Les Forces de Recul dépendent de la somme de l’énergie injectée à l’origine dans les astro-jets par des collisions d’énergie localisées sur la matrice et varient d’un endroit à l’autre. La Force de Recul (ex-gravité) “ g ˮ peut être universel et constant en regard de chaque atome en si, mais ça influence local reste dépendent du total de la énergie absorbé de la Matrice par les Astro-Jets et est dépendent de sa distance de la Matrice. En plus de notre changement de e en te et c2 en ta2, nous pouvons maintenant remplacer le “ m ˮ pour la masse par le “ r ˮ du recul et ainsi aboutir, du e = mc2 d’Einstein, à un te = r.ta2 révisé. Il n’y a qu’une seule Force dans l’Univers, Temps Ta Ta2 Ta3. 49
La Mécanique Cosmique, une Hypothèse Alors qu’Einstein a découvert la concentration excessive d’énergie à l’intérieur de l’atome et étudié la libération de cette énergie pour des usages ‘alternatifs’, notre tâche sera de découvrir comment un atome contenant tant d’énergie puisse exister en premier lieu. Beaucoup plus d’énergie Te doit rejoindre la Matrice Ta2 de l’extérieur que ce qui est purement nécessaire pour propulser et faire croître la Matrice dans le futur. Ce surplus d’énergie entre dans la création de matière primaire à partir de la Matrice vers les champs électromagnétiques environnants. Il s’agit du transfert d’énergie de la deuxième dimension vers la matière de la troisième dimension. Le problème pour comprendre ce processus est l’observation. Tant qu’aucune matière n’aura encore existé, aucun message ne nous parviendra pour nous dire ce qui se passe dans Systemland. Sur la base des connaissances actuelles, je vois deux possibilités, la première : création de la matière primaire de la matrice à Systemland Une possibilité, mais invisible à nos yeux mondains, est celle où des concentrations croissantes d’énergie sur la Matrice exploseraient et se transformeraient directement en matière tridimensionnelle. Les sursauts de rayons gamma cosmiques mystérieux, réguliers et largement observés pourraient être un indice révélateur de telles explosions. Mais au-delà de ces sursauts gamma, on ne peut se reposer sur rien d’autre. 50
Pour expliquer plus précisément la création de la matière primaire, on pourrait comparer le processus avec la création de la matière secondaire par les Quasars et les Astro-Jets que nous pouvons réellement observer dans notre monde visible de Systemland. Mon hypothèse soutient que toute création de matière primaire cachée sur la Matrice devrait suivre les mêmes principes que les mécanismes visibles de recyclage et de recréation de la matière que nous observons dans le Systemland. La première étape du processus primaire d’énergie de la Matrice convertie en matière nous serait invisible, car la matière visible n’aurait pas encore vu le jour. Ce n’est qu’au stade de la consolidation finale que les nouveaux nuages de poussière et de gaz commenceront à apparaître petit à petit. La nébuleuse de la Tête de Cheval et la Lagune sont de bons exemples de matière fraîchement créée par la Matrice. Tout comme sur terre, où se forment des systèmes météorologiques à haute et basse pression et où leurs fronts se heurtent parfois, je vois ainsi les courants d’énergie errants sur l’arc turbulent de la matrice former des concentrations localisées de potentiel énergétique divergeant. De temps en temps, leurs fronts se heurteront. De même, comme sur terre, les fronts météorologiques qui se heurtent, sous la pression, se développent verticalement en ouragans et en cyclones, je vois les ondes d’énergie horizontales des fronts en collision s’affronter, puis s’effondrer directement dans des Astro-Jets ‘primaires’ maintenant verticaux, perpendiculaires à la Matrice. La rotation accélérée des jets aspire l’énergie de la Matrice, déformant sa surface, créant ainsi des champs de forces de recul et de tension. 51
Les nombreux bulles et vides observés dans tout l’Univers entre les formations galactiques peuvent très probablement attribuer leur composition et leur structure à des variations dans les contours entre les centres énergétiques sous-jacents en conflit ! Lorsque la rotation du vortex des jets se rapproche de la vitesse de la lumière, je postule que les ondes d’énergie constituantes se séparent en ‘pôles de plasma’ imaginaires négatifs et positifs. Lorsqu’il n’y a plus moyen de retomber dans la Matrice après avoir traversé la frontière entre la deuxième et la troisième dimension, la vitesse de rotation des jets ralentit, les ‘pôles de plasma’ intermédiaires se consolident en électrons et protons, pour finalement se joindre et se contracter en hydrogène H1, les atomes primaires de notre troisième dimension. L’hydrogène est l’atome de base et constitue 75 % de la masse de l’Univers. Tous les atomes supérieurs et lourds dérivent de l’hydrogène basique H1. Par rapport à la matière en cours de création et aux atomes qui se rejoignent dans des grands conglomérats, les vortex de jet originaux s’ouvriront-ils et transmettront-ils leur énergie cinétique afin d’assurer la croissance des systèmes solaires et galactiques orbitaux adolescents. C’est ainsi que je vois la Nature extraire l’énergie de la Matrice, la convertir en atomes qui, d’un côté, servent de composants pour développer le Systemland, le maintenir et de l’autre pour stocker de l’énergie pour nourrir le Systemland et soutenir son métabolisme. L’autre possibilité est basée sur la rotation. 52
la création de la matière secondaire de Systemland – de retour vers Systemland La matrice Flatland alimente Systemland avec un flux constant de matière condensée fraîche sous forme de H1. La force de recul concentre le H1 frais en nuages de gaz/ poussière. Les disques de création d’étoiles portent les soleils de première génération avec leurs familles planétaires. Les soleils de première génération transforment l’hydrogène en hélium et les soleils secondaires créent les éléments de poids léger à moyen. Les atomes se rejoignent pour former des molécules et celles-ci à leur tour, en systèmes moléculaires. Les étoiles deviennent en surpoids et explosent, répandant et redistribuant la matière dans tout l’Univers. Des nova, géantes rouges, étoiles à neutrons, aux naines blanches, l’Univers avance des atomes, les plus légers aux plus lourds, à l’uranium et ses compagnons. Les galaxies s’absorbent entre eux ou se rejoignent en superamas. À la fin, surdimensionnés et en surpoids, ils sont tous destinés soit à s’effondre sur eux-mêmes, créant une nouvelle étape de la matière, soit à se transformer en des trous noirs, avec le choix de repasser directement dans la Flatland Matrix ou, de rester dans le Systemland, être mutilés et remodelés en une nouvelle matière par des trous noirs locaux, des Astro-Jets locaux et des quasars locaux. Il montre un Univers très dynamique et vivant et loin d’être statique, difficile à reconnaître pour nous, les nano-créatures. Je souligne ici que tout ce qui est décrit ci-dessus se produit exclusivement à cause de la contre-pression implacable exercée par la Force de Recul. 53
N.B.-1 : - Les jets astrophysiques primaires et les trous noirs primaires fonctionnent comme des échanges indépendants entre les deuxième et troisième dimensions. - Les jets astrophysiques secondaires et les trous noirs secondaires centrés dans les yeux galactiques sont confinés à la troisième dimension de Systemland. N.B.-2 : La Science discute actuellement de la source d’énergie la plus appropriée pour l’humanité à exploiter : soit des composés de carbone, des minéraux radioactifs dans l’énergie nucléaire ou des sources renouvelables comme l’énergie solaire, éolienne ou hydraulique. Le problème principal n’est pas tant l’approvisionne- ment de l’énergie la plus pratique, mais la recherche d’une solution pour le stoc- kage temporaire de l’énergie. Des dispositifs mécaniques, chimiques (piles), caloriques sont déjà utilisés ou leur utilisation envisagée. Ce que je propose c’est de suivre la manière dont la nature procède de la deux- ième à la troisième dimension et d’essayer de produire et de stocker de l’éner- gie sous forme d’hydrogène basique. Par exemple pour l’utilisation dans les moteurs à hydrogène qui ne rejettent rien d’autre que de l’eau non polluée. NB-3 : Comme dans Flatland, où chaque point individuel, où qu’il soit situé, est di- rectement soumis à la propulsion constante de la Force du temps, chaque objet, où qu’il soit situé sur l’enveloppe électromagnétique tridimensionnelle entou- rant la Matrice, restera toujours directement soumis à l’attraction de la Force de Recul, qui devient de plus en plus forte avec le temps à mesure que l’objet se rapproche de la Matrice. 54
Une vue d’ensemble sur les relations inter-dimensionnelles Première Deuxième Troisième Dimension Dimension Dimension Indépendance Indépendance La Science et Einstein : non non Univers de 3 coordonnées La troisième dimension reconnue par reconnue par englobe la 1re and 2e dimension la Science la Science E = MC² Zone de transit dans le Systemland 2e à 3e dim. 3e dimension: à l’intérieur à l’extérieur de l’atome de l’atome mécanique mathématique quantique standard La Nouvelle Astronomie Les étapes de puissance Première Deuxième Troisième Dimension Dimension Dimension *** * ** Les Jets Astrophysiques → La Flèche L’énergie de la Systemland …….↓ deTemps → deuxieme ← trous noirs, force de recul dimension → métabolisme interne : ressurgit dans la Force de Recul locale → Matrice du → trou noir → jet local ‘moment présent’ recyclage et redistribution Mon point de vue sur la création de la matière secondaire a été fortement influencé par les recherches sur la naissance des Galaxies faites par le professeur Halton Arp. Les résultats ont été, à regret ou mieux dit, bêtement ignorés et rejetés par la Science. 55
