Carnet d'escapades St Hubert mars2012

Carnet d’escapade Saint Hubert 10 &11 mars 2012Encore moi ! Cette fois après nos travaux de rénovation, il nous fallait une sortiepour prendre un bol d’oxygène. On se décide pour province de Luxembourg,l'Ardenne Authentique, loin de l'agitation de la vie quotidienne, à une heuretrente d'autoroutes seulement de chez nous. Notre belle province nous invite au repos, à la détente, au ressourcement, à la découverte entre amis puisque Marc et Chantal sont de la sortie, au cœur d'une nature préservée, relaxante et tellement diversifiée. Là où l'eau et les bois nesont jamais loin, le dépaysement s'annonce total. Notre premier arrêt est pour le Redu ‘’Village du Livre’’, ou une petite déception nous attends vu que le village semble peu animée (Il est vrai que la saison de tourisme n’est pas vraiment en route). Les quelques librairies ouvertes ne nous poussent pas à ouvrir la porte de ces dernières. Les artisans de mon dernier passage ont disparu ! le papier artisanal .. la poterie .. tous n’y sont plus comme il était dans mon souvenir. Que cela tienne l’heure du déjeuner est là est «Au clocher »resto bistro de majeunesse 1973-1975 (village du livre n’existai pas encore !) Nous accueillent pour un bonjambonneau et frites accompagné d’une bonne bière belge de la région. La suite sera tout aussi bucolique, mais néanmoins nécessaire à notre digestion. On se dirige vers le Domaine provincial de Mirwart. Celui-ci est un de ces espaces accueillants et séduisants qui s'offrent à tous ceux qui recherchent un peu de calme, de quiétude, de liberté et d'évasion ... l'un de ces lieux généreux, où les siècles ont passé au gré du temps et au fil des saisons au cœur d'une nature belle, sauvage et authentique. Engagé dans une gestion forestière et piscicole en harmonie avec l'environnement, le Domaine propose désormais au grand public de partager ses richesses le long de quelques promenades. N'hésitez plus, faitescomme nous, venons à sa découverte !

On se décide pour la promenade de la glacière, promenades balisée de 5km et quelques, au départde la pisciculture, permet non seulement de pénétrer la nature d'Ardenne sous de multiples visages etde longer d'agréables cours d'eau, mais aussi de découvrir les vestiges d'un patrimoine historiqueremarquable (étangs, vieux ponts, forge \"fantôme\", La glacière : Petit relief pourvu d'une porte cache... un congélateur à l'ancienne, creusé vers 1860, et restauré en 1973Dans cette vaste cavité de 80m3, on conservait jadis de la glace découpée sur l'étang (étang Saint-Roch) voisin. Grâce à diverses astuces (isolation minérale soignée, triple porte formant sas orientée au nord, protection par les ombrages...), la glace était conservée longtemps. Châtelains et villageois en bénéficiaient ainsi toute l'année, pour divers usages, conservation d'aliments en tête. Désormais, ce sont des chauves-souris pipistrelles qui profitent de la grande glacière, pour leur hibernation. Sur le parcours nous subissons un crachin qui par chance ne dure pas longtemps Nos pas nous amène au village de Mirwart ou l’on découvre une charmante « Auberge du Grandgousier » une belle maison en pierres du pays. Grange aménagée, lourdes poutres en chêne, escalier en bois qui craque, décorationrustique et des fleurs tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, tout confère aux lieux un charme authentique tenu par un charmant personnage sorti tout droit d’un roman de Stendhal, gilet et nœud papillon nous y accueille fin d’ après midi pour nous désaltérer d’une bonne bière régional « le semeur », plutôt deux qu’une ! Et on reprend la route pour terminé notre ballade.L’heure avance à grands pas et nous aussi pour rejoindre notre hôtel, non loin de là. « Le Val dePoix ». La aussi la nature a gâté le Val de Poix et ses alentours. En route, à la poursuite du charmefou de la vallée de la Lhomme, de ses bois et campagnes avoisinants, pour flâner et rêver aussi dansce coin intime et merveilleux. On prend nos quartiers vers 17 hrs30’ pour se rafraichir et découvrir notre chambre, avant le repas au environ de 19 heures. L’apéro pris à la brasserie ‘la grignote ‘’qui joute le restaurant ‘’comme chez nous ‘’, et nous voilà à table pour savouré le dînercomposée d’un tartare de poisson, un potage de carottes épicé à souhaits,un petit de cochon de lait grillé et on terminera par un sublime javanais demousse aux 3 chocolats. Tout cela sera arrosé d’un petit vin sélectionmaison blanc et rouge.

Bucherons’’ ». Un café et pousse d’en une ambiance très conviviale dans la brasserie, nous comblent pour finir cette soirée et nous fera passé une bonne nuit. Dimanche matin réveil cool ‘8hrs’’ Un petit déjeuner buffet pris dans la grange aménagé et décoré de vieilles photos et de lampes très kitch et nous voilà à nouveau en route pour l’oxygène du matin. Les explications de la réceptionniste ne m’aide pas beaucoup pour trouvez une promenade qui nous amènera sans trop de problème vers l’heure du déjeuner, par chance celle-ci me fourni un road book plus explicite et le choix fait la ballade de « Smuid’Village de Nous prenons la direction du pont du chemin fer, point de départ d’une promenade à travers bois et village de +/- 2 heures.Une chouffe à l’apéro et ensuite : salade diverses, grilladeset boulettes maison composera notre menu du midi.

L’après midi consacré à nouveau a une promenade dans le domaine provincial de Mirwart « Promenade du Marsoult » parcours en bordures des étangs de la pisciculture et des marais, ceux-ci étant agrémentées par des panneaux didactique. La nature, pas celle que l’on vient de parcourir (l’autre) nous appellera à grands cris en fin de parcours. Et on profitera de ce moment pour y rejoindre à nouveau l’Auberge du Grandgousier, afin de soulagé notre corps de ces moments naturels… Allez une Semeur pour la route !! Monsieur Philipe Van Acker (origine Gantoise) nous accueilles à nouveau de manière trèssympathique et en profite pour donnez quelques explications sur son établissement qui semble être très prisée, puisque en saison celui est toujours plein. Mais l’heure tourne et on prend la direction de la maison, car tout à une fin. Arrivée à 19 heures fourbu par divers muscles endolori, mais comblé par un weekend de superbe détente avec nos amis “ On ne mesure pas sa vie au nombre de respirations qu’on à prises, mais au nombre de lieux et de moments qui nous ont coupes le souffle \"c’était des moments ainsi ! au propre et au figuré