimes. Parfois même, l’accidentest déclaré par la victime chez son assureur alors que l’assuré qui est en faute n’aura riendéclaré à sa compagnie d’assurances.

Face à de telles situations, les victimes des accidents déposent des recours chez leurscompagnies d’assurances, lesquelles demandent, à leur tour, aux assureurs de la partieadverse une deuxième évaluation des dommages matériels ou bien des documentscomplémentaires aux dossiers d’assurance, ce qui engendre des retards.Mais grâce à la formule du « prix moyen » du marché, adoptée par l’UAR et soutenue parle ministère des Finances, les assureurs comptent mettre fin à ce lourd passif des recours,qui impacte la confiance des assurés en leurs assureurs.Ce « prix moyen » d’indemnisation représente le rapport entre le montant global desindemnisations de l’assurance automobile d’une compagnie d’assurances et le nombre deses dossiers d’indemnisation, représentant donc la moyenne remboursée par la compagniequi permet d’évaluer une moyenne unique du marché. En utilisant ce mode de calcul, lesassureurs sont arrivés à définir un coût moyen du marché (pour le calcul des règlementsdes recours des cinq dernières années) de 37 148,5 DA.« Cela ne signifie pas que chaque assuré aura exactement ce montant. Mais cette sommepermettra aux assureurs d’échanger les montants globaux dus réciproquement enmultipliant ce prix moyen par le nombre de dossiers stockés chez chacun d’entre eux »,explique M. Kessali. Ensuite, il reviendra à chaque compagnie de rembourser ses clients enfonction de l’évaluation des dommages qui leur ont été causés par les accidents de lacirculation.Dans ce cadre, une opération d’échange de chèques entre sept compagnies d’assurances(Saa, Caar, Caat, Ciar, Cnma, Gam et Alliance assurances) a été effectuée récemment pourpermettre un règlement rapide des 12 610 recours en suspens enregistrés en 2010 pour unmontant global de 470 millions de dinars.Mais l’objectif final souhaité par l’UAR est d’arriver à un remboursement systématique etimmédiat des assurés-dommages et collisions en laissant l’assainissement des dossiers sefaire a posteriori entre les assureurs eux-mêmes. « Nous voulons arriver à ce que le clientsoit indemnisé sans que son cas fasse l’objet d’un recours, mais que son dossier soit traitéentre les compagnies elles-mêmes », avance M. Kessali.Pour ce faire, une nouvelle convention appelée IDA (Indemnisation directe des assurés)doit être signée d’ici la fin de l’année 2016-début 2017, selon le même responsable : « Celava améliorer considérablement la branche automobile au profit des assurés et desassureurs ».De son côté, le directeur des assurances au ministère des Finances, Kamel Marami,reconnaît que le retard en matière de règlement des sinistres automobiles a toujours été le

point faible des compagnies d’assurances et qu’il a lourdement pesé sur l’image dusecteur.En 2014, le montant d’indemnisation des sinistres automobiles a atteint 44,8 milliards dedinars (contre 40,5 milliards de dinars en 2013), soit 75% du montant global des sinistresréglés par les assureurs, toutes branches confondues.

HorizonsAssurance véhiculeL’assainissement des recours parachevé avant fin2016Publié le 9 janvier 2016Les recours relatifs aux sinistres matériels véhicules, en instance dans les compagniesd’assurances, seront totalement assainis avant la fin de l’année en cours, a indiqué à l’APSle président de l’Union algérienne des sociétés d’assurance et de réassurance (UAR),Brahim Djamel Kessali.Ces dossiers, qui concernent les recours cumulés depuis 2010, seront assainis grâce à laconvention d’assainissement des recours au coût moyen (Arcm), signée par des assureurspublics et privés. Les dossiers antérieurs à cette date ont tous été traités.Durant le mois de janvier en cours, ce sont les dossiers de recours de l’année 2010 quiseront assainis, tandis que le mois suivant sera consacré aux recours de 2011 alors queceux de 2012 le seront avant la fin du présent premier semestre, explique le mêmeresponsable qui avance qu’un avenant à l’Arcm sera signé pour pouvoir régler les sinistresen suspens de 2013 et 2014 avant la fin de l’année en cours.« Nous allons ainsi mettre fin aux litiges en souffrance depuis cinq ans, ce qui vacertainement nous permettre de gagner en crédibilité vis-à-vis des assurés », selon Kessali.Les litiges en question concernent les assurés pour dommages et collisions, alors que lesassurés tous risques sont remboursés systématiquement sans passer par les recours. Avecplus de un million de déclarations de sinistres enregistrées chaque année sur fondd’augmentation continue des accidents de la route, les sociétés d’assurances « sontsubmergées par les recours qui s’entassent en attendant leur règlement », observe-t-il. Enfait, le problème se pose comme suit : les assureurs des clients victimes de dommages etcollisions qui doivent attendre les remboursements à verser par les assureurs de la partieadverse, pour pouvoir les reverser aux clients, se retrouvent souvent avec des montants deremboursement inférieurs aux valeurs déclarées par les victimes. Parfois même, l’accidentest déclaré par la victime chez son assureur alors que l’assuré qui est en faute n’a riendéclaré à sa compagnie d’assurances.Face à de telles situations, les victimes des accidents déposent des recours chez leurscompagnies d’assurances, lesquelles demandent, à leur tour, aux assureurs de la partieadverse une deuxième évaluation des dommages matériels ou bien des documentscomplémentaires aux dossiers d’assurance, ce qui provoque des retards. L’objectif souhaitépar l’UAR est d’arriver à un remboursement systématique et immédiat des assurésdommages et collisions en laissant l’assainissement des dossiers se faire a posteriori entreles assureurs eux-mêmes.« Nous voulons arriver à ce que le client soit indemnisé sans que son cas fasse l’objet d’unrecours, mais que son dossier soit traité entre les compagnies elles-mêmes », avanceKessali.

