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COSMOS OF TIME FRENCH

Published by frederic maye, 2021-08-18 11:41:02

Description: COSMOS OF TIME FRENCH

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Le Cosmos du Temps Un nouveau regard sur la structure et l’essence du Cosmos LA SURFACE DU « PRÉSENT » EN PROGRESSION Le Passé Te Te LE POINT ZÉRO Te Te Le Futur Le Savant de Cap Malheureux Hans Schicht



Le Cosmos du Temps Un nouveau regard sur la structure et l’essence du Cosmos Le Savant de Cap Malheureux Hans Schicht

Le Cosmos du Temps © Hans Schicht Décembre 2020 ISBN - 978-99903-38-72-0 https://cosmosbook.net/

L’essence du Cosmos du Temps l’ Univers se compose des trois dimensions du ‘Temps’ qui sont super- posées par paliers de puissance, selon Maxwell: Ta Ta2 Ta3 (et non comme la Science le prétend, de trois dimensions d’espace terrestres : la hauteur, la largeur et longueur et une de temps relative). né du Point Zéro Singularité Le Temps, la première dimension Ta , est défini comme la Force qui propulse l’Univers dans le futur avec la vitesse absolue de la lumière. L’arc de propagation du point zéro de la force du temps crée la prochaine étape dimensionnelle supérieure de l’Univers sous la forme d’une sphère en expansion : La deuxième La Matrice, lTesa2paliers de puissance. dimension du Temps sur Le temps-énergie induit, circulant à la surface de la matrice, soutient un champ électromagnétique qui entoure la Matrice Ta3, la troisième dimension sur les paliers de puissance. Les courants d’énergie sur la matrice se heurtent à des vortex rotatifs ultra-rapides qui transforme un surplus de l’énergie-temps de la ma- trice en hydrogène H1, et l’intègre dans le champ électromagnétique environnant de la matrice. H1, l’hydrogène est l’atome de base dont, sous la pression de la force de recul, tous les atomes supérieurs proviennent et composent notre Univers visible de la matière Ta3 (m.c2) au plus haut niveau de la puissance du temps. C’est ainsi que notre Univers est structuré.

« Chaque grand progrès dans la connaissance naturelle a impliqué le rejet absolu de l’autorité. » Thomas Huxley « Les grands esprits ont toujours rencontré une opposition farouche des esprits médiocres. Ces derniers ne peuvent pas comprendre quand un homme ne se soumet pas à des préjugés héréditaires, mais honnêtement et courageusement à son intelligence. » Albert Einstein

Content Le Temps, la Clé du Cosmos 6 Les Idées Erronées de l’Univers 8 Le Moment-Présent 11 La vitesse absolue du Temps 15 Le Temps Cosmique en Résumé 18 L’Univers, une Bulle Creuse 20 La Force du Temps 22 Singularité du Point Zéro 23 De la Deuxième à la Troisième Dimension 28 Le Temps et l’Électricité 33 L’Énergie Temporelle Électrique 36 L’Énergie compte 38 Les Dimensions et les Mathématiques 41 La Force du Recul Remplace la Gravitation 46 La Mécanique Cosmique, une Hypothèse 50 Professeur Halton Arp 56 La Sphère de la Matrice et Systemland comparés 61 La trajectoire de la Lumière 63 Les Éléments Constitutifs de Systemland 68 Plus de Systèmes 71 La Structure de Systemland 77 La Communication Universelle 81 La Programmation Cosmique 86 La Résonance 93 Le Royaume de Esprits 96 En Résumé 97 Les Exploits de la Nouvelle Astronomie 99 Les Pensées 103 Le Dessein Céleste 108 Relations Humaines 114 L’Essence de l’Univers Vivant 117 Affronter une Science confuse 120 Conclusions 121 Pyramides et Pôles Magnétiques 125 Oh La Vache ! 128 L’Auteur 131 Écoutez, le poème 133