Professeur Halton Arp Ce fut une agréable surprise pour moi en août 2015 de tomber par hasard sur les écrits de feu du professeur Halton Arp, qui était jusqu’en 2013, chercheur en astronomie à l›Institut Max Planck de Munich. Comme moi, le regretté professeur Arp a été placé dans la niche par ‘l’élite scientifique’. Cela doit être la raison pour laquelle il est si difficile de retracer les publications faisant référence à ses découvertes très intéressantes. Personnellement, je tiens en haute estime le regretté professeur Arp, convaincu qu’il était sur la bonne voie. Dans les pages suivantes, je décrirai les idées du professeur Arp, en ajoutant mes propres commentaires entre parenthèses (H :). Le travail initial du professeur Arp consistait à redessiner la carte des emplacements cosmiques des objets liés aux quasars en ne tenant pas compte de l’interprétation scientifique du décalage vers le rouge comme étant limité à l’estimation des distances cosmiques. (H : Il existe deux types de décalage vers le rouge, l’un – affectant le Cosmos dans son ensemble, causé par l’avancement général du Temps, Ta, qui est indicatif des distances cosmiques. L’autre : causé par des événements locaux sur la Matrice Ta2, sans rapport avec les distances cosmiques. Le professeur Arp a utilisé cette dernière, l’interprétation intrinsèque locale dans ses recherches, sans tenir compte de l’interprétation générale. Comme il n’y avait pas beaucoup de différence là où les décalages vers le rouge extrêmes étaient impliqués, cela lui permettait de déplacer de nombreux objets liés aux quasars plus près de chez nous et dans notre Amas Local. 56
Le professeur Arp a noté que les quasars ne sont pas répartis uniformément dans le ciel, mais ont tendance à être plus perpendiculaires aux centres galactiques à des distances relativement courtes. Étant donné qu’ils pourraient en quelque sorte être liés aux galaxies. L’hypothèse du professeur Arp était que les quasars sont des objets locaux éjectés du centre des noyaux galactiques actifs. Les galaxies avec à la fois une forte émission radio et des morphologies particulières, en particulier M87 et Centaurus-A, semblent soutenir l’hypothèse du professeur Arp. Il a également remarqué que les galaxies associées présentaient un plus faible décalage vers le rouge. (H : décalage vers le rouge cosmique) contrairement aux quasars impliqués. (H : le décalage vers le rouge intrinsèque local). Le professeur Arp s’est tourné vers la cosmologie du plasma, qui montre empiriquement et expérimentalement que l’énergie, nécessaire pour former les galaxies et éclairer les étoiles, pourrait bien provenir de transmission d’énergie intergalactique sous la forme de filaments de courant cosmique de Birkeland. Cela pourrait faire du moteur dans des centres galactiques un simple ‘canon à plasma’ ou ‘foyer de plasma’. Les trous noirs ne sont pas nécessaires pour la théorie du professeur Arp. (H : pas les filaments de Birkeland mais l’énergie de la matrice, mélangée à de la ‘matière’ localement déconstruite, est la cause du décalage élevé vers le rouge.) Prof Arp : “ La formation de la ‘matière’ se déroule par étapes quantiques ˮ : Les observations empiriques montrent que plus le décalage vers le rouge d’un objet est élevé, plus il est jeune. Les galaxies mères actives engendrent des galaxies infantiles sous la forme de quasars faibles et fortement décalés vers le rouge. Les quasars sont éjectés du noyau de la galaxie, le plus souvent le long de l’axe de rotation mais parfois dans le plan de la galaxie. 57
Par un processus qui n’est pas compris par la physique actuelle des particules, le décalage vers le rouge des quasars diminue par étapes distinctes, ou les quanta, à mesure qu’ils vieillissent, deviennent plus lumineux et s’éloignent de la galaxie mère. En même temps, le quasar éjecté devient plus massif et ralentit, devenant finalement une galaxie compagnon du parent. Les objets à décalage vers le rouge élevé (tels que les quasars) sont alignés de chaque côté des objets éruptifs à faible décalage vers le rouge (souvent des galaxies actives). Les paires ont des dispersions positives et négatives égales à partir d’une valeur de périodicité de décalage vers le rouge. Cela implique que les quasars sont éjectés avec des décalages vers le rouge intrinsèques quantifiés (pas Doppler, c’est-à-dire de vitesse) à partir des galaxies actives. Le professeur Arp décrit les relations empiriques entre les galaxies actives, les quasars, les objets BL Lac et les amas de galaxies : (H : Les vitesses de rotation intrinsèques extrêmes du plasma sur l’axe galactique nécessaires à l’emprisonnement de l’énergie dans les atomes sont à l’origine des décalages extrêmes vers le rouge. Que les atomes les plus simples apparaissent en premier, suivis des plus complexes, je me demande si les décalages vers le rouge des quasars qui diminuent par étapes quantiques observés avec z comme 0,061, 0,30, 0,60, 0,96, 1,41, 1,96, etc. pourraient être liés aux étapes relatives en poids atomique ?) Le professeur Arp encore une fois : 1. Le décalage vers le rouge intrinsèque diminue avec le temps dans les sauts quantiques. 58
2. Les objets éjectés les plus jeunes semblent avoir des décalages vers le rouge les plus élevés. À mesure que la distance de la galaxie active augmente, les objets diminuent en décalage vers le rouge – pas à pas, en accord avec la périodicité quantique. 3. Les objets ont également tendance à augmenter en luminosité et à ralentir avec la distance. Cela implique qu’ils prennent de la masse en vieillissant. 4. A environ z = 0,3 et environ 400 kiloparsec de la galaxie mère, des objets BL Lac commencent à apparaître. Ils sont rares, très variables et très brillants en luminosité optique et aux rayons X. Certains montrent des preuves de formation d’étoiles, que les quasars plus jeunes ne montrent pas encore. Cela signifie que les objets BL Lac doivent être en transition de la phase de quasar compact à une phase de galaxie. 5. Les amas de galaxies, dont beaucoup sont de puissantes sources de rayons X, ont tendance à apparaître à des distances comparables aux objets BL Lac de la galaxie mère. Cela implique que les amas sont le résultat de la désagrégation d’un objet BL Lac. 6. Les amas de galaxies ayant z = 0,4 à 0,2 comme variable contiennent des galaxies bleues actives. Cela implique qu’ils continuent d’évoluer vers une luminosité plus élevée et un décalage vers le rouge inférieur. 7. Les amas de galaxies Abell se situant entre z = 0,01 à 0,2 se trouvent le long des lignes d’éjection des galaxies comme Centaurus A. Cela implique qu’ils sont les produits transformés issus des éjections. 59
8. Les chaînes de galaxies qui sont alignées à travers les spirales proches les plus brillantes ont des décalages vers le rouge se situant entre z = 0,01 à 0,02. Cela implique qu’ils sont à la dernière étape de l’éjection des quasars et de leur évolution en des décalages vers le rouge légèrement plus élevés. Jusqu’ici tout va bien professeur Arp. Les découvertes de Maxwell, Faraday et Fleming sur les étapes de puissance dans la structure de l’Univers cadrent bien avec les découvertes du professeur Arp sur la naissance de la matière et des galaxies où des Astro-Jets perpendiculaires au plan galactique expulsent des bébés galaxies – ex-machina ! Les recherches du professeur Arp ont inspiré ma propre hypothèse sur la création de la matière : la matière est aspirée dans un vortex galactique mère, un décalage vers le rouge toujours croissant mais graduel reflète la rotation s’approchant de la vitesse de la lumière, toute la matière impliquée disparaît dans la calandre du champ électromagnétique, le vortex ralentit, la matière remodelée dans la calandre réapparaîtra petit à petit, le décalage vers le rouge diminue et la luminosité augmente, par rapport à la matière créée. N.B. : voir chapitre Mécanique Cosmique, Création de la Matière. 60
La Sphère de la Matrice et Systemland comparés La Matrice Ta2 est le noyau central de l’Univers. Propulsé par la force du temps, il se développe comme une bulle bidimensionnelle dans le futur. L’énergie Te en circulation, répandue par la Force du Temps sur sa surface, lui fournit une enveloppe électromagnétique tridimensionnelle qui sert de berceau et de foyer au Systemland et à tout ce qu’il contient. De plus, son enveloppe fournit le champ électromagnétique global requis pour la communication universelle. La principale caractéristique de la Matrice Mère est sa planéité absolue bidimensionnelle, arrondie en une sphère parfaite. Sa perfection repose sur deux piliers : - Premièrement, pour que le Temps soit homogène pour tout l’Univers, chaque point de la surface de la Matrice doit avoir la même distance temporelle par rapport au même passé. - Deuxièmement, pour être une bulle parfaite, elle doit accepter toutes les pressions temps-énergie Te respectives, également divisées. Lorsque l’énergie Te est piégée dans des atomes m.ta2, le champ électrique Ta2 est déformé. Cette distorsion crée à son tour une force de recul proportionnelle sur la surface Ta2. De l’échelle microscopique à macroscopique, des atomes aux superstructures galactiques, toute la matière de Systemland est reliée à la Matrice par les forces de recul, directement ou indirectement via des trous noirs actifs ou dormants, primaires ou secondaires. 61