El WatanAssurance automobile : L’assainissementdes recours parachevé avant fin 2016le 10.01.16 | 10h00Ces dossiers, qui concernent les recours cumulés depuis 2010, seront assainis grâce àla convention d’assainissement des recours au coût moyen (Arcm), signée récemmentpar des assureurs publics et privés.Les dossiers antérieurs à cette date ont tous été réglés. Durant janvier 2016, ce sont lesdossiers de recours de l’année 2010 qui seront assainis, tandis que le mois suivant seraconsacré aux recours de 2011 alors que ceux de 2012 le seront avant la fin du premiersemestre 2016, explique le même responsable qui avance qu’un avenant à l’Arcm sera signépour pouvoir régler les sinistres en suspens de 2013 et 2014 avant la fin de l’année encours. «Nous allons ainsi mettre fin aux litiges en souffrance depuis cinq ans, ce qui vacertainement nous permettre de gagner en crédibilité vis-à-vis des assurés», a déclaré M.Kessali. Les litiges en question concernent les assurés pour «dommages et collision», alorsque les assurés «tous risques» sont remboursés systématiquement sans passer par lesrecours.Avec plus d’un million de déclarations de sinistres enregistrées chaque année sur fondd’augmentation continue des accidents de la route, les sociétés d’assurances «sontsubmergées par les recours qui sont constamment stockés en attendant leur règlement»,observe-t-il. En fait, le problème se pose comme suit : les assureurs des clients victimes dedommages et collisions, qui doivent attendre les remboursements à verser par les assureursde la partie adverse, pour pouvoir les reverser aux clients, se retrouvent souvent avec desmontants de remboursement inférieurs aux valeurs déclarées par les victimes.Parfois même, l’accident est déclaré par la victime chez son assureur alors que l’assuré quiest en faute n’aura rien dit à sa compagnie d’assurance. Face à de telles situations, lesvictimes des accidents déposent des recours chez leurs compagnies d’assurance lesquellesdemandent, à leur tour, aux assureurs de la partie adverse une deuxième évaluation desdommages matériels ou bien des documents complémentaires aux dossiers d’assurance, cequi provoque des retards. Mais grâce à la formule du «prix moyen» du marché, adoptée parl’UAR et soutenue par le ministère des Finances, les assureurs comptent mettre fin à ce lourdpassif des recours, qui impacte la confiance des assurés. Ce «prix moyen» d’indemnisationreprésente le rapport entre le montant global des indemnisations de l’assurance automobiled’une compagnie d’assurance et le nombre de ses dossiers d’indemnisation, représentant

donc la moyenne remboursée par la compagnie qui permet d’évaluer une moyenne uniquedu marché. En utilisant ce mode de calcul, les assureurs sont arrivés à définir un coût moyendu marché (pour le calcul des règlements des recours des cinq dernières années) de37 148,5 DA.«Cela ne signifie pas que chaque assuré aura exactement ce montant. Mais cette sommepermettra aux assureurs d’échanger les montants globaux dus réciproquement enmultipliant ce prix moyen par le nombre de dossiers stockés chez chacun d’entre eux»,explique M. Kessali. Ensuite, il reviendra à chaque compagnie de rembourser ses clients enfonction de l’évaluation des dommages qui leur ont été causés par les accidents de lacirculation. Dans ce cadre, une opération d’échange de chèques entre sept compagniesd’assurance (Saa, Caar, Caat, Ciar, Cnma, Gam et Alliance assurances) a été effectuéerécemment pour permettre un règlement rapide des 12 610 recours en suspens enregistrésen 2010 pour un montant global de 470 millions de dinars.Vers une indemnisation directe des assurésMais l’objectif final souhaité par l’UAR est d’arriver à un remboursement systématique etimmédiat des assurés «dommages et collisions» en laissant l’assainissement des dossiers sefaire a posteriori entre les assureurs eux-mêmes. «Nous voulons arriver à ce que le client soitindemnisé sans que son cas fasse l’objet d’un recours, mais que son dossier soit traité entreles compagnies elles-mêmes», avance M. Kessali. Pour ce faire, une nouvelle conventionappelée Indemnisation directe des assurés (IDA) doit être signée d’ici la fin de l’année 2016-début 2017, selon le même responsable : «Cela va améliorer considérablement la brancheautomobile au profit des assurés et des assureurs.»De son côté, le directeur des assurances au ministère des Finances, Kamel Marami, reconnaîtque le retard en matière de règlement des sinistres automobiles a toujours été le point faibledes compagnies d’assurance et qu’il a lourdement pesé sur l’image du secteur. En 2014, lemontant des indemnisations des sinistres-automobiles a atteint 44,8 milliards de dinars(contre 40,5 milliards de dinars en 2013), soit 75% du montant global des sinistres régléspar les assureurs toutes branches confondues.APS