Le Temps, la Clé du Cosmos La nouvelle vision révolutionnaire de la structure de l’Univers décrite ici découle dans son intégralité du fait d’avoir réussi à établir une définition exacte et infaillible de ce que représente le Temps. Une définition à laquelle la Science n’est jamais arrivée, ou s’est donnée la peine de formuler jusqu’à présent. Pour comprendre ce qu’est l’Univers, Regardez à l’intérieur pour trouver Ce qui maintient le « Tout » ensemble. Ne vous perdez pas dans la supersymétrie Ou confusion spécialisée. Cherchez la simplicité à l’intérieur Et non la complication extérieure. Cherchez la racine de la matière : L’essence intrinsèque de l’espace-temps. Pour se familiariser avec la nouvelle cosmologie, il est conseillé de mettre de côté toutes les idées et théories présentes sur ce qui fait tourner le monde. Partir de zéro en regardant l’Univers et la Vie sous un angle différent avec l’ouverture d’esprit d’un enfant. Bien que la nouvelle cosmologie soit contraire aux concepts scientifiques établis, en réalité, les piliers sur lesquels repose cette jeune philosophie sont les mêmes que ceux qui sous-tendent l’ancien ordre établi. C’est l’interprétation des notions de base qui a conduit à la divergence. Cependant, en aucun cas, un membre de l’élite scientifique remettra en question sa propre interprétation des faits qu’il a enseignés toute sa vie. Pas un seul intellectuel ne se lancera dans une discussion qui dilapidera ses convictions bien établies. 6

Dans ‘Foundations of Scientific Revolution’, Alfred Kahn parle avec juste raison de l’incapacité des personnes raisonnables d’accepter les faits en dehors du paradigme de leurs croyances scientifiques. Des 20 maisons d’édition et autres institutions, faisant partie de la Royal Society London, à qui j’ai fait part de mon nouveau concept du cosmos, j’ai reçu que deux réponses. L’une me disant poliment qu’ils seraient ravis de recevoir mes futures publications à ce sujet. L’autre, qui est d’un membre du comité de rédaction du Nature Magazine, m’encourageant de publier ailleurs. L’hostilité est compréhensible, parce que le nouveau concept forcera plus d’un astronome à rétracter leurs enseignements. Après qu’Einstein a établi la vitesse absolue de la lumière et après son équation e = mc2, les nouveaux exploits scientifiques brillent grâce à leur absence. L’établissement scientifique occidental est calcifié. Les universités sont contrôlées par des entreprises, des fiefs et des politiques. Les nouvelles idées sont étouffées dans l’œuf par les pairs conservateurs des médias scientifiques, Wikipédia ne faisant pas exception. Ce qu’il faut d’urgence, c’est une restructuration fondamentale du système éducatif et ouvrir la voie à la publication de nouvelles idées contournant les concepts enracinés. Le prochain chapitre explique pourquoi j’ai plus confiance en l’institution scientifique et j’ai suivi ma propre voie. 7

Les Idées Erronées de l’Univers et la Matière répandues par la Science - La Science conçoit l’Univers comme un volume spatial d’un vide intersidéral. Là où l’énergie indéfinie circule, des archi- pels épars de matière morte dérivent de manière chaotique avec une seule chance sur un million, que cette matière puisse créer la vie. - Un univers, où trois coordonnées géométriques, la hauteur, la largeur, la longueur, sont liées et subordonnées à une seule et troisième dimension englobant tout l’univers – ainsi annulant l’existence d’une première et deuxième dimensions addition- nelles autonomes ! (Voir chapitre Dimensions) - Le « Temps » a été associé à la structure géométrique comme la quatrième dimension, sans que la Science puisse arriver à définir le temps lui-même et l’interrelation entre le temps, l’espace et la matière. Le Temps pour la Science est stricte- ment relatif et indéfini. - L’Univers est maintenu grâce à la « gravité », mais la Science n’a jamais pu définir ou analyser où la force de gravité et « la masse attirant la masse » tirent leur origine.Un Univers où les faits dépendent strictement sur les mécanismes internes et où les influences extérieures ne sont jamais prises en compte. - Pour valider le Big Bang, la Science a inventé une période hy- per-inflationniste initiale où l’Univers, nouveau-né, s’accroît plus rapidement que le Temps. Plus rapide que le Temps ? C’est une blague ! 8