Systemland est caractérisé par des volumes granuleux de gaz, de liquides et de solides dispersés, tous les composites de temps- énergie emprisonnés et dispersés dans le champ électromagnétique tridimensionnel entourant la Matrice. Spécifique à Systemland est l’influence dominante de la Force de Recul qui sous-tend l’entropie, la température, le volume et les manifestations électromagnétiques dans l’environnement tridimensionnel. Systemland attribue son existence et sa croissance dans son intégralité à l’accumulation régulière et au flux d’énergie libre de la Matrice à l’énergie dense. L’énergie du Systemland est une énergie empruntée ! 62
La trajectoire de la Lumière Bien que les ondes lumineuses ne couvrent qu’une partie infime du spectre total des champs électromagnétiques, elles sont plus utiles pour explorer le Cosmos comme l’œil humain est familiarisé avec la lumière. Les autres longueurs d’onde allant de gamma aux fréquences les plus longues sont également appropriées et utiles pour explorer l’Univers avec, mais elles nécessitent une instrumentation. Lorsque vous regardez dans le Cosmos, la première chose à garder en tête est que notre champ de vision n’est pas une ligne droite autour d’un ‘volume’ céleste spatial, mais se situe dans la courbure du champ électromagnétique qui recouvre la surface de la Matrice. Ce champ électromagnétique qui entoure notre champ de vision en forme de poire (voir page 21, diagramme IV) est notre fenêtre sur l’Univers. Quand nous regardons les étoiles, nous les voyons tout autour de nous. Il n’y a aucun moyen de notre point d’observation terrestre de reconnaître la structure de notre Univers comme étant une sphère plate ! Près de la terre, la profondeur et l’épaisseur du champ électromagnétique peut facilement donner la fausse impression d’être un dôme homogène réparti d’étoiles, qui a la même densité dans quelque direction que nous regardons. Mais une fois que notre champ de vision s’éloignera plus du zénith, notre vue sera guidée et liée à la courbure du grand champ électromagnétique entourant la Matrice (voir diagramme IV). La portée et l’épaisseur du champ peuvent être estimées car elles doivent être proportionnelles à la force de l’énergie temporelle- électrique circulant sur la Matrice Mère, comme toute force et la portée d’un champ électromagnétique autour d’un fil électrique peuvent être calculées. 63
Mon estimation est que pour l’Univers de la Science, vieux de 13 milliards d’années avec une circonférence de 82 milliards environ d’années-lumière, le champ électromagnétique se serait étendu jusqu’à une épaisseur d’un milliard d’années-lumière. Cela donnerait, en plus de regarder le long de la courbure de la Matrice, encore beaucoup à observer. Le calcul de l’âge de l’Univers par la science est principalement basé sur sa distance actuelle par rapport au FDC (Fond Diffus Cosmique) / MWBR (MicroWave Background Radiation) que la Science considère comme le berceau de l’univers. Mais que se passerait-il, si le FDC n’était pas le lieu de naissance de l’Univers mais un indicateur de la limite extérieure de l’expansion atteinte par la Matrice en ce moment ? La distance temporelle de 13 milliards d’années entre le présent et le FDC / MWBR ne servira plus d’indication de l’âge de l’Univers, mais indiquera l’épaisseur du champ électromagnétique entourant la Matrice jusqu’à présent, au moins 13 milliards d’années ! Un tel scénario confirmerait une création continue de la matière sur la Matrice et en même temps allongerait l’âge et le rayon de l’Univers au moins dix fois à 130 milliards d’années ! Quelle que soit l’épaisseur du champ électromagnétique, il ne devrait pas être trop difficile de trouver un point-zénith indicatif dans le ciel nocturne, où plus aucune étoile ne serait présente au- delà d’une certaine distance, mais d’où, en regardant le plus loin possible, nous serions capable de scruter le cosmos. Un zénith trouvé serait une preuve supplémentaire de la “ nouvelle théorie cosmique ˮ exposée ici. 64
La grande barrière est que ni la Matrice elle-même, ni les collisions du flux d’énergie, sans parler de l’afflux unidimensionnel d’énergie de l’extérieur, ne seront jamais visibles pour l’homme. Ils représentent les couches d’intensité invisibles auxquelles Maxwell fait référence. N’oublions pas non plus que tous les rayons lumineux qui nous arrivent de loin, ne présentent pas les objets cosmiques tels qu’ils sont en réalité, au moment présent. Quand nous scrutons le plus loin possible dans le Cosmos, nous voyons les objets tels qu’ils étaient dans le passé. Et ils ne sont plus là où nous les voyons. Les messages lumineux entrants nous présentent une image irréelle et simultanée, forcée d’objets plus âgés et plus jeunes sans rapport, en vrac et différés les uns par rapport aux autres. Ensuite, nous devons prendre en compte le fait que les rayons lumineux sont guidés par et traversent les champs électromagnétiques de la Matrice. Cependant, ces champs électromagnétiques sont sujets à des distorsions fréquentes causées par les forces de recul locales autour des objets célestes, où la lumière est susceptible d’être détournée et le point d’origine de la lumière peut ne pas être situé à l’endroit où nous la voyons. Enfin, les astronomes utilisent toujours la mauvaise approche pour cartographier le Cosmos en appliquant une géographie terrestre tridimensionnelle locale obsolète et restreinte de longueur, largeur et hauteur de la même manière qu’ils le font pour cartographier l’espace extra-atmosphérique. Ils doivent encore apprendre que l’espace extra-atmosphérique est courbé et non géographiquement tridimensionnel comme notre environnement. Plusieurs facteurs doivent être pris en compte quand on cartographie les positions, les trajectoires et les distances réelles des objets et des événements dans le Cosmos. Les cieux ne sont peut-être pas ce à quoi ils ressemblent depuis la terre ! 65
Un effort conjoint mondial est en cours entre diverses institutions pour cartographier la position de milliers d’amas galactiques. La conclusion commune est que les amas galactiques semblent se trouver dans des structures étirées, plates et en forme de feuille. Enfin, la Science a trouvé quelque chose qui s’approche de la planéité! Le grand problème que nous, Systemlanders, avons est que nous ne pouvons voir que des objets tridimensionnels et rien de bidimensionnel. Ce n’est que dans quelques cas où les courants d’énergie interagissent avec la matière tridimensionnelle que nous avons une chance indirecte. Par exemple : des aurores électromagnétiques polaires qui indiquent un changement de notre atmosphère tridimensionnelle vers l’atmosphère bidimensionnelle de la Matrice. Je terminerai ce chapitre par un teaser : pourquoi les objets célestes semblent-ils plus grands près de l’horizon que plus haut dans le ciel ? C’est comme une projection de Mercator de notre globe tridimensionnel sur une carte bidimensionnelle où les latitudes et les longitudes aux frontières s›étalent de manière disproportionnée, où la Sibérie semble immense et le Kenya minuscule. La même distorsion se produit lorsque les étoiles du dôme cosmique tridimensionnel arrivent sur la surface presque bidimensionnelle de la Terre. Et comme sur la carte de Mercator, la vue de l’observateur vers l’horizon deviendra de plus en plus étirée et déformée par rapport au zénith. Une petite lune au zénith peut devenir énorme lorsqu’elle plonge vers l’horizon ! Le graphique montre que la distorsion n’est pas un mystère mais une question de lentille optique. 66
LE ZÉNITH L’HORIZON LA TERRE L’OBSERVATEUR L’arc indiquant les positions observées de l’étoile 67
Les Éléments Constitutifs de Systemland Il y a une trentaine d’années, je suis tombé sur et je me suis familiarisé avec la théorie de la ‘Vision systémique du monde’. Je ne m’étais pas attendu à ce que ma vision déjà bien établie de la vie, de la mort, de la société, du cosmos et de la religion puisse encore être si fortement influencée et même bousculée en lisant la “ Vision systémique du monde ˮ. La théorie considère le monde comme un amalgame de systèmes hiérarchiques, interdépendants et organisés. J’avais l’habitude de penser aux “ objets ˮ en regardant les étoiles, les galaxies, les comètes et en regardant au microscope de minuscules petits objets ou en regardant des êtres vivants en action. Observer chaque objet selon son propre mérite. Avec une vision objective, j’avais l’habitude de classer les objets de la nature en catégories, espèces et classes en fonction de leurs mérites spécifiques. La ‘pensée systémique’ m’a obligé à commencer à penser ‘de l’autre façon’. En commençant par identifier et analyser les systèmes et leurs fonctions par rapport à d’autres systèmes et seulement ensuite, en recherchant les caractéristiques individuelles, les composants et les éventuelles sous-fonctions. Cela m’a également montré que les sous-systèmes peuvent remplir différentes fonctions d’une étape du système à l’autre, même dans des systèmes indépendants. Ce sont la fonction, l’organisation et les relations qui sont importantes dans la nature et non les objets eux-mêmes. L’homme ne devrait-il donc pas se demander : quelle est ma fonction ici sur terre et quelles sont les règles ? La matière de Systemland tridimensionnelle est née du Flatland bidimensionnel. Le surplus d’énergie sur la matrice tourbillonne à une vitesse extrême dans des Astro-Jets qui 68