L’EXPRESSIONLes assureurs comptent mettre fin à ce lourd passif des recours, qui impacte la confiance desassurés en leurs assureurs.Par Salim BENALIA - Dimanche 10 Janvier 2016Comme déjà annoncé par L'Expression, les assureurs de la branche automobile mettent le paquet enmatière d'assainissement total du stock sinistre entre les compagnies.En effet, les recours relatifs aux sinistres matériels véhicules, en instance dans les compagniesd'assurance, seront totalement assainis avant la fin 2016, vient d'indiquer le président de l'Unionalgérienne des sociétés d'assurance et de réassurance (UAR), Brahim Djamel Kassali. Afind'accélérer les opérations de liquidation des dossiers sinistres antérieurs inter-compagnies, l'on aprocédé à la signature d'une convention entre la majorité des compagnies du secteur appelée Arcm(Assainissement des recours au coût moyen).Ainsi, les dossiers qui concernent les recours cumulés depuis 2010, seront assainis grâce à cetteconvention, signée récemment par des assureurs publics et privés. Les dossiers antérieurs à cettedate ont tous été réglés, est-il indiqué. Gageons qu'avec pareille initiative, c'est l'image du secteur quisera redorée auprès du grand public.Durant janvier 2016, ce sont les dossiers de recours de l'année 2010 qui seront assainis, tandis que lemois suivant sera consacré aux recours de 2011 alors que ceux de 2012 le seront avant la fin du 1ersemestre 2016, explique le même responsable qui avance qu'un avenant à l'Arcm sera signé pourpouvoir régler les sinistres en suspens de 2013 et 2014 avant la fin de l'année en cours. «Nous allonsainsi mettre fin aux litiges en souffrance depuis cinq ans, ce qui va certainement nous permettre degagner en crédibilité vis-à-vis des assurés» ajoute M.Kassali. Les litiges en question concernent lesassurés pour «dommages et collision», alors que les assurés «tous risques» sont rembourséssystématiquement sans passer par les recours. Avec plus d'un million de déclarations de sinistresenregistrées chaque année sur fond d'augmentation continue des accidents de la route, les sociétésd'assurance «sont submergées par les recours qui sont constamment stockés en attendant leurrèglement», observe le même responsable.En fait, les professionnels posent le problème en ces termes: Les assureurs des clients victimes dedommages et collisions, qui doivent attendre les remboursements à verser par les assureurs de lapartie adverse, pour pouvoir les reverser aux clients, se retrouvent souvent avec des montants deremboursement inférieurs aux valeurs déclarées par les victimes. Parfois même, l'accident est déclarépar la victime chez son assureur alors que l'assuré qui est en faute n'aura rien déclaré à sacompagnie d'assurance. Face à de telles situations, les victimes des accidents déposent des recoursauprès de leurs compagnies d'assurance lesquelles demandent, à leur tour, aux assureurs de la partieadverse une deuxième évaluation des dommages matériels ou bien des documents complémentairesaux dossiers d'assurance, ce qui provoque des retards. Mais grâce à la formule du «prix moyen» dumarché, adoptée par l'UAR et soutenue par le ministère des Finances, les assureurs comptent mettrefin à ce lourd passif des recours, qui impacte la confiance des assurés en leurs assureurs. Ce «prixmoyen» d'indemnisation représente le rapport entre le montant global des indemnisations del'assurance automobile d'une compagnie d'assurances et le nombre de ses dossiers d'indemnisation,représentant donc la moyenne remboursée par la compagnie qui permet d'évaluer une moyenneunique du marché. En utilisant ce mode de calcul, les assureurs sont arrivés à définir un coût moyendu marché (pour le calcul des règlements des recours des cinq dernières années) de 37 148,5 DA.«Cela ne signifie pas que chaque assuré aura exactement ce montant. Mais cette somme permettraaux assureurs d'échanger les montants globaux dus réciproquement en multipliant ce prix moyen parle nombre de dossiers stockés chez chacun d'entre eux», explique M. Kassali. Dans ce cadre, uneopération d'échange de chèques entre sept compagnies d'assurance (SAA, Caar, Caat, Ciar, Cnma,GAM et Alliance assurances) a été effectuée récemment pour permettre un règlement rapide des 12610 recours en suspens enregistrés en 2010 pour un montant global de 470 millions de DA,. relève-t-on.

Mais l'objectif final souhaité par l'UAR est d'arriver à un remboursement systématique et immédiat desassurés-dommages et collisions en laissant l'assainissement des dossiers se faire a posteriori entreles assureurs eux-mêmes. «Nous voulons arriver à ce que le client soit indemnisé sans que son casfasse l'objet d'un recours, mais que son dossier soit traité entre les compagnies elles-mêmes»,avance M.Kassali. Pour ce faire, une nouvelle convention appelée IDA (Indemnisation directe desassurés) doit être signée d'ici la fin de l'année 2016-début 2017, selon le même responsable: «Cela vaaméliorer considérablement la branche automobile au profit des assurés et des assureurs.»De son côté, le directeur des assurances au ministère des Finances, Kamel Marami, reconnaît que leretard en matière de règlement des sinistres automobiles a toujours été le point faible des compagniesd'assurance et qu'il a lourdement pesé sur l'image du secteur. En 2014, le montant d'indemnisationdes sinistres automobiles a atteint 44,8 milliards de DA (contre 40,5 milliards de DA en 2013), soit75% du montant global des sinistres réglés par les assureurs, toutes branches confondues.Notons que ces actions sont menées alors que le secteur des assurances en Algérie est sérieusementimpacté par divers facteurs corrosifs, comme la dévaluation du dinar, la chute des immatriculations devéhicules et un marché financier national qui reste encore à normaliser, alors que la récession n'a decesse de rogner les épargnes des assureurs. «Cet ensemble d'éléments âpres a une conséquencefrontale sur notre chiffre d'affaires», a laissé entendre dernièrement Hassen Khelifati, patron d'Allianceassurances, qui a dit que «le manque de flexibilité tarifaire les pénalise lourdement face à cettenouvelle réalité».

Le Soir d’AlgérieLe ministre des finances : l’année 2016 est l’une des plusdifficiles. 18/01/2016Pour le ministre des Finances en visite de travail hier à Oran, il est prématuré de parler de loide finances complémentaire malgré la dernière chute du prix du pétrole, «il faudrait d’abordentamer la loi de finances de 2016 puisqu’elle vient tout juste de passer, ensuite on verra»,dit-il. Le ministre reconnaît que 2016 est l’une des plus difficiles, mais dit-il «nousparviendrons à dépasser cette période ayant les moyens nécessaires pour trouver desalternatives».Amel Bentolba - Oran (Le Soir) - C’est lors d’une journée d’information régionale sur la loi definances 2016, organisée par le Conseil national de la fiscalité qui a eu lieu à l’hôtelSheraton, que Abderrahmane Benkhelfa, ministre des Finances, dira que ces derniers mois ily a eu un fait inattendu avec la chute du prix du pétrole. «Je ne vous le cache pas, cela nousamène à connaître un moment difficile car les hypothèses sur lesquelles nous avons travaillén’avaient pas prévu cela. D’un point de vue “pétrolier” pour cette année ce sera délicat maiséconomiquement c’est prometteur. » Abordant la loi de finances de 2016, le ministreévoquera les axes principaux sur lesquels il faudra travailler à savoir qu’il faut que lesressources non pétrolières remplacent les ressources pétrolières. «Toutefois il ne faut pasque la pression fiscale augmente, il faut que les taux restent les mêmes sur le plan de lafiscalité. » Le ministre estime que les importations forfaitaires uniques (IFU) n’ont pas produitce qui était souhaité. «Il s’agit d’une porte d’inclusion économique, l’IFU doit devenir unélément de la fiscalité de demain.» Plus loin le ministre a insisté sur l’ajustement des tarifsqui ne doit pas peser uniquement sur les revenus fixes, et de dire «il faut aussi que les gensqui ont des revenus variables prennent une partie. Ces augmentations dans les tarificationsc’est pour rapprocher le coût de la production au coût de la consommation. La répercussionsur les prix ne doit pas être automatique». Toutefois le ministre des Finances a tenu àpréciser que tout ce qui concerne la politique sociale, la politique des transferts sociaux, ensomme les secteurs prioritaires, tout cela est dans une loi des finances, et de rappeler queles seuls changements de tarifs ont concerné les carburants, l’électricité et le gaz. Leministre parlera de bancarisation des ressources, il faut à un moment ou à un autre que lesecteur de l’informel et le secteur formel se rejoignent par des moyens économiques. «Il fauttravailler dans l’intégration. Il s’agit là d’une forme de réconciliation économique, une alliancepour la croissance ». A partir d’Oran, Abderrahmane Benkhelfa appellera les commerçantsqui n’ont pas de compte bancaire à avoir confiance et venir déposer leur argent dans lesbanques. C’est plus sûr pour eux, dit-il et de rassurer «ils pourront utiliser leur argent commebon leur semble». A la question de connaître la provenance justement de ces sommes quiéchappent au contrôle de l’Etat, le ministre dira que chacun est responsable face à saconscience. En visite inopinée à la banque CPA, le ministre a été interpellé par un retraitéqui l’interrogea sur le bilan de son ministère concernant les revenus des impôts, «qu’a faitvotre ministère pour prélever les impôts sur les fortunes algériennes, alors que moi qui suisun retraité on me prélève près de 30% ?!». Le ministre aura cette réponse «le système fiscalalgérien s’équilibre annuellement, les Algériens payent de mieux en mieux l’impôt mais il fautqu’ils payent encore». Ce qui n’a pas répondu à la question de ce retraité.A. B.