- La Science n’a pas pu trouver l’origine des 97 % de matière et d’énergie manquants, – ni n’a-t-elle trouvé de l’antimatière, pour pouvoir valider leurs concepts actuels. La Science est désespérément à l’affût de la « matière noire et grise » pour combler cette manque de données, mais jusqu’à ce jour, ils ont rien trouvé et encore moins prouvé ! - La Science n’a jamais retrouvé la trace de matière ou d’éner- gie aspirée dans leurs trous noirs, passant à travers des en- tonnoirs spatio-temporels et réapparaissant ailleurs dans le Cosmos. - L’univers tridimensionnel de la Science contredit la preuve incontestable des lignes parallèles trouvées sur le fond dif- fus cosmologique par le télescope spatial Hubble, qui ne per- mettent qu’un univers bidimensionnel. - Les théories de la Science à propos de la matière, des ondes et de l’énergie : - Outre leur énergie et leur direction, l’existence des particules subatomiques en tant que matières tangibles n’a jamais été prouvée. Sans preuve, les particules ne sont que des éléments fragiles, conduisant à des théories erronées. - Quand cela l’arrange, la Science définit la lumière comme des ondes ou au contraire comme des particules. - La Science n’a pas trouvé de raisons pour lesquelles la loi de conservation de l’énergie n’est pas toujours respectée et pour- quoi les particules et l’énergie apparaissent et disparaissent. - Jusqu’à ce jour, la Science n’a pas été capable de définir une loi ou une équation combinant la gravitation, l’électromagné- tisme et les forces nucléaires puissantes et faibles. 9

- Aucune théorie révolutionnaire n’a vu le jour pendant les cents dernières années. Que les avancées techniques ont été réalisées.La Science a plus de problèmes à résoudre que de réponses à offrir. La Science devrait donc cesser de proclamer avec orgueil qu’il est sur le point d’expliquer le fonctionne- ment de l’Univers. La Science en est encore à des années-lu- mière et en plus, elle est sur la mauvaise voie ! - Une à une, les idées erronées de la Science seront détruites et remplacées par des théories solides et logiques expliquant le fonctionnement et la vraie structure de l’univers. Cela n’aide aucunement de creuser au plus profond de l’univers et d’ajou- ter les cordes et les dimensions. Cela n’aide pas d’utiliser des télescopes, des microscopes de qualité ou de bombarder les particules avec de plus gros cyclotrons. Le souci, c’est bien les pairs autoproclamés de la Science ! - L’idée erronée actuelle du Cosmos doit être rejetée et com- pris les pairs. Ce qu’il faut, c’est un retour aux sources gui- dé par une réflexion nouvelle, claire et globale.À cette fin, la Science devrait prendre du recul et puiser dans les travaux de Maxwell, et accepter la philosophie déductive comme une preuve scientifique et rejeter la restriction imposée par sa propre idée erronée d’un Univers, où seule la matière et des preuves observables sont valides. Sans le premier, toute dimension à l’intérieur ou l’extérieur de notre dimension qui nous est connue sera exclue et la Science ne pourra pas avan- cer. La pire erreur que la Science n’ait jamais faite est d’utiliser le facteur temps dans une multitude d’équations scientifiques, sans avoir vraiment analysé ce que le Temps représente vraiment. La Science va regretter ce petit oubli ! 10

Le Moment-Présent Mon point de départ était que sans le Temps, il n’y aura rien, ni la matière, l’énergie, la lumière ou la vie. Alors j’ai commencé avec le Temps, la condition sine qua non de toute chose. Aussi loin que l’on puisse regarder dans le Cosmos, la Science a établi que tous les phénomènes physiques, mécaniques, chimiques et nucléaires, ayant lieu dans les mêmes conditions, par exemple, dans des champs électriques, des champs électromagnétiques, une même température, densité, pression ou gravité, progressent dans des intervalles de temps égaux. Cela implique que la vitesse du passage du Temps doit être la même quel que soit l’endroit où l’on se trouve dans le Cosmos. Cette conclusion valide par conséquent le concept de… La feuille de temps du moment égal du ‘ Moment-Present’ Diagramme I : Le Futur (à venir) le moment present, la feuille espace-temps T² impulsion du temps Le passé (disparu à tout jamais) La distance nulle entre le passé disparu pour toujours et le futur à venir prouve irrévocablement que la feuille de temps intermé- diaire du ‘Moment Présent’ est un plan bidimensionnel. 11