transfèrent le débordement d’énergie de la Matrice vers le monde tridimensionnel du Systemland. Ici, l’énergie se condense et s’enferme dans des atomes d’hydrogène H1, le système primaire qui sous-tend toutes les multitudes de systèmes supérieurs liés entre eux qui composent notre Systemland. C’est la Force de Recul (ex-gravitation) qui rassemble le H₁ primaire dans des systèmes atomiques supérieurs de plus en plus complexes, de l’hélium à l’uranium, en passant par les conglomérats moléculaires atomiques. C’est la Force de Recul qui rassemble les nuages grouillants de poussière cosmique et de gaz dans des disques de création d’étoiles qui portent les soleils de première génération. Ces soleils de première génération de plus en plus comprimés par la Force de Recul, transforment les atomes primaires en des atomes moyens sur l’échelle atomique. La prochaine étape dans l’échelle se produit lorsque des atomes à système unique se rejoignent en systèmes moléculaires. Les soleils de deuxième génération, comprimés par les Forces de Recul, produisent les atomes de base qui selon nous, les humains, peu clairvoyants, considèrent comme les seuls atomes porteurs de vie existants : carbone, oxygène, azote, soufre et phosphore, dont le carbone est le plus conjonctif et le plus polyvalent. Il crée et lie des multitudes de systèmes moléculaires offrant un choix supplémentaire pour le côté gauche ou droit, selon ce qui est le plus approprié pour que la création spécifique réussisse. Mais tous ces atomes, molécules, gaz, liquides et solides ne sont pas libres. Ils sont tous interdépendants en faisant partie de, ou liés par un système intégré à un système et à des super-systèmes. Chaque système dépend du système supérieur dont il fait partie. Les systèmes solaires se rejoignent en galaxies, les galaxies en amas galactiques, jusqu’aux superamas. Tous ensemble, ils composent notre Univers visible. 69
La dépendance et la relation entre le carbone, l’oxygène, l’azote, le soufre et le phosphore, qui sont définis par la Science comme les seuls signes indicatifs de la “ vie ˮ, occupent une partie infinitésimale dans la hiérarchie globale des systèmes interdépendants allant de l’hydrogène aux amas galactiques. Au vu de la théorie des systèmes, il n’y a aucune différence entre un atome, une cellule, un être vivant ou une galaxie. La structure de chaque système est composée de l’organisation fonctionnelle de l’énergie au sein du concept plus vaste d’un “ univers vivant ˮ en évolution. Ils sont tous inclus et font partie du “ Tout ˮ. Pas seulement la chaîne de carbone, mais tous ! Par leur connexion ombilicale de leur m.ta2 exclusif au Ta2 global par la force de recul, chaque atome et objet constitutifs de Systemland sont enracinés dans la Matrice Mère, le “ Tao ˮ de l’Univers, et sont en corrélation avec celle-ci. D’un côté de la barrière, nous avons les Astro-Jets aspirant l’énergie temporelle primaire Te de la Matrice, remodelant l’énergie en matière dense de base et injectant la matière nouvellement créée dans le Systemland. Les Astro-Jets de la Matrice en sont les fournisseurs. De l’autre côté de la barrière, nous avons la Force de Recul qui rassemble et organise la nouvelle matière dans les éléments constitutifs pour la croissance et la conservation de Systemland. La Force de Recul est l’architecte, le constructeur et l’organisateur de notre Univers faisant partie de Systemland. Mais… pouvons-nous demander ? Par qui et dans quel but ? 70
Plus de Systèmes Le corps humain est composé d’une hiérarchie de systèmes intégrés. Les systèmes nerveux et cérébraux, les systèmes respiratoire, de circulation sanguine, digestif et de défense, les systèmes visuel, de l’ouïe et vocal, les systèmes du toucher, des sens, du mouvement et de la procréation, etc. Nos corps sont également l’hôte de systèmes d’organismes indépendants mais fonctionnent pour le bien-être mutuel des deux parties. Ces systèmes symbiotiques font à leur tour partie de systèmes extérieurs : la famille, le lieu de travail, le village, la nation, le système fiscal, le système de sécurité sociale et une multitude d’autres systèmes humains. Ensuite, un fait généralement ignoré est que l’humanité fait partie du système bioécologique de notre Terre. Les systèmes de base de la vie sur Terre, tels que nous les connaissons, sont les microsystèmes : le virus, le champignon, la cellule, les bactéries et les amibes. Une vie supérieure ne pourrait pas exister sans eux. 71
Une Symbiose Externe Qu’il y ait une seule et unique Force, programmant, coordonnant, dirigeant et maintenant l’Univers ensemble qui se manifeste dans la multitude de systèmes symbiotiques existants que nous pouvons classer en trois groupes principaux : symbiose externe, symbiose interne et symbiose globale. La symbiose externe est celle où, par exemple, les moyens de subsistance de certaines plantes et certains animaux dépendent les uns des autres, ou lorsque les plantes dépendent d’autres plantes et les animaux d’autres animaux. C’est là que chaque participant remplit sa fonction. Ou transversalement, où par exemple les fleurs dépendent de l’insémination des abeilles, les plantes produisent de l’oxygène pour les animaux et les éléphants nettoient les forêts pour faire place aux pâturages pour les animaux qui broutent. Comment les plantes sont-elles devenues dépendantes de la fertilisation par les abeilles en même temps que les abeilles sont devenues dépendantes du nectar des plantes ? Comment deux espèces totalement différentes, l’une, une plante, l’autre, un animal, se sont-elles réunies et ont-elles conjugué leurs vies pour un avantage mutuel ? Il existe des milliers d’exemples dans la nature où des groupes entiers de plantes et d’animaux forment des ensembles coopératifs symbiotiques. Comment le darwinisme, avec son interprétation centrée sur la vie individuelle, peut-il expliquer cette coopération entre les espèces ? 72
Une Symbiose Interne Comment la vie symbiotique, où des multitudes de micro-animaux aident à digérer la nourriture à l’intérieur de plus gros animaux, a-t-elle vu le jour ? Nous pourrions alors nous demander : qui est le chef de notre corps : les mitochondries ou nous ? Comment les gènes ont-ils pu servir autant de systèmes différents ? La Symbiose Globale La réponse réside dans le fait que l’existence d’une symbiose interne et externe ne peut être expliquée qu’en acceptant une intervention globale et supérieure de systèmes interdépendants dans un ordre hiérarchique, de haut en bas. En acceptant que l’interrelation des systèmes est guidée par la Force de Recul ancrée dans la Matrice, alors ce doit être dans la Grande Matrice elle-même que nous devrons chercher le plan de notre Univers. Une amélioration y peut être apportée, mais uniquement sous la direction et conformément au plan général de la Grande Nature, et ce changement ne proviendra jamais des besoins individuels. La nature permet de légères variations individuelles, mais seulement si celles-ci sont en accord avec le dessein cosmique et du bien-être commun. Dans les systèmes liés, chaque membre a une fonction, une tâche. Il ne peut pas faire ce qu’il veut en toute impunité. L’humanité va découvrir tôt ou tard que toutes les expériences irresponsables avec les engrais, les antibiotiques, les fongicides, les herbicides et l’expérimentation de gènes ainsi que notre alimentation non naturelle et nos habitudes de vie auront des conséquences. Homo Sapiens ou Homo Ignorante ? 73
La vie et pas seulement ce que nous appelons la vie, mais toute la vie universelle à plus une grande échelle est si liée qu’elle ne peut être qu’une vie unitaire totale : un Univers Vivant. Tout est enlacé, à commencer par notre petite planète : Il existe des systèmes climatiques, des systèmes de circulation océanique, des systèmes de circulation du carbone, de l’oxygène et de l’ozone. Les algues ont une forte influence sur la température de la surface des océans et, à ce titre, ont pour fonction d’aider à réguler les climats du monde, faisant partie du système terrestre de notre planète. De nombreux systèmes sont des systèmes partagés et de nombreux systèmes sont utilisés maintes et maintes fois à des fins similaires à différents endroits avec ou sans modification. Par exemple, les mêmes types de gènes peuvent être retracés dans différentes espèces végétales et animales, créant le même type de protéines, utilisées pour les mêmes besoins. Notre planète Terre est comme un super système intégré, comme une seule macro-cellule biologique ! Elle consomme l’énergie solaire, nécessaire à la circulation océanique et aérienne et à la vie. Baignant dans les rayons du soleil, la rotation de la Terre 24 sur 24 heures crée les vents qui distribuent les nuages, l’air et tout ce qu’ils peuvent contenir. Sa température est régulée par la teneur en carbone de son atmosphère et la densité de la couverture nuageuse. Ses océans tempèrent les fluctuations. Elle fait circuler la croûte et l’enveloppe terrestre dans un processus lent mais continu. Outre de nombreuses autres fonctions, pour la plupart encore inconnues, son champ magnétique guide le vent solaire et les rayons cosmiques autour de notre globe pour éviter les dégâts causés par les impacts cosmiques. 74