EnnaharonlineAgriculture: croissance de 7,5% en 201518/01/2016Le secteur agricole a enregistré une croissance annuelle de 7,5% en 2015 contre 1% en2014, avec une production d'une valeur de 2.900 milliards DA pour les produits agricoleset de 46 milliards DA pour la pêche et l'aquaculture, a indiqué le ministre de l'Agriculture,du développement rural et de la pêche, Sid Ahmed Ferroukhi.Intervenant lundi au Forum d'El Moudjahid, le ministre a présenté le bilan provisoire del'année agricole octobre 2014-octobre 2015, en soulignant également que l'année 2015s'était caractérisée par un approvisionnement stable en produits de large consommationnotamment le lait, les céréales et la pomme de terre, tandis que 173.000 titres deconcession ont été attribués.Abordant la stratégie de son secteur pour les prochaines années, M. Ferroukhi table surdes objectifs \"plus précis\" à concrétiser dès 2016 pour certaines filières.Il a ainsi cité l'autosuffisance en blé dur dont l'Algérie importe 50% de ses besoins: \"Nousavons les capacités de ne plus importer de blé dur et nous allons axer tous nos effortsautour de ce segment\", s'est-il engagé.Il a aussi indiqué que son ministère avait décidé de soutenir les semences fourragères envue d'encourager la production des fourrages, élément important pour l'augmentation de laproduction laitière.C'est dans cette optique que le secteur a inscrit l'objectif d'atteindre, d'ici à 2019, \"zéroimportation\" de poudre de lait destiné aux produits laitiers dérivés.L'autre filière potentielle est celle du concentré de tomate dont le pays compte devenirmême exportateur d'ici trois ans.L'Algérie qui produit la totalité de ses besoins en pomme de terre de consommation, sefixe également l'objectif de devenir autosuffisant en matière de semences de ce tubercule.Par ailleurs, le ministre a avancé que sur le quinquennat 2015-2019, il est visé un taux decroissance moyen de 5%, la réalisation d'un (1) million d'hectares en irrigué, porter lacouverture forestière à 13% contre 11% actuellement, créer plus d'emplois et s'inscrire àl'exportation dans certaines filières.Selon lui, les pouvoirs publics vont encore soutenir la mécanisation spécialisée commeles tracteurs, le matériel d'accompagnement, les planteuses-arracheuses, les pulvérisateurset les moissonneuses-batteuses.

Il s'agit d'atteindre, d'ici 2019, un taux de mécanisation d'une (1) moissonneuse-batteusepour 300 ha (contre 400 ha actuellement) et un (1) tracteur pour 70 ha contre (contre 100ha).Questionné sur les licences d'importation des produits agricoles et alimentaires, leministre a indiqué que son secteur comptait élargir ces licences à d'autres produits, et ce,en plus de ceux relevant des contingents agricoles appliqués dans le cadre de l'Accordd'association avec l'Union européenne.Selon lui, ce travail se fait en coordination avec les opérateurs afin d'éviter desperturbations sur le marché local notamment en période de forte consommation et destockage.Evoquant les dispositions relatives à l'agriculture contenues dans le projet de révision dela Constitution, M. Ferroukhi a estimé que ce texte a donné un \"message fort\" concernantla protection des terres agricoles et le développement équitable des territoires ruraux.\"Nous allons commencer à travailler sur la protection des terres agricoles dès que leprojet de révision de la Constitution sera adopté. Nous avons eu beaucoup de pressions surcet élément et nous essayons tant bien que mal de protéger ce patrimoineintergénérationnel\", a-t-il déclaré.Les terres agricoles se composent de 8,5 millions d'ha de superficies agricoles utiles, de20 millions ha de steppes et de 9 millions ha d'espace de pêche et de 4,2 millions d'ha depatrimoine forestier, rappelle-t-on.\"Nous pensons que la meilleure protection est la valorisation de ce potentiel enaméliorant l'arsenal juridique qui nous permet d'agir sur le terrain\", a-t-il ajouté.Sur un autre plan, le ministre a salué l'esprit de dialogue qui a prévalu durant l'année 2015avec les différentes organisations professionnelles du secteur autour des objectifssectoriels agricoles fixés pour le quinquennat 2015-2019.