Diagramme I : Le diagramme met clairement en évidence l’aspect dimensionnel divergent du temps entre la flèche du Temps et la feuille de temps relative du ‘Moment Présent’. La Flèche du Temps est représentée comme absolue et unidimensionnelle. Elle propulse la feuille de temps bidimensionnelle du ‘Moment Présent’ dans son intégralité dans le futur avec une vitesse constante et absolue. Notre troisième dimension familière, intégrale avec son inventaire de la matière et des événements, est fermement ancrée dans la deuxième dimension, comme cela sera expliqué plus loin. Elle est soumise aux et relève des règles de la feuille de temps bidimensionnelle du ‘Moment Présent’. Tout ce qui fait partie ou se rapporte à la feuille de temps du ‘Moment Présent’  (--↔--) relève des Théories de la Relativité d’Einstein, mais… Pour chaque phénomène, la vitesse absolue et la progression de la Force du Temps comptent en premier ! Sans l’équation e = mc2 d’Einstein et sa découverte que la vitesse de la lumière est absolue, je ne serais jamais arrivé à ma vision révisionniste de l’Univers. Et je lui en suis reconnaissant. Cependant, je ne suis pas d’accord avec sa théorie de la relativité spéciale. En incluant la vitesse absolue du temps, Einstein est allé à regret trop loin. Je ne peux pas comprendre qu’un génie comme Einstein ayant étudié les théories des champs électriques et électromagnétiques de Maxwell, où il parle clairement de couches invisibles de magnitude d’énergie potentielle sous-jacente à notre monde de trois dimensions, n’a jamais compris l’idée de dimensions séparées mais interdépendantes. Et la Science non plus jusqu’à ce jour ! 12

Einstein est resté fidèle à la théorie selon laquelle nous vivons dans un ‘continuum espace-temps’ avec trois dimensions d’espace et une de temps ajoutée, prenant les trois coordonnées de longueur, largeur et hauteur ensemble comme un concept, comme un volume. Aurait-il approfondi un peu plus les conclusions de Maxwell selon lesquelles il pourrait y avoir quelque chose d’autre en plus de nos dimensions géométriques familières, il n’aurait peut-être pas emprunté le mauvais chemin. Ni Einstein, ni la Science ne se sont jamais donné la peine de trouver une définition correcte du Temps jusqu’à ce jour. Si Einstein l’avait fait, il aurait pu découvrir que non seulement le Temps est relatif et absolu, mais que le Temps est une Force absolue et unidirectionnelle et que l’Univers doit être structuré en dimensions séparées mais interdépendantes. Si sa théorie de la relativité était restée dans les limites de l’aspect relatif des événements restreints à la feuille de temps bidimensionnelle du ‘moment présent’, il n’aurait pas tiré des conclusions erronées, par exemple : - que les astronautes voyageant sur Mars auront moins vieilli que les personnes qui sont restées chez eux sur Terre et, - qu’en se rapprochant de la vitesse de la lumière, la longueur se raccourcit, la masse devient infinie et le temps se contracte. Pour chaque événement en soi, le Temps dépendra toujours de la progression absolue, universelle, unidimensionnelle et unidirectionnelle vers l’avenir de l’ensemble de la feuille de temps du ‘moment présent’. Dans notre partie tridimensionnelle de l’Univers, faisant partie du ‘moment présent’ auquel nous appartenons, tous les événements tridimensionnels référentiels devront toujours être considérés comme soumis aux deux aspects du Temps, mais avec une préférence donnée au temps absolu. 13

Le temps étant prouvé comme absolu, comme nous l’établirons dans le chapitre suivant, la théorie de la relativité spéciale d’Einstein se rétracte dans l’équation de relativité plus simple et originale formulée par son professeur à Leiden, le professeur Lorenz. 14

La vitesse absolue du Temps Diagramme II LA FEUILLE DE PROGRESSION DU « PRÉSENT » ÉTOILE A LA TERRE ÉTOILE B PRÉSENT 3 Champ de Vision PROGRESSION DIACHRONIQUE DU TEMPS EN ANNÉES PRÉSENT 2 1 Année Une Année-Lumière PRÉSENT 1 DISTANCE GÉOMÉTRIQUE EN ANNÉES-LUMIÈRE CONCLUSION : UNE ANNÉE EST ÉGALE À UNE ANNÉE-LUMIÈRE Le diagramme combine les première et deuxième dimensions du temps : la progression diachronique du Temps (mesurée en lignes verticales) par rapport aux intervalles de temps géométriques relatifs dans chaque feuille de temps individuelle du ‘moment present’ (lignes horizontales). La force du Temps progressant propulse la feuille de temps du ‘moment present’ dans le future à un angle de 90 degrés. Si ce n’était pas le cas, alors le Temps avancerait de manière irrégulière pour différents objets et événements. 15