Il vit en échange constant avec le reste du système solaire et le grand Cosmos à travers des météorites itinérantes, des astéroïdes occasionnels et son passage à travers des nuages de poussière et de gaz cosmiques chargés de toutes sortes de particules élémentaires, d’atomes, de molécules, même les molécules de carbone très complexes, qui peuvent ou non inclure des virus, des bactéries ou d’autres porteurs de vie. Faisant partie de l’Univers vivant, notre planète Terre se transforme comme une sublime cellule respiratoire autorégulée, vivante à part entière. Le mécanisme de changement de saison par l’inclinaison de son axe par rapport au soleil guide le rythme cardiaque qui maintient la circulation et le métabolisme de nos planètes. Les espèces sont des compositions de programmes biologiques standard largement disponibles dans la nature. La banque de données de la Nature contient une grande variété de programmes détaillés pour chaque créature : le squelette, le tube digestif, les yeux, les oreilles et la défense, la locomotion, la procréation et des milliers d’autres. Chaque espèce, chaque création est équipée du programme le plus adapté à la fonction globale pour laquelle elle est créée. Où cette banque de données pourrait-elle résider? Lorsque des circonstances externes l’exigent, la nature supprime les programmes obsolètes et en installe de meilleurs, partout où cela est nécessaire, les récupérant si nécessaire dans la banque de mémoire de la Nature Supérieure. Les espèces individuelles n’ont qu’un degré limité d’adaptation et d’amélioration. Les changements majeurs sont le résultat d’une programmation centrale, car toutes les fonctions du Grand Système doivent rester en accord. 75
La prochaine étape à partir de notre système de biosphère terrestre est d’être membre du système solaire. Le soleil fournit toute la chaleur et l’énergie dont la vie terrestre a besoin. Notre système solaire fait à son tour partie de la Voie Lactée, notre galaxie. Les galaxies consomment et créent des galaxies (voir professeur H. Arp), des soleils et des planètes. Tous les systèmes, qu’ils soient microscopiques ou macroscopiques, sont interconnectés et font partie intégrante d’un ou souvent plusieurs systèmes, jusqu’au Système Maître de l’Univers auquel tous appartiennent. La question est de savoir si ‘l’organisation’ est spécifique à Systemland, alors que la Matrice sous-jacente reste chaotique. Il est plausible que la Matrice soit organisée à sa manière à l’aide des schémas d’ondes et de résonance. Le temps Te étant la force universelle dirigeante globale, il serait donc logique que Te soit responsable de l’organisation et des règles de la Matrice, qui sont ensuite transmises au Systemland superposé. 76
La Structure de Systemland Sans l’impulsion d’un débordement d’énergie-temps TE dans TA2, il n’y aurait rien. Aucune énergie dense m.ta2 appelée “ matière ˮ. Pas de protons, pas de neutrons ni d’atomes primaires comme l’hydrogène, le deutérium, l’hélium, le lithium. Sans les fours solaires, les éléments les plus lourds n’auraient pas été créés. Sans les nova, les éléments les plus lourds n’auraient pas vu le jour. Sans les multiples liens du carbone, les multitudes de substances organiques disparaîtraient, y compris nous. Sans gènes, la vie ne pourrait pas être organisée. Sans force de recul, la “ matière ˮ n’aurait pas dérivé ou ne se serait pas regroupée pour former des structures composites. Aucune galaxie ne serait là pour engendrer des rejetons. Les nuages de gaz et de poussière cosmiques tourbillonnant, les galaxies en spirale, les quasars, les super nova et les sys- tèmes solaires font tout autant partie de la vie que les cellules, les gènes, les virus, les mitochondries ou les bactéries. Sans la chaleur du soleil, la vie sur terre n’existerait pas. Sans la création d’étoiles galactiques, notre soleil n’aurait pas vu le jour. Les galaxies sont les pépinières des bébés galaxies et étoiles. Les galaxies font tout autant partie de la vie que nous. Un seul et même but, un seul et même concept sont derrière la création des galaxies, des soleils, des atomes et des composés organiques du carbone, des gènes et des humains. Dans le Cosmos, tout s’entrelace. Chaque nouveau système ne peut se développer qu’en ayant ses racines dans les précédents. Aucun nouveau système ne peut se développer seul. Chaque nouveau développement a une fonction et doit nécessairement s’harmoniser et faire partie intégrante de l’ensemble. 77
La vie n’est pas le domaine exclusif du carbone. Le carbone n’est pas vivant à proprement parler. La matière qui compose un être vivant n’a pas de vie. Les gènes ne sont que des schémas. Les composés de carbone ne sont que des foyers pour l’étrange force inconnue que nous appelons “ la vie ˮ. Il en va de même pour les “ électrons ˮ entourant le noyau atomique qui ne sont que de purs conducteurs du flux de la même force, mais appelés ici “ électricité-temps ˮ. La vie n’est pas inhérente à la matière. La vie ne tire pas son origine de la matière. Au contraire : la matière tire son origine de la Vie qui s’enracine dans la Force du Temps et apporte le changement à tout. Vivre, c’est changer ! La vie fabrique et utilise la matière pour ses besoins et cela nous inclut. La Force Invisible du Temps, de la Vie et du Changement est omniprésent. La vie a forgé tout ce que l’Univers représente. Elle carbure et infuse l’Univers, les galaxies, notre planète Terre, de la même manière qu’elle nous carbure et nous infuse. Notre Voie Lactée est en marche et pivote sur elle-même. La poussière et les gaz tourbillonnent dans l’espace. Les étoiles naissent et meurent. Le vent solaire souffle et les pulsars émettent leurs messages vers les coins les plus reculés du cosmos. Actuellement, notre Voie Lactée attire les deux Nuages de Magellan dans son champ de recul pour les digérer pour leur énergie. Ses bras en spirale sont comme des vertèbres gardant sa structure ensemble. Au centre de notre Voie Lactée se trouve un cœur sombre qui rebondit, un trou noir affamé. La Voie Lactée possède tous les éléments d’un être vivant faisant partie de l’Univers : elle a un métabolisme, elle change, elle crée et elle communique. Malheureusement, nos yeux ne peuvent discerner que des squelettes de matière tridimensionnels flottant dans l’Univers, omettant ainsi toute indication de concentrations possibles de 78
matière grise bidimensionnelle, de plasma ou autre, liées aux squelettes galactiques, qui pourraient indiquer ‘quelque chose’ de plus grand, de la même manière que notre squelette soutient nos tissus mous. Comparez cela à inversement être limité aux yeux traités par röntgen, ne voyant ainsi que le squelette et non la créature éventuelle. L’Univers tout entier est si interconnecté et interdépendant, si coordonné, si p ’une création unitaire, un Être Vivant en- globant le tout. Notre petite planète bleue n’est qu’une parmi des millions d’autres planètes de la Voie Lactée. Comme la Voie Lactée elle-même est imprégnée de vie et a son propre cycle de vie, de l’enfance à la maturité en passant par la mort, alors de nombreuses autres planètes comme notre Terre pourraient ‘mûrir’ au même moment. La façon dont tous les fruits de l’arbre mûrissent pendant la même saison. Ainsi, le “ Contact ˮ de Carl Sagan pourrait être juste au coin de la rue. Avec notre propre Univers unique montrant déjà toutes les caractéristiques d’un être vivant indépendant, ne pourrait-il pas y avoir beaucoup d’autres Univers dans le Grand Cosmos qui sont nourris par la même Force du Temps ? Ou où la mort d’un Univers pourrait fournir la source d’énergie pour la croissance du prochain ? Les mécanismes de passage de la première à la deuxième et à la troisième dimension, la création de la matière, le recyclage tridimensionnel, tous indiquent “ l’Essence de la Vie ˮ qui se propagent dans toute la structure de l’Univers, plaçant l’Univers au niveau d’un Être Vivant à part entière. Un Univers Vivant a déjà été suggéré par les philosophes grecs Platon et Anaxagoras. 79