Algérie presse service18/014/2016 à 18h30P che: les proc dures de soutie à l’i vestisse e ten débat à Ain TemouchentAIN TEMOUCHENT - Les procédures de soutien et d’accompagnement de l’investissement dans lesfilières de la pêche et de l’aquaculture, décidées par le ministère de tutelle, ont fait l'objet d'un débatlundi à Ain Temouchent.Faisant suite à une série de rencontres tenues avec les opérateurs aux mois d’avril et mai derniers,une séance de travail a regroupé, au siège de la direction de la pêche et des ressources halieutiques,les membres de la commission locale de soutien et d’accompagnement installée le 10 janvier encours, des représentants des filières de la pêche (chalutiers, petits métiers et sardiniers) et del’aquaculture et un représentant de la Banque de l’agriculture et du développement rural (BADR).Cette réunion s’est penchée sur le lancement du programme ministériel portant sur les assurancessociales et la bonification des crédits bancaires au profit des professionnels (pêche et aquaculture).Ces bonifications profitent à tout professionnel bénéficiaire d’un crédit bancaire pour le financementde projets et sont pris en charge par le trésor public conformément à l’article 40 de la Loi de finances2014, a-t-on souligné ajoutant qu’elles devront renforcer le secteur de la pêche et de l’aquaculture,notamment par la modernisation des équipements.Sont bénéficiaires de ces procédures et par conséquent du fonds national de développement de lapêche et de l’aquaculture, a-t-on fait savoir, les propriétaires de sardiniers pour les crédits decampagne, les propriétaires d’embarcations de pêche pour les crédits d’investissement et lesaquaculteurs pour les crédits d’exploitation.Ce fonds couvrira, également, les assurances pour la prise en charge des marins durant la période derepos biologique, a expliqué le directeur par intérim de la pêche et des ressources halieutiques de lawilaya, Boukabrine Sahnoune.Composée du directeur de la pêche (président), du directeur et président de la chambre de la pêcheet de l’aquaculture (vice-présidents) et des chefs de services de la direction de la pêche (membres), lacommission locale recevra les dossiers de demande de soutien à compter du 7 février prochain, pourles étudier et statuer à leur sujet dans un délai n’excédant pas les 15 jours, a-t-on annoncé rappelantque tout recours sera tranché par la commission nationale.La direction de la pêche et de l’aquaculture a programmé deux autres rencontres de proximité auxports de pêche de Beni Saf (25 janvier) et Bouzedjar (28 janvier), a signalé le directeur du secteur.

Assura ce agricole: ise e place d’u guichetunique de la CASNOS à BouiraBOUIRA - Un guichet unique de la Caisse nationale de la sécurité sociale des non salariés (CASNOS)a été installé lundi à la Caisse régionale de mutualité agricole (CRMA) de Bouira pour permettre auxagriculteurs de s’enquérir des démarches nécessaires en vue d’une meilleure sécurité sociale.Il sera suivi par d’autres à Lakhdaria, Ain Bessam et Sour El-Ghouzlane, cette semaine, pour tenterd’attirer le maximum d’agriculteurs désirant obtenir une couverture sociale à la Casnos et bénéficierdes différents avantages et facilitations accordés par l’Etat pour l’extension du système d’assuranceagricole aux agriculteurs non affiliés au régime de protection sociale, a indiqué à l’APS le directeur dela CRMA de Bouira, Bechour Mohamed.Installé dans le cadre de l’application des conventions signées entre les ministères de travail et de laSécurité sociale, et celui de l’Agriculture et du développement rural, ce guichet permettra auxagriculteurs de se rapprocher des services concernés afin de régulariser leur situation concernant lasécurité sociale et bénéficier des mesures \"exceptionnelles\" accordées par l’Etat en matièred’exonération des pénalités et majoration de retard, a expliqué pour sa part, Samir Hamouche,responsable du service de recouvrement au niveau de la Casnos de Bouira.Cette nouvelle disposition a pris en considération la spécificité du métier de l’agriculteur en luiallongeant la date limite de paiement des cotisations à la Casnos jusqu’au 30 septembre au lieu de 30avril, comme il a été arrêté auparavant.Il s’agit de facilitation des mesures de versement des cotisations et de leur échéancier pour l’adapter àla réalité des agriculteurs et à la période de récolte de leurs cultures, a encore expliqué M. Hamouche.Une caravane mixte de sensibilisation et d’information sur l’importance de cette disposition pour lesagriculteurs sera lancée à partir de mercredi prochain à travers plusieurs régions de la wilaya deBouira, a-t-on appris auprès des services organisateurs.

Le soir d’AlgérieBilan annuel des accidents de la circulation des chiffres toujours lourds.Mardi 19 janvier 2016Les accidents de la circulation en Algérie continuent à endeuiller des familles. Malgré les nombreusescampagnes de sensibilisation, ce fléau fait chaque année des centaines de morts et des milliers deblessés dont résultent souvent des handicapés à vie. Les chiffres révélés par les autorités concernéesdurant l’année écoulée, en sont la preuve et donnent froid dans le dos. Une moyenne de 44 accidentsde la circulation routière par jour a été enregistrée en 2015 par les services de police en zonesurbaines. Un nombre d’accidents qui a engendré quotidiennement 62 blessés et 2 morts, précise-t-on.Le bilan annuel des services de police établi en zones urbaines, fait état de 16 245 accidents de lacirculation routière contre 17 383 accidents enregistrés durant l’année 2014 soit, une légère baisse de-6,54%. Ces mêmes accidents ont ainsi engendré 19 337 blessés en 2015 contre 20 717 blessés en2014, soit une baisse de -6,66%. Idem pour le nombre de décès qui a connu pour sa part, une trèslégère diminution de -2,29%. En effet, les accidents corporels de la circulation routière ont fait 809morts en 2015, alors qu’en 2014, il a été recensé 828 décès. Selon les services de police, le facteurhumain reste en tête de liste des causes principales des accidents de la circulation avec un taux de98,42%. L’état des routes et de l’environnement suit avec un taux de 0,86% puis vient l’état duvéhicule en troisième position avec un taux de 0,72%. Les services de la Protection civile qui n’ont pasencore clôturé leur bilan annuel de 2015, ont effectué du premier janvier 2015 à fin novembre de lamême année, 59 754 interventions uniquement pour les accidents de la circulation à travers leterritoire national et recensé ainsi 73 844 blessés et 2 143 morts. Le bilan le plus lourd a été enregistrépar la Protection civile, dans la wilaya de Aïn Defla avec 104 morts. La wilaya d’Alger a enregistré deson côté, le nombre de blessés le plus élevé de tout le territoire algérien avec précisément 7 031blessés.Rym Nasri