Comme nous ne pouvons pas mesurer la progression du Temps universel (lignes verticales) directement à partir de la Terre, nous devons trouver la solution en observant les mouvements des objets autour de nous dans le ciel. C’est comme conduire une voiture. Vous ne pouvez pas deviner votre propre vitesse en regardant dans le rétroviseur, mais vous pouvez deviner votre vitesse en regardant sur le côté et en comparant l’avancement d’autres objets. Il en va de même pour la vérification des étoiles binaires. Dans le diagramme II, nous avons arbitrairement renseigné une distance des étoiles α et β à la Terre comme une année-lumière (une année-lumière est la distance parcourue par la lumière en un an), indiquée dans le diagramme sur la ligne horizontale ‘moment-2’. Après une année sidérale, lorsque la lumière stellaire de α et β, provenant de leurs positions ‘moment-2’, atteindront la Terre, toutes les trois, la Terre et les deux étoiles, voyageant sur une même ‘feuille du présent’, arriveront, au même moment, à leurs positions géométriques cosmiques ‘moment-3’. Nous démontrons ici que la distance horizontale géométrique réelle de la Terre aux étoiles α et β, définie comme une année- lumière, couvre une valeur identique pour le passage vertical diachronique du temps de ‘moment-2’ à ‘moment-3’ ou une année sidérale ! De même, toutes les distances horizontales géométriques réelles de l’année-lumière dans l’espace par rapport à tout objet seront identiques au passage diachronique vertical du temps entre leurs positions du ‘présent’ initiales et leurs positions actuelles du ‘moment présent’. 16

Conclusions : Diagramme II : Le passage diachronique du temps est égal au temps mesuré en distance. Cela rend la vitesse de passage du temps dia- chronique égale à la vitesse de la lumière et par conséquent absolue. La ‘Flèche du Temps’ de la première dimension fait avancer le ‘moment présent’ de l’Univers, y compris toute la matière tridimensionnelle flottant au-dessus, avec la vitesse absolue de la lumière dans le futur. Ayant maintenant trouvé dans la vitesse de la lumière une valeur absolue pour mesurer l’espace-temps, pourquoi alors devrions- nous continuer à mesurer le Cosmos avec des valeurs relatives ? C’est le temps qui organise et régit le cosmos. Les distances dans le cosmos ainsi que les distances dans le passé sont les mêmes. La structure de l’Univers et tout ce qu’il contient sont basés sur et dépendent de la structure tridimensionnelle du Temps. Note (Diagramme II) : - Notre champ de vision dans le Cosmos commence à un angle de 45 degrés. Cependant, cette ligne se courbera au fur et à mesure que nous regardons en arrière dans le passé à mesure que l’Univers s’élargit (voir le Diagramme IV). - L’expansion universelle fait que les lignes verticales du Diagramme II ne sont pas exactement parallèles mais se déploient plutôt dans le futur. - Les lignes horizontales du ‘moment présent’ ne sont pas droites mais se courbent légèrement en suivant la courbure de notre Cosmos bidimensionnel. 17