Les lois de la physique sont en faveur de la vie et un seul changement de 1 % dans ces lois pourrait déjà faire des ravages avec la structure physique actuelle de l’Univers et rendre la vie impossible. Comme un être vivant, l’Univers dans son intégralité absorbe l’énergie extérieure, l’utilise pour emprisonner des atomes afin de les utiliser comme des éléments de construction pour faire croître son Systemland et en même temps utiliser les atomes comme réserves d’énergie pour une utilisation ultérieure. Bref, l’Univers vit, construit et recycle. Mais même le grand Univers dans son intégralité est destiné à mourir lorsque (son) Temps s’épuise ! Se pourrait-il que la Matrice de l’Univers, comme une bulle de savon, soit surchargée et explose un jour ? Tout ce qui est le Temps s’arrêterait alors et rien ne serait plus là ... Sans le Temps, il n’y a et il n’y aura rien ! Alors, le seul espoir pour la continuité de la Vie serait que notre Univers fonctionne comme une véritable bulle, et tout en éclatant et en s’effondrant, il créerait des centaines de petites bulles avant de disparaître et de mourir. Ensuite, si une sarbacane céleste infusant la vie pouvait intervenir juste à temps et soigner une ou plusieurs de ces minuscules bulles engendrées par l’Univers mourant – qui peut être parsemé d’ADN parental –, alors ces bulles pourraient à leur tour avoir une chance de grandir dans de nouveaux univers puissants ! N.B. : les irrégularités trouvées sur le FDC pourraient-elles être indicatives de poussières cosmiques et peut-être même de gènes restant d’un Univers agoni- sant, et transmis à notre Univers infantile ? 80
La Communication Universelle le « U.W.W. » et « C.W.W. » Une communication globale est indispensable pour un univers vivant. Un univers intégré a besoin d’un échange d’informations. Lorsque l’Univers n’est pas seulement intégré, mais réellement vivant, la communication doit également être intelligente. Ou l’inverse : plus la communication universelle est sophistiquée, plus l’Univers doit être intelligent. La communication surfe et se superpose sur les champs électromagnétiques qui entourent le Flatland de la Matrice. La communication va de simples messages passifs à une communication intelligente et sophistiquée. - Par communication passive, nous nous référons à la réflexion de messages lumineux ou sonores confirmant l’existence d’un objet ou d’un événement. - La communication active, c’est lorsqu’un objet crée lui-même le message, sous forme de lumière, de son ou d’odeur, comme des étoiles, une ampoule, un train ou du soufre. - La communication interactive a lieu lorsqu’une réaction suit la réception d’un message. Une communication intelligente et spécialisée implique un centre de renseignement ou un cerveau. Dans la vie basée sur le carbone, la communication interne est effectuée par des réactions électrochimiques dans tout le système nerveux. La communication de Systemland à courte distance est transmise par le son, l’odeur, les variations de température, la pression, par la perception et, surtout, par la multitude d’ondes électromagnétiques se déplaçant dans le champ électromagnétique entourant la matrice. 81
De plus, des types de communication, qui nous sont inconnus, devraient exister. Eugène Marais dans son livre La vie de la fourmi blanche écrit que, lorsqu’une termitière est endommagée d’un côté, les termites de l’autre réagissent au même instant. Lorsqu’il y a environ vingt ans, un insecte ravageur a commencé à envahir les forêts du nord-ouest des États-Unis, la composition chimique des cellules des arbres, bien que distants de plusieurs kilomètres, a commencé à montrer des changements défensifs peu de temps après. Lorsque la panique frappe un troupeau, la panique se propage instantanément. La communication à longue distance entre Systemland et Flatland se fait par ferroutage sur des ondes d’énergie traversant le champ électromagnétique. À n›importe quel point où l›on se trouve dans notre Univers, on verra toujours la lumière des étoiles, ou on entendra des signaux radio. Si l’on était bien équipé, on pourrait peut-être même être en mesure de recevoir des informations d’autres types d’ondes ou toute autre chose. Tout autour de nous communique avec le reste de notre Univers, du plus petit quantum aux plus grandes étoiles, aux autres créatures vivantes et à la Mère Nature. Malheureusement, les gens ont perdu tout intérêt pour cette dernière. Si l’on était assez puissant, on pourrait peut-être “ voir ˮ et “ connaître ˮ tout ce qui se passe dans notre Univers. Tout est là ! Chaque petit objet de l’Univers communique sous une forme ou une autre, de manière passive à intelligente, d’une manière ou d’une autre, qu’il le veuille ou non ! Demandez simplement à Amazon ou à Google. 82
Le cerveau humain contient d’infimes quantités de fer. Ses neurones sont sensibles et communiquent par des impulsions électromagnétiques (chimiques). Cinq sens couvrent nos besoins de communication externe : le toucher et le goût pour la communication tactile, l’odorat et l’ouïe pour la communication de proximité et les yeux pour la communication visuelle des objets et événements les plus proches aux plus éloignés. Les sensations de douleur et de bien-être sont prises en charge par la messagerie interne via notre système nerveux. Toute communication humaine est gérée par notre cerveau central. Le cerveau digère l’entrée, enregistre, réfléchit, compare avec les données de la mémoire, décide et expédie sa réaction en fonction des messages reçus. Dans les ordinateurs, nous utilisons des disques durs électromagnétiques pour le stockage des données. Le fer offre le support idéal pour le magnétisme. Comme le pourcentage de fer dans le cerveau est plus élevé que dans le reste du corps, nous pouvons supposer que cette teneur en fer plus élevée a quelque chose à voir avec notre enregistrement des données par la mémoire, de la même manière que les champs magnétiques sur les disques durs enregistrent des données. La matière tridimensionnelle qui existe dans l’univers est petite par rapport à la surface de la Matrice et du champ électromagnétique dans lequel le sujet est intégré. Mais entre tous ces grands espaces, sur et autour de la Matrice qui semble vide et vide à nos yeux, invisible quant à tout ce qui bidimensionnel, y compris la sphère environnante, tout cela est loin d’être vide et inutilisé ! 83
Des millions de messages lumineux, radio ou autres, surfent d’un bout à l’autre de l’Univers sur la feuille d’énergie-temps. Chaque petit point de l’Univers est en correspondance avec chaque autre petit point de l’Univers, activement ou passivement et tout cela a besoin de l’espace. Plus la fréquence est élevée, plus la communication à longue distance est éloignée et pénètre dans l’espace. Pour que tout le trafic se déroule sans problème, le champ électromagnétique de la Matrice doit pouvoir offrir une hyper- conductivité harmonique des fréquences les plus élevées aux fréquences les plus basses. La discordance affecterait la communication cosmique à ses bases même et pourrait mettre l’Univers en danger. Les fréquences harmonisent, règlent et régissent également les distances entre les atomes, les molécules et leurs composites jusqu’aux distances variables entre les orbites planétaires de notre système solaire selon la loi de code. Ce dernier pourrait être régi par des schémas de résonance sonore ultra-profonds. Notre soleil peut être comparé à une énorme cloche émettant des ondes sonores potentielles à ultra-basse fréquence qui semblent harmoniser les orbites planétaires de notre système solaire. À l’intérieur, les fréquences de l’atome harmonisent les distances entre les orbites électroniques respectives en résonance. 84
La Communication entre les différents Univers La communication en général dans notre Univers est couverte par, mais en même temps limitée au champ électromagnétique entourant la Matrice. La question est de savoir si notre Univers, en dehors de son champ électromagnétique, pourrait également faire partie et être inclus dans un plus grand U.W.W. (Universal Wide Web) qui pourrait connecter plusieurs univers ? La force étrangère du Temps qui maintient notre univers et peut-être de nombreux autres univers en fonction de l’énergie- temps, pourrait en même temps, par le biais de ferroutage sur son Te unidirectionnel, fonctionner également comme un vecteur de communication inter-cosmique entre les univers, là où les champs électromagnétiques font défaut. Les messages partagés portés par Te arriveraient simultanément à leurs Univers respectifs à la vitesse du temps absolu. Mais cela n’implique pas une simultanéité correspondante entre les stations de réception elles-mêmes ! Les messages Te peuvent prendre un peu plus de temps à voyager entre les différents univers. La communication cosmique est la condition sine qua non d’un Univers Vivant indépendant et unitaire. 85
La Programmation Cosmique La découverte des chromosomes nous a apporté la première preuve de la programmation de la Nature, mais ce ne sera pas la dernière ! L’ADN stocke toutes les informations nécessaires pour créer, construire et maintenir la “ vie ˮ et bien plus que nous ne connaissons pas, dans des chaînes de carbone moléculaire. Il existe des chaînes ADN spéciales supplémentaires pour accéder, répliquer, utiliser et ajuster ces informations. Les gènes sont les modèles de la vie carbonique. L’ADN contient des instructions moléculaires simples et répétées assemblées en hélices pour créer et guider la vie basée sur le carbone telle que nous la connaissons. Mais pourquoi ne programmer que la vie basée sur le carbone, une partie spécifique de la nature ? Pourquoi pas le tout ? Se pourrait-il que non seulement la vie basée sur le carbone soit programmée, mais que toute la hiérarchie précédente des systèmes menant à la vie basée sur le carbone et au-delà ait également été programmée ? Si la programmation de notre vie est établie dans des hélices à base de carbone, alors où les programmes de base de la vie générale, les atomes, les molécules, les soleils, les galaxies et les planètes pourraient-ils être intégrés si de tels programmes existent vraiment ? Les atomes sont composés de quanta et les quanta sont basés dans le Flatland. Les schémas d’ondes d’énergie de Flatland pourraient-ils contenir le concept mathématique de la structure du Systemland sous-jacent ? Mais d’où Flatland aurait-il pu à son tour avoir obtenu un tel concept ? Serait-ce de la Force du Temps Te ? 86