L'Echo d'OranLe ministre des Fiances rassure et déclareà partir d’OranMardi 19 Janvier 2016La Loi de finances 2016 ne touche pasà la politique sociale et de solidaritéLe ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa a affirmé, dimanche à Oran, que la Loi definances 2016 ne touche pas à la politique sociale et de solidarité. Intervenant lors d’une journéed’informationsur la Loi de finances 2016, le ministre a souligné «nous nous dirigeons vers le développement et uneéconomie diversifiée sur tous les plans», tout en excluant une remise en question de la politiquesociale et de solidarité au profit des couches vulnérables.«La croissance territoriale est un élémentfondamental et nécessaire pour permettre à chaque citoyen et dans n’importe quelle wilaya du pays devivre au même niveau et d’avoir les mêmes chances de croissance», a jouté M. Benkhalfa soutenantl’idéede «bassin de croissance «eu égard à la vaste étendue de l’Algérie. Au sujet de la régression des prixdu pétrole, le ministre a souligné que cette année est difficile en matière d’hydrocarbures et en mêmetempsprometteuse sur le plan économique et des réformes où la recherche est dirigée vers des alternativesdont dispose l’Algérie avec la coopération de tous et un changement des lois et des comportements.«L’année 2016 sera une étape difficile que nous traversons mais nous pouvons trouver des alternativesavec nos moyens financiers et économiques» a-t-il déclaré ajoutant «comme nous avons la volontéd’ouvrir les opportunités de croissance, nous avons la volonté de combattre la contrebande, lasurfacturation et les pratiques non économiques ».Pour ce qui est du recouvrement fiscal, le ministre a indiqué que des mesures et facilités existent dontcelles relatives à la déclaration à distance, tout en insistant sur le placement de l’argent hors banquesdans les établissements financiers.Organisée par le Conseil national de la fiscalité en présence des opérateurs économiques des wilayasde l’ouest du pays, cette rencontre a été par interventions abordant différents aspects de la Loi definances 2016 par des cadres des directions centrales des Douanes, des Impôts et des Domaines.Le ministre des Finances s’est enquis, lors de sa visite dans la wilaya d’Oran, du fonctionnement de laconservation foncière d’Oran ouest, des services des impôts et du trésor de la wilaya

Le jour d’AlgérieLoi de finances 2016«Elle ne touche pas à la politique sociale», affirme Benkhalfa19/01/2016 Le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, a affirmé, à Oran, que la loide finances 2016 ne touche pas à la politique sociale et de solidarité. Intervenantlors d'une journée d'information sur la loi de finances 2016, le ministre asouligné : «Nous nous dirigeons vers le développement et une économiediversifiée sur tous les plans», tout en excluant une remise en question de lapolitique sociale et de solidarité au profit des couches vulnérables. «La croissanceterritoriale est un élément fondamental et nécessaire pour permettre à chaquecitoyen et dans n'importe quelle wilaya du pays de vivre au même niveau etd'avoir les mêmes chances de croissance», a jouté M. Benkhalfa, soutenant l'idéede «bassin de croissance» eu égard à la vaste étendue de l'Algérie. Au sujet dela régression des prix du pétrole, le ministre a souligné que cette année estdifficile en matière d'hydrocarbures et en même temps prometteuse sur le planéconomique et des réformes où la recherche est dirigée vers des alternativesdont dispose l'Algérie avec la coopération de tous et un changement des lois etdes comportements. «L'année 2016 sera une étape difficile que nous traversonsmais nous pouvons trouver des alternatives avec nos moyens financiers etéconomiques», a-t-il déclaré, ajoutant : «Comme nous avons la volonté d'ouvrirles opportunités de croissance, nous avons la volonté de combattre lacontrebande, la surfacturation et les pratiques non économiques». Pour ce quiest du recouvrement fiscal, le ministre a indiqué que des mesures et facilitésexistent dont celles relatives à la déclaration à distance, tout en insistant sur leplacement de l'argent hors banques dans les établissements financiers.Organisée par le Conseil national de la fiscalité en présence des opérateurséconomiques des wilayas de l'ouest du pays, cette rencontre a été animée pardes interventions abordant différents aspects de la loi de finances 2016 par descadres des directions centrales des Douanes, des Impôts et des Domaines. Leministre des Finances s'est enquis, lors de sa visite dans la wilaya d'Oran, dufonctionnement de la conservation foncière d'Oran ouest, des services des impôtset du trésor de la wilaya.Souad L./APS.

EL MOUDJAHIDMercredi 20 Janvier 2016DES CRÉDITS SANS INTÉRÊTS AU PROFIT DES ACTIVITÉS DE LA PÊCHE ET DEL’AQUACULTUREBooster le secteurLa caravane de sensibilisation et d’information au profit des professionnels du secteur de lapêche pour bénéficier des crédits sans intérêts a été lancée hier au port de pêche d’Alger.S’exprimant à cette occasion, la directrice de la pêche et des ressources halieutiques de lawilaya d’Alger,Mme Rabiaa Zerrouki, a fait savoir que « cette caravane rentre dans le cadre de l’applicationdes nouvelles dispositions relatives à des mesures de bonification des taux d’intérêts descrédits au profit des activités de la pêche et de l’aquaculture notamment pour la réhabilitationde leur embarcation et achat des équipements de la pêche ». « Cette caravane qui va durer unmois, » a-t-elle indiqué« est lancée dans un moment opportun pour les sardiniers, du fait quela campagne de pêche de la sardine qui commence le mois de mai jusqu’au mois octobre. » Etde poursuivre que « les pêcheurs peuvent donc demander actuellement des crédits sansintérêts pour notamment réhabiliter leurs bateaux et les équipements de pêche afin de sepréparer pour la nouvelle saison de pêche. »Concernant les chalutiers, elle a souligné que «ces derniers peuvent également demander des aides dont les délais de remboursement sontfixés à cinq années », avant d’ajouter dans ce sens que « les investisseurs dans l’aquaculturepeuvent aussi bénéficier de ces bonifications. » A une question relative au nombre des marinsinscrits, elle a indiqué qu’« actuellement nous avons enregistré environ 1.800 au niveau de lacapitale dont 1.000 actifs ». Mettant l’accent sur les prix de la sardine qui ne cessentd’augmenter elle a souligné que «les prix sont liés directement à la règle de l’offre et dela demande ».Mettant à profit cette occasion, la directrice de la pêche et des ressourceshalieutiques de la wilaya d’Alger a relevé que « le ministère de l’Agriculture, duDéveloppement et de la Pêche a mis en place au profit des femmes de la formation à la cartegratuite pour la confection de filets de pêche. » Il y a lieu de noter que pour étudier lesdemandes de crédit, une commission locale chargée de l’évaluation et de suivi des actionséligible au soutien et aux subventions du fonds national de développement de la pêche et del’aquaculture a été créée et installée au niveau de la direction de la pêche de la wilaya d’Algerle mardi 12 janvier 2016. Celle-ci pour mission notamment d’examiner et de traiter lesdossiers des demandes d’éligibilité au soutien et subvention du fonds conformément à laréglementation en vigueur, et donner son avis pour leur éligibilité et de suivre et d’évaluerl’exécution des actions éligibles en collaboration avec les services locaux de la Banque del’agriculture et de développement rural ainsi que d’assurer l’orientation, l’accompagnement etl’aide technique aux bénéficiaires du soutien et subvention du fonds pour la concrétisation desactions éligibles.Makhlouf Ait Ziane