Le Temps Cosmique en Résumé La vue que nous avons de tout objet cosmique de l’Univers qui sort de son passé voyagera à la vitesse de la lumière vers le ‘moment présent’ de tout observateur. Le passé de tout l’Univers s’écoule à la vitesse de la lumière vers le ‘moment présent’ réel de l›observateur, où qu›il soit stationné dans l›Univers, et inclut l›observateur stationné sur le même objet observé. Ainsi, notre propre passage du temps du passé s’écoule avec la vitesse de la lumière vers notre ‘moment présent’ et vers le futur. Le problème est cependant qu’aucun observateur ne peut voir sa propre progression vers le futur et son propre passé s’effacer, bien qu’il puisse voir l’avancement et le fading d’une autre personne. L’avancement du passé vers le futur avec la vitesse de la lumière équivaut au passage même du temps. Et il doit en être ainsi que le ‘temps’ lui-même avance à la vitesse de la lumière ! Avec la ‘vitesse de la lumière’ démontrée comme absolue par Einstein, il en va de même pour la vitesse du temps absolu. Selon Einstein, rien ne peut voyager plus vite que la lumière, ce qui signifie désormais aussi que rien ne peut voyager plus vite que le Temps. En plus d’être prisonniers de la feuille de temps du ‘Présent’, nous ne pouvons pas voyager dans un avenir qui n’existe pas encore, ni retourner dans un passé qui a disparu à jamais. Par conséquent : pas de machines à voyager dans le temps et pas de voyage dans le temps ! Ni un Big Bang qui croît plus vite que le Temps. Avec l’avancement du temps trouvé comme absolu en tant que Ta, la validité du ‘Maintenant’dans le cosmos de Newton a également été confirmée, confinant toute la matrice de l’Univers à une feuille de temps bidimensionnelle : Ta2. Je suis parvenu à la conclusion d’un univers bidimensionnel en 1999, qui a également été confirmée par les lignes parallèles trouvées dans le fond diffus cosmologique, le MWBR, par 18

l’observatoire spatial Hubble en 2001. Les lignes parallèles ne permettent qu’un univers absolument plat. Comme tout le monde le sait : Au cours du même mois, soit en juillet 2000, que ma première courte édition de la CWW, le Cosmic Wide Web de juillet 2000, a vu le jour, le rédacteur scientifique du Financial Times, Clive Cookson, a publié un article dans le FT intitulé ‘Riddle of the Flat Universe’. Il y décrit la récente découverte par le vaisseau spatial Hubble de lignes parallèles dans le fond diffus cosmologique, comme des ondulations gravées dans la boule de feu cosmique en expansion datant de seulement 300 000 ans après le supposé Big Bang. Les lignes parallèles sont des lignes qui ne se toucheront jamais et leur existence nécessite un Univers mathématiquement plat. J’étais exalté à l’époque de voir que ma déduction que l’Univers devait être plat était ainsi confirmée par le Hubble, une déduction à laquelle j’étais arrivé plus tôt par une voie différente. Et puis est venue la grande surprise lorsque le président de l’American Association of Astronomical Science a lui-même gâché la découverte de Hubble, en ajoutant : ‘Bien sûr, l’univers n’est pas plat au sens d’être lisse et bidimensionnel comme une feuille de papier. Comme tout le monde le sait, il a trois dimensions d’espace et une de temps’.  Amen ! La science a eu l’opportunité de s’immiscer dans un nouveau territoire, mais une seule gaffe a fermé cette porte. N.B. : les irrégularités trouvées sur le FDC pourraient-elles être indicatives de poussières cosmiques et peut-être même de gènes restant d’un Univers agoni- sant, sur le point de s’effondrer, et transmis à notre Univers infantile ? 19

L’Univers, une Bulle Creuse La planéité de la feuille de temps ne doit pas nécessairement être rectiligne. Mathématiquement, une planéité ou des lignes parallèles permettent également à l’Univers d’être plane comme la surface d’une bulle creuse. Dans ce cas, au lieu d’avoir un Univers incroyablement immense comme une feuille de temps bidimensionnelle strictement régulière, sans limites à proprement parler et s’étendant jusqu’à l’infini indéfini, nous pourrions aussi vivre dans : Un Univers clos et fini en forme d’une bulle bidimensionnelle, avec sa surface et tout ce qu’elle contient (sans volume car il n’y a pas de contenu à l’intérieur d’une bulle !) s’étendant vers l’extérieur, avec l’avancement du temps. L’expansion de notre Univers est aussi simple qu’une onde sonore. Elle se déplace à vitesse égale à partir de son point central d’origine en partant dans toutes les directions comme le son d’une cloche en expansion. Avant le passage de l’onde, le silence règne toujours. Ce n’est que pendant le passage réel de l’onde que le son sera entendu. Le son vit sur la crête de la ‘vague du présent’ qui avance entre le passé et le futur. Après son passage, le silence du néant revient. Un Univers en expansion comme une bulle explique également la question de l’origine de la Force du Temps. Provenant non pas d’une source large, plate, et parallèle mais d’une Singularité centrale : une Dimension Point Zéro. Ayant découvert que le temps avance avec la vitesse de la lumière et que les années sidérales et les années-lumière sont équivalentes, notre temps terrestre devrait maintenant être exprimé en termes 20

de vitesse absolue de la lumière et non en fonction de quelque chose de relatif comme le pendule d’une horloge ou l’ellipse de la terre autour du soleil ! Par conséquent, en jetant un œil sur notre passé, nous devrions plutôt affirmer que grand-père est mort il y a trois ‘années- lumière’, ou que les dinosaures ont vécu il y a soixante millions ‘d’années-lumière’. Bien que nous nous éloignons de notre passé à la vitesse de la lumière, ni nous-mêmes ni rien d’autre autour de nous sur la feuille du ‘Présent’ ne semble faire le moindre effort pour avancer vers le futur. Ainsi, le Temps Absolu – Ta – de la première dimension doit également être une Force – Te. N.B.-1 : on ne prend pas en compte l’autre possibilité que l’Univers propulsé par la Force du Temps ne se développe pas comme une sphère de manière ho- mogène dans toutes les directions mais comme un « anneau » se développant dans un environnement plat. N.B.-2 : avant de continuer, je tiens à rappeler au lecteur que lorsque je parle du « Cosmos », je fais référence au foyer de la multitude d’Univers qui pourraient ou non exister. Et quand je parle de « l’Univers », je parle de l’Univers comme notre demeure. 21

La Force du Temps, Te Ce qui ressort c’est une Sphère-Matrice creuse bidimensionnelle du ‘Présent’, en tant que partie centrale de l’Univers. La Sphère se dilate comme une bulle de savon dans le futur, poussée vers l’extérieur à un angle de 90 degrés par la Force de la Flèche du Temps Te. La Force Te propulse la Sphère-Matrice, y compris son inventaire complet de la matière tridimensionnelle, en avant sur l’arc du ‘Présent’ dans le futur à la vitesse du temps. Alors que tous les messages d’ondes électromagnétiques surfent sur le dos de l’arc librement et inconditionnellement avec la vitesse du temps d’étoile en étoile, de galaxie en galaxie à travers l’Univers. Comme un surfeur qui ne dépense pas sa propre énergie pour avancer, les messages des ondes cosmiques n’usent aucune énergie en voyageant dans l’espace. L’énergie refoulée des vagues de l’océan entraîne le premier et la force de l’arc du temps, le second. Il peut sembler exagéré que nous puissions voyager sur la vague du temps dans le futur avec la vitesse de la lumière, mais n’oubliez pas que tout le reste se déplace également avec la même vitesse de lumière dans le même futur. Alors, comment le remarquerions-nous ? C’est comme s’asseoir dans un avion quand le commandant de bord nous dit que nous naviguons à une vitesse de 500 milles à l’heure, mais les passagers à l’intérieur de la cabine ont l’impression d’être immobiles. Cependant, ce que nous pourrions remarquer, c’est que, de la même manière que nous sommes entraînés dans le futur par la Force du Temps, la vitesse de l’électron en orbite nucléaire à l’intérieur de chaque atome suit le rythme de la Vitesse Absolue du Temps. Alors peut-être que les orbites des électrons ne devraient pas être perçues comme faisant le tour du noyau, 22

mais comme des impulsions temporelles linéaires, entraînant les atomes dans le futur. N.B. : sur la Matrice, le surplus « énergie-temps » de la Force, Te, réapparaît comme de « l’électricité » (voir page 30). Singularité du Point Zéro Diagramme III RFACE DU « PRÉSENT » EN PROG LE PASSÉ LA SU RESSION LE FUTUR LE POINT ZÉRO LE FUTUR LES GALAXIES, LA POUSSIÈRE COSMIQUE, LES GAZ DANS L’ENVELOPPE ÉLECTROMAGNÉTIQUE Les courants électriques de la Force du Temps circulant sur la matrice créent et maintiennent un champ électromagnétique environnant. C’est le foyer des ondes et des messages de fréquence et de tous les archipels de la matière du ‘Systemland’ que contient l’Univers. 23