Il y a seulement une trentaine d’années, de telles idées ne me seraient jamais venues à l’esprit, mais la puce électronique et l’informatique ont tout changé. Après tout, quand on travaille sur un ordinateur, en réalité, on travaille dans le cyberespace ! Nous travaillons dans le Flatland ! Quoi que nous travaillions, informatique électronique ou optique, nous travaillons dans les champs électromagnétiques et les champs électromagnétiques qui sont ancrés dans le champ électrique de Flatland. Nous programmons des instructions en zéros et en uns, en positifs et en négatifs, dans toutes sortes de combinaisons, les encodons et les libérons en impulsions implantées sur des ondes électromagnétiques. Nous programmons, alors pourquoi la nature ne pourrait-elle pas programmer de la même manière, et pourquoi la nature ne pourrait-elle pas nous programmer aussi ? Mais pour cela, nous aurions besoin d’une capacité intégrée de communiquer avec le grand cyberespace. Pourrait- il y avoir une petite antenne cachée quelque part connectée à notre cerveau ? Serait-ce notre sixième sens poussiéreux, qui est destiné à écouter le grand cyberespace ? Tout dans l’Univers communique. Pourquoi pas nous ? Et une telle antenne offrirait- elle une connexion intelligente ou servirait-elle simplement de terminal stupide ? Parfois, je me demande quelle part de ma réflexion je fais moi- même, et quelle quantité aurait pu être infusée par la Matrice Mère ou au-delà ? Notre Internet vient de voir le jour. Nous avons maintenant notre “ W.W.W. ˮ, notre World Wide Web. Comme l›Univers possède déjà un champ d’énergie électromagnétique englobant tout, se pourrait-il qu’il possède également son propre U.W.W. Universal Wide Web se déplaçant sur son champ d’énergie et l’utilisant pour communiquer universellement et diriger tout ce qui lui appartient ? Dans ce cas, nous ferions mieux d’apprendre à écouter le U.W.W. et moins sur le W.W.W. ! 87
Pourrait-il y avoir une relation entre le champ électromagnétique puissant du noyau de fer de notre terre avec les processus de la vie sur Terre et jusqu’à l’Univers en général ? Une analyse approfondie des spectres électriques et électromagnétiques globaux, de la lumière aux ondes radio, en passant par les rayons gamma, devrait révéler toutes les liaisons possibles et attendues entre le Flatland et le Systemland et pour Systemland en interne. Liaisons, qui s’étendent comme des chaînes de neurones et communiquent par messagerie sécurisée. Par exemple, les neurones transmettent des instructions chronométrées pour la croissance et l’entretien, à l’infini. En résumé : pour tout ce qui est nécessaire pour diriger un Systemland vivant par sa Mère Flatland. La Matrice du Flatland pourrait contenir la banque de mémoire de tous les schémas et plans pour toute la matière de Systemland et ses habitants ! Nous les humains ne sommes pas si importants Comme nous aimerions le penser L’humanité pourrait au mieux aspirer À servir comme agent temporaire Dotée d’une intelligence induite Pour faire un travail qui lui sera assigné. Emprisonnée dans un monde tridimensionnel Et ignorante de ce qui se cache au-delà. Assis devant mon petit ordinateur, les pensées me fuient. Elles fonctionnent différemment de ce à quoi j’étais habitué. L’informatique m’a non seulement ouvert une fenêtre sur le cyberespace, mais elle m’a ouvert une fenêtre sur l’univers, sur une Vie à découvrir. Je ne pense pas être le seul à avoir découvert cette fenêtre spaciale. Il doit y avoir beaucoup plus de cyber- collègues qui commencent à voir ces choses et à penser sous un angle très différent. La cyber-pensée dans l’autre sens commence par la programmation et la recherche d’un “ monde Flatland ˮ 88
dénué de matière, de retour au Systemland. Pas l’inverse. Cela offre une perspective bien différente ! L’informatique et le réseautage doivent réussir parce qu’ils sont tellement proches de ce que fait la nature elle-même. Lorsque nous programmons dans le cyberespace sur nos ordinateurs, cela signifie que par conséquent quelque chose, quelque part dans notre monde quotidien, va changer. Est-ce que tous les événements dans la Nature, le Cosmos, le monde réel ont également été programmés ? Par Qui ? Lorsque nous programmons et créons, nous lions toutes les parties pertinentes. La nature fait de même. Nous sommes la vie, la nature est la vie. La nature crée, nous sous-créons. La Force de la Vie a créé et programmé, ou a voulu si vous le souhaitez, nous créer et tout ce qui nous entoure. Mais faites attention. Ne présumez pas que la vie est préprogrammée de manière inflexible ! La nature est compréhensive et indulgente ! La Mère Nature a besoin de flexibilité et d’essais et d’erreurs pour trouver les meilleures solutions pour tous. C’est peut-être la raison pour laquelle la vie n’est pas toujours un lit de roses ! Si notre Univers est dirigé comme supposé ici, alors il y a trois formes imaginables pour que cette directive s’applique. - Une directive ponctuelle intégrée à la naissance de l’Univers, une directive limitée à la naissance même de l’Univers. - Il pourrait également s’agir d’une succession continue de directives au fil du temps infusées par la Force du Temps. - Ou se pourrait-il que chaque grain universel individuel, aussi petit soit-il, ait sa propre connexion et sa part dans une Intelligence Universelle globale et contribue à sa manière à diriger le Tout ? 89
Pour fonctionner correctement, un Univers indépendant a besoin de moyens de communication quasi instantanés. La “ résonance ˮ universelle pourrait combler le vide, comme cela sera décrit dans le chapitre suivant. Tous les atomes de l’Univers vibrent selon les mêmes impulsions temporelles sur la même grille électromagnétique. Les schémas de résonance de ceux- ci pourraient bien servir de moyen pour une communication d’entrée-sortie instantanée. Mais au-delà de la question de communication, un Univers indépendant pourrait-il se propulser dans le futur sans l’apport extérieur de la Force du Temps, grandir, avancer et prospérer, une fois l’impulsion initiale reçue ? Où pourrait alors se trouver l’énergie nécessaire à l’indépendance, si elle n’était déjà induite à la naissance dans l’élan initial du flux d›énergie de Te sur la Matrice ? La réponse est que l’énergie accumulée et stockée piégée de la Matrice au Systemland, des atomes aux galaxies, pourrait bien suffire à fournir toute l’énergie nécessaire pour faire avancer l’Univers dans le futur. La légère variation dans la séquence des impulsions de fréquence qui maintiennent le passage du temps dans la même direction positive d’origine serait maintenue. La communication instantanée et l’auto propulsion pourraient permettre à l’univers de fonctionner parfaitement en tant qu’unité indépendante tant que dure l’énergie stockée de Systemland. Le Grand Programmeur doit avoir beaucoup de patience avec les Hommes. Il a soigneusement essayé d’expliquer les mêmes lois de la vie encore et encore à différents apôtres, ajustant ses messages aux différentes cultures et mentalités. Mais l’humanité, dans son zèle, sa jalousie et son égoïsme, a fait des ravages à cause de ces messages. 90
Si chaque terrien s’asseyait tout seul, mettait son antenne et écoutait et écoutait, chacun seul par lui-même. Sans être distrait par de faux conseils et des histoires déformées. S’il écoutait, sans jamais demander. Aujourd’hui, trompé par une multitude de voix vaines L’homme se balade, confus et perdu. Séparé de la Vie-Mère. Ne plus savoir à qui et où écouter. Ne voyant plus, qu’il fait partie du tout. Est devenu fou furieux, détruisant dans sa folie La Toile de la Vie que la Nature a tissée autour de notre globe Si délicate, si finement tissée... Toutes les religions primitives lointain contenaient la vérité fondamentale : nous devons contribuer à notre terre, respecter toute autre vie autour, les éléments, notre soleil, la lune, les planètes et les étoiles. Mais aujourd’hui, la Nature a été abandonnée par les religions actuelles. Les religions d’aujourd’hui ne concernent que les personnes et les personnes et les relations entre les personnes. La Nature est oubliée ! Alors que nous, les humains, sommes totalement dépendants de la Nature alors que nous lui sommes d’une importance minuscule ? Nous importons peu à la Nature ! Comprendre la nature et vivre selon ses règles est d’une plus grande importance en comparaison à ce que prêchent tous les fanatiques et chamans, qui ne s’occupent que des affaires mondaines. 91
En écrivant cet essai, je me demande si ce sont vraiment mes propres pensées ou si tout a été “ téléchargé ? ˮ Fred Hoyle a déjà écrit sur “ l’univers intelligent ˮ. Intuitivement, le grand astronome a admis qu’il y a bien plus dans l’Univers que de la matière qui remue. Un vaste réseau cosmique de communication et d’intelligence semble diriger et maintenir l’Univers ensemble. 92
La Résonance La résonance pourrait être l’un des aspects les plus négligés de notre compréhension du Cosmos. Avec tous les milliers de fréquences variables sillonnant les champs électromagnétiques autour de la Grande Matrice, l’harmonie doit régner entre eux. Sinon, l’Univers serait enclin à se désintégrer dans la dissonance. Comparez-le à la musique où les fréquences sélectionnées se combinent en harmonie ou s’entrechoquent en dissonance. Le temps fonctionne comme le diapason cosmique. Sans temps, pas de mouvement, pas de vibration et pas de résonance. Sans le temps, il n’y aurait rien. La Force du Temps crée, calibre et module les fréquences. Des multitudes de fréquences qui vibrent, des schémas de résonance harmonieux émergent. Les résonances produisent des schémas mathématiques harmonieux sur la matrice TA2 et les champs électromagnétiques. La résonance organise. Les schémas de résonance sur la matrice du Flatland pourraient être la base des mathématiques de la mécanique quantique et de l’organisation des systèmes hiérarchiques de Systemland. Malheureusement, en tant que Systemlanders, nous ne pouvons pas scruter la seconde dimension et discerner les événements et les événements de Flatland. Nous ne pouvons pas y reconnaître et comparer les schémas organisationnels. Ainsi, nous ne pouvons concevoir Flatland que comme étant chaotique. Depuis la naissance de l’Univers, il y a de la résonance partout : une enveloppe de résonance primordiale dans le rayonnement de fond de diffus cosmique lointain a été détectée par le télescope spatial Hubble. 93
La résonance s’harmonise, se duplique, avance et se multiplie par petits pas, par grands pas, en fractales, formant une chronologie naturelle, remplaçant la géométrie, pour l’espace- temps à différentes échelles. Enfin, la résonance est également un excellent communicateur. L’énergie, et donc la communication par ferroutage, circule à la vitesse du temps dans une variété de schémas de résonance, d’onde et de fréquence, non modulés ou modulés. La résonance pourrait sous-tendre le fonctionnement de notre cerveau, la télépathie, l’inspiration, l’hypnose, la psychologie de masse et le comportement. Les perturbations de schéma peuvent entraîner des changements et des mutations. Comme dans le Systemland, où les systèmes s’emboîtent dans d’autres systèmes plus grands, les modèles de résonance sur la Matrice du Flatland peuvent être organisés comme des sous-modèles à l’intérieur de modèles de résonance toujours plus grands. Comme les violons, violoncelles, basses, etc. s’harmonisent de manière concertée. Nous pourrions penser davantage dans nos petits schémas de résonance et vivre plus selon eux plus que nous ne l’imaginons. Peut-être que nos cerveaux de Systemland servent plus de terminaux stupides et de récepteurs d’instructions célestes qu’à exécuter activement des programmes personnels indépendants. Outre les petits coins de résonance individuels, il devrait également exister des étangs de résonance communs, qui à leur tour appartiennent à des océans de résonance encore plus grands. La résonance familiale, la résonance communautaire et la résonance nationale y trouveraient leur place. La télépathie, l’esprit d’équipe, l’hypnose, l’hystérie de masse, la prémonition, le sentiment, les apparences et les ondes cérébrales pourraient tous être des phénomènes susceptibles de présenter des schémas de résonance. 94
Il est étonnant de voir à quel point l’impact de la résonance peut être puissant sur les gens. Concerts, opéras, festivals de jazz, chants d’église, hymnes nationaux, tambours de guerre. Pour chaque occasion, une vibration ! Teilhard de Chardin a parlé d’une “ sphère de savoir ˮ, une région mystérieuse flottante d’où la connaissance descendait lentement sur nous, libérée par Dieu, comme il le jugeait approprié. Je n’ai pas l’intention d’entrer dans le détail des phénomènes spirituels dans cet essai. Mais je voudrais juste mentionner que l’idée de Teilhard de Chardin d’une “ sphère du savoir ˮ n’est peut-être pas si farfelue. La “ Force du Temps ˮ surgissant d’une singularité pourrait porter des gènes d’anciens univers effondrés avec elle sur la Matrice et répandre leurs directives tout au long du champ temps-électromagnétique environnant, le ‘champ de la vie’, qui relie tout dans l’Univers. Et je me demande si c’est la matière flottant dans le champ e.m. entourant la Matrice qui met son empreinte sur le champ électromagnétique ou si le champ électromagnétique est le “ réseau de neurones ˮ qui dirige intelligemment toute la matière et les événements de l’Univers. 95
Le Royaume de Esprits N’est-ce pas le lieu, où nous sommes censés finir après que tout est fini pour nous, les terriens ? Eh bien, si l’on était maintenant convaincu que Systemland a été créé à partir de Flatland, maintenu par Flatland, que les trous noirs sont là pour renvoyer la matière Systemland dans Flatland et que nous appartenons et sommes citoyens du même Systemland, peut-être que nous pourrions nous attendre à trouver notre Royaume des Esprits là – où notre Systemland lui-même finira finalement, et ce serait à Flatland. Ce Royaume ne serait pas loin et idéalement juste au coin de la rue, ou peut-être déjà à l’intérieur de nous. Quand nous mourrons, nos protéines resteraient derrière en Systemland, pour être transmises dans l’intérêt des autres créatures encore actives, tandis que nos âmes entreraient tranquillement dans le Royaume des Esprits de la Matrice de Flatland et résonneraient dans le grand étang de la Résonance Universelle. Le modèle de notre construction matérielle est hérité des gènes développés au fil du temps par nos ancêtres du Systemland pendant des millions d’années sous la direction de la Force de la Vie. La force mentale et l’énergie nécessaires pour obtenir et maintenir nos gènes, proviennent de Flatland. Nos protéines sont du matériel issu de Systemland, structuré par les gènes. Nos âmes, liées par un petit trou noir personnalisé, sont in- tégrées et guidées par un modèle complexe de résonances vibrant dans le champ électromagnétique de la vie univer- selle englobant le tout. 96
En Résumé Dans les années sombres, nous étions convaincus que notre terre était plate et que notre ciel était une bulle spacieuse. Que notre terre était ronde, nous l’avons appris à la dure. Que notre Univers soit plat mais arrondi en une sphère prendra encore du temps à être accepté. Alice me manque ici pour nous montrer comment faire basculer Systemland et l’adapter en douceur sur un miroir plat mais sphérique du pays des merveilles. Un Univers très différent voit le jour, organisé et dominé par la Force du Temps, par opposition à un Univers où les scientifiques, n’acceptent pas l’intégralité universelle, trébuchent dans un labyrinthe. Un univers où la matière dérive sans but dans l’espace et où la vie ne pousse qu’aléatoirement çà et là. Avec un possible début calme et sereine, une croissance induite régulièrement de l’extérieur et une mort probable, notre Univers unitaire s’intègre bien avec tout ce que représentent la Vie et la Nature. - un Univers flottant dans l’espace-temps zéro - divisé en trois dimensions distinctes mais interdépendantes, des dimensions de Temps - la première, la Force du Temps propulsant ensemble la deuxième et la troisième dimensions dans le futur - la seconde, l’épine dorsale de l’Univers, créée par la Force, est la sphère Matrice creuse et en expansion, estimée par la Science à 13 milliards d’années, avec une circonférence qui est passée à environ 82 milliards d’années-lumière 97
La Matrice, chargée d’énergie électrique temporelle par la Force, est entourée de : - la troisième dimension consistant en un champ électromagnétique tridimensionnel correspondant, estimé à un milliard d’années- lumière d’épaisseur, qui contient notre partie visible de l’Univers, notre Systemland, le foyer de la ‘matière’, des systèmes solaires, des galaxies et des superamas. Nous avons constaté que toute l’énergie qui déplace l’Univers provient d’un seul type d’énergie, la Force du Temps, qui se manifeste par étapes et de différentes manières. La Matrice, le cœur de l’Univers vibre comme un moteur électrique. La Force fournit l’énergie. Les courants de champ électrique temporel de la Matrice sont le berceau du champ électromagnétique environnant. Sur la Matrice, les Astro-Jets emprisonnent l’énergie pure dans la matière pour alimenter Systemland. La Force de Recul digère et rassemble l’énergie qui entre pour faire grandir Systemland, tout en le gardant lié à la Matrice. Mais notre Univers restera-t-il toujours dépendant de l’afflux d’énergie de la Force du Temps ? Éternellement dépendant d’une force extérieure, incarnée par la Force du Temps, pour le propulser, le diriger et le faire croître dans le futur ? Ou pourrait-il aussi grandir, atteindre sa maturité et devenir indépendant, capable de se propulser dans le futur et d’avancer et de prospérer, une fois la poussée initiale reçue ? Alors où trouver l’énergie nécessaire à une telle indépendance ? Un jour, l’Univers aura peut-être accumulé tellement d’énergie en réserve sous la forme de la matière dense de Systemland que l’Univers pourrait couper son cordon ombilical Te et grandir et avancer avec autonomie dans le futur… 98
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