L’expression20/01/2016La SAA anticipe sur l’austéritéQuel impact aura le fléchissement du marché automobile sur la situation de laSociété algérienne des assurances? On croit savoir que la SAA anticipe déjà surd'éventuelles situations où elle sera amenée à opérer une fusion de certaines de sesagences comme cela a été le cas de Axa assurance. Surtout que les compagniesd'assurance ont été sommées d'assainir avant la fin 2016 tous les recours relatifsaux sinistres matériels véhicules. Ces dossiers, qui concernent les recours cumulésdepuis 2010, seront assainis grâce à la convention d'assainissement des recours aucoût moyen (Arcm), signée récemment par des assureurs publics et privés, à encroire le président de l'Union algérienne des sociétés d'assurance et de réassurance(UAR), Brahim Djamel Kessali. Mais cela ne perturbera en rien la SAA qui reste leleader incontesté du marché des assurances avec 23% des parts.

Le soir d’Algérie20/01/20161 er Salon des entreprises nationales en mars à BéjaïaLe Salon des entreprises nationales qui se tiendra à la grande surface du lac de Béjaïa, du 3au 6 mars prochain se veut selon les organisateurs RH. International Communication unrendezvous qui placerait les hommes et les femmes des différentes industries du pays au œu des ha ges pou a l e la p o otio des p oduits atio aux ota ent autourdes te h ologies po teuses de d veloppe e ts i dust iel et o o i ue. C’est ette id eque visent les organisateurs de cette première édition placée sous le parrainage du wali. Ilreste que la wilaya qui occupe un positionnement géographique stratégique gagnerait àséduire les entreprises publiques et privées nationales pour faire de cet espace un carrefourd’ ha ges et u pôle d’affai es ais aussi u e vit i e de solutio s, voi e e u v ita lerelais d'informations et de communication sur ce qui intéresse, particulièrement en cettep iode diffi ile, les o so ateu s, les futu s lie ts u’ils soie t visiteu s ou exposa ts duSalo . E a ge de l’expositio , u e jou e p ofessio elle est p vue au iveau de l’hôtelLe Zéphyr le 4 mars. De très nombreux experts nationaux et internationaux, issus tant dumonde institutionnel économique et industriel que de la communication honorant ainsi desengagements promis, interviendront. Une formule qui donnera plus de sens etd’oppo tu it s aux e t eprises dont plusieurs ont déjà réservé leur emplacement à cettepremière édition.R. R

Le Quotidien d’OranEconomie, finances... : L'Algérie continue de perdre despointspar Zahir Mehdaoui / 27/01/2016En dépit de son potentiel économique, l'Algérie semble plonger peu à peu dans une sortede «récession» qui risque d'affecter le développement d'un pays qui a basé jusqu'ici sastratégie sur la rente pétrolière.De nombreux économistes et experts ont tiré la sonnette d'alarme depuis au moins unedizaine années sur les mauvais choix prônés par nos responsables en matière degouvernance. La «politique de rafistolage» imposée par les responsables dugouvernement durant ces 16 dernières années, en matière de «choix économiques»notamment, rend difficile aujourd'hui toute velléité de redresser la barre du fait du reculdes recettes en devises. Avec l'écroulement du prix du baril de pétrole, le réveil estbrutal même si le scénario proche de la catastrophe était prévisible. Les gens quigouvernent et leurs «supplétifs» ont beau crier qu'il n'y a pas le feu en la demeure, laréalité est pourtant là.Pour la première fois depuis un peu plus d'une dizaine d'années, la balance commercialede l'Algérie est déficitaire de près de 15 milliards de dollars. Depuis quelque temps,plusieurs agences de notation de renommée mondiale, dont l'évaluation est basée surl'optique financière, distribuent des mauvais points à l'Algérie.Hier, la Compagnie française d'assurance pour le commerce extérieur (Coface) a classél'Algérie à la catégorie B, a indiqué cet organisme dans son analyse annuelle des risqueset prévisions de 160 pays. Classée depuis 2009 à la catégorie A4, l'Algérie recule d'uncran, de septembre 2015 à janvier 2016, en raison du «faible prix» des hydrocarburesqui continue à «peser sur l'activité algérienne en 2016\", a indiqué la Coface dans sonanalyse publiée au cours du colloque «Risque pays 2016» tenu hier mardi à Paris. Lanote B concerne les pays dont les perspectives économiques et financières présententdes incertitudes et dont l'environnement des affaires peut présenter d'importanteslacunes. Le rapport note aussi que sur le plan de l'environnement des affaires en Algérie,la fiabilité et la disponibilité des bilans d'entreprises sont «très variables» et lerecouvrement des créances «souvent difficile».Concernant les «points faibles» du pays, l'organisme français d'assurance-crédit énumèrela «forte dépendance» aux hydrocarbures, taux de chômage «élevé», poids»excessif» dusecteur public, lourdeurs bureaucratiques, faiblesse du secteur financier etenvironnement des affaires «problématique». Dans son appréciation du risque en Algérie,la Coface a aussi estimé que les difficultés rencontrées dans le secteur deshydrocarbures, en raison du «manque de compétitivité» et de «l'obsolescence» du capitalproductif, «laissent penser que si la conjoncture du marché pétrolier se maintenait, cedernier continuerait d'observer des performances négatives en 2016\". Le rapport indiqueque l'Etat algérien «devrait poursuivre son appui à l'activité, bien que ses marges demanœuvre budgétaires soient de plus en plus limitées». Une consolation tout de même. La Coface met en relief parmi les «points forts» del'Algérie, les importantes réserves de pétrole et de gaz, le potentiel dans les domainesdes énergies renouvelables et du tourisme et une situation financière extérieure»solide»avec un très faible endettement extérieur et d'importantes réserves de change. LaCoface, leader mondial de l'assurance-crédit, a estimé dans son rapport que la prudences'impose pour l'évolution des risques pays en 2016. Dans un contexte de croissancemondiale «molle», prévue à 2,7% par la Coface (après 2,5 % en 2015), les risques

émergés en 2015 devraient persister cette année. Au premier rang figurent les tensionspolitiques qui gagnent du terrain à la fois dans les pays avancés et émergents, expliquela même source.La Coface relève, par ailleurs, que si la situation sécuritaire «semble être relativementaméliorée», l'activisme des groupes terroristes et l'instabilité «se sont intensifiés auxfrontières tunisiennes et maliennes».A noter que la mauvaise note (B) de la Coface est également attribuée à plusieurs autrespays Africains notamment l'Afrique du Sud, qui a perdu un point en raison d'unecroissance en berne et des tensions sociales croissantes, la Tunisie, qui représente un«risque modéré», et le Sénégal avec un «risque élevé» à moyen terme. Parmi les paysd'autres régions figurant dans cette même catégorie, il y a l'Italie, Bulgarie, Croatie,Roumanie, Turquie, Kazakhstan, Sri Lanka et Vietnam. La Russie, le Brésil, l'Argentine,l'Egypte, l'Angola, la Serbie et le Gabon ont été crédités, pour leur part, de la note C(inférieure) laquelle concerne les pays dont les perspectives économiques et financièressont «très incertaines».Enfin, globalement, sur le plan mondial, la Coface a estimé dans son rapport que laprudence s'imposait pour l'évolution des risques pays en 2016.

Les DEBATSMercredi 27 Janvier 2016Mobilisation pour faciliter l'affiliation des agriculteursLa Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA) a mobilisé au profit de la CASNOS ses différentesstructures et son réseau au niveau local pour faciliter l'affiliation des agriculteurs à la sécurité sociale,a indiqué mardi le Directeur général de la caisse, Cherif Benhabilès.\"La CNMA met à la disposition de la Caisse nationale de la sécurité sociale des non-salariés (CASNOS)son réseau composé de 67 caisses régionales et plus de 413 bureaux locaux dans les différentesrégions du pays, pour l'intérêt de l'agriculteur, et ce en vertu de la convention signée dernièremententre les deux parties\", a précisé M. Benhabilès dans une déclaration à l'APS. La CNMA \"ouvre sesespaces à la CASNOS pour implanter ses guichets afin de pouvoir accueillir les agriculteurs dans lecadre de leur affiliation à la sécurité sociale, et bénéficier des multiples avantages qui leurs sontofferts\", a-t-il précisé.M. Benhabilès a estimé que la mobilisation des moyens de sa structure au profit de la CASNOS\"renforce les chances de réussite\" de l'opération de l'affiliation des agriculteurs à la sécurité sociale,une opération qui s'est accélérée avec les dispositions de la loi de finances complémentaire de 2015.Un fichier de 170.000 socié- taires sera, en outre, mis à la disposition de la CASNOS, de sorte àaccomplir leurs obligations en matière de cotisations sociales et de bénéficier, par conséquent, desmultiples prestations octroyées par la couverture sociale, a-t-il ajouté. Dans le cadre de lacollaboration entre les deux parties, la CNMA sera également chargée \"de mobiliser tous les moyensmatériels et logistiques nécessaires facilitant la concrétisation de l'opération d'affiliation\".De même qu'elle s'attelle à inviter les socié- taires à se rapprocher des guichets de la CASNOS, pourles besoins de leur affiliation au régime de la sécurité sociale. Le même responsable a observéégalement qu'eu égard des liens que la CNMA entretient, depuis de longues années avec lesagriculteurs, la caisse joue un rôle \"important\", aux côtés des acteurs concernés par cette opérationqui vise à faciliter leur adhésion à la sécurité sociale.Il a souligné que ce partenariat \"est très favorable\" au développement des activités des deux caisseset que des mesures exceptionnelles ont été mises au profit des agriculteurs par l'améliorationcontinue des prestations de services à cette frange de population en matière de couverture sociale.Outre la mobilisation de ses structures au profit de cette opération, la CNMA met à la disposition dela CASNOS, les informations d'identification des exploitants agricoles déjà affiliés à la mutualitéagricole, au titre de l'assurance économique. Il a, par ailleurs, il a souligné que la structure qu'il dirigeparticipe, à travers des moyens de communication locaux, à la sensibilisation des agriculteurs surl'importance de la couverture sociale.L'affiliation à la sécurité sociale permettra à plus d'un (01) million d'agriculteurs recensés par leschambres d'agriculture, de bénéficier des prestations, notamment l'assurance maladie et la retraite,a conclu M. Benhabilès, estimant que le potentiel de cette population est \"beaucoup plus grand\". Lesagriculteurs débiteurs de cotisations auprès de la sécurité sociale bénéficieront d'un calendrier depaiement, d'année en année, et pouvant remonter jusqu'à 1996, pour régulariser leur situation,rappelle-t-on. Il s'agit de facilitations accordées aux agriculteurs offrant à cette catégorie de non-salariés la possibilité d'un rachat des années de cotisations non payées au titre de la retraite et debénéficier de différentes prestations en matière de couverture sociale, notamment, l'assurancemaladie.

Cette mesure parmi tant d'autres, est contenue dans l'instruction interministérielle du 18 novembre2015 fixant les modalités d'application aux agriculteurs des dispositions de l'article 57 de la loi definances complémentaires (LFC) 2015. Pour rappel, la couverture sociale de la catégorie desagriculteurs, assurée auparavant par la CNMA, a fait l'objet d'un transfert, durant les années 1990,vers la CASNOS. APS


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