Diagramme IV : LA TERRE NOTRE CHAMP DE VISION L’UNIVERS ACTUEL DU « PRÉSENT » 9 8 7 6 5 DES MILLIARDS D’ANNÉES 4 LA TROISIÈME DIMENSION L’ENVELOPPE ÉLECTROMAGNÉTIQUE 3 LA MATIÈRE COSMIQUE DES GALAXIES 2 FAITES PIVOTER LE CHAMP DE VISION POUR AVOIR UNE 1 VUE D'ENSEMBLESUR L’UNIVERS QUI NOUS EST VISIBLE LE FDC LE BERCEAU Le diagramme montre l’Univers en forme de bulle, âgé de 10 milliards d’années, grandissant à la vitesse d’un Temps absolu et constant, depuis la naissance de l’Univers. Après 10 milliards d’années, les galaxies sur le diagramme sont illustrées comme ayant atteint une distance d’un milliard d’années-lumière les unes des autres. 24

Lors de la rotation de l’angle de vision de l’observateur dans l’Univers, la vue que chaque observateur cosmique obtient, où qu’il soit stationné dans l’Univers, sera le long de la surface incurvée en forme de poire vers un Univers de plus en plus ‘jeune’, jusqu’à ses débuts. Avec la terre au centre, la longueur de la ligne d’horizon le long de la surface de la bulle est la distance maximale que nous pouvons observer de notre terre à l’Univers jusqu’à sa naissance même. Le fait de faire le tour de notre ligne de visée autour de la sphère montre qu’environ seulement un quart de l’Univers peut être observé depuis la Terre et seulement par âge décroissant. Nous ne pourrons jamais voir les trois quarts restants. L’intérieur de la poire contient le passé cosmique des observateurs, disparu à jamais et inobservable. Au-delà de l’angle de vision des observateurs dans l’Univers, jusqu’à l’arc actuel du plan cosmique du ‘moment présent’ à temps égal, se trouve la région du passé cosmique qui n’est pas encore visible par les terriens, mais qui se révèlera quand le temps avance. À l›intérieur de l›arc de surface externe du ‘moment présent’ se trouve le passé réel de l’Univers et au-delà de l’arc de surface du ‘moment présent’ se trouve le futur de l’Univers En jetant un œil sur le passé le long de* la surface de notre ligne de vision dans le passé, l’horizon apparaîtra toujours comme une ligne droite. * : Nous ne regardons plus dans un univers volumique en trois dimensions, mais plutôt le long de la surface bidimensionnelle de la matrice, couverte par son champ électromagnétique, qui est le foyer de toute matière tridimensionnelle. 25

Sur l’horizon le plus éloigné, près du commencement de l’Univers, se trouve le fond diffus cosmique du MWBR* avec des lignes parallèles gravées dessus. Les lignes mathématiquement parallèles ne permettent qu’un univers plat. Être parallèle sous- tend l’aspect bidimensionnel de la matrice. Comme tout dans les cieux est constamment ‘en mouvement’ et que rien n’a jamais été trouvé en repos absolu, alors notre Univers dans son intégralité pourrait aussi être ‘en mouvement’ ou au moins tourner autour de son propre point zéro. Très récemment un problème a surgi pour la Science – le décalage vers le rouge universel semble grandir avec le temps et par conséquent l’expansion de l’univers s’accélère. Si la Science arrêtait d’identifier tous les événements et données bidimensionnels comme des événements dans l’univers tridimensionnel qui lui est familier, il n’y aurait pas de problème ! En outre, comment est-ce que le ‘Big Bang’ vieux de plusieurs années-lumière puisse toujours accélérer l’expansion universelle aujourd’hui ? Le diagramme IV de notre univers rappelant une bulle de savon montre clairement où la Science s’est trompée : Le diagramme, tracé par segments d’un milliard d’années, chacun basé sur la progression constante du temps dans le futur avec la vitesse absolue de la lumière, montre que pour chaque segment, l’augmentation du décalage vers le rouge du passé vers le futur peut être entièrement souscrit à l’élargissement des distances de la ‘feuille du présent’ entre les objets du Cosmos avec le temps qui progresse. La vitesse constante du Temps Absolu et le Taux Constant d’Expansion de l’Univers sont préservés. 26

N.B. : il y a deux types de décalage vers le rouge : le décalage cosmique Doppler lisse vers le rouge, évoqué plus haut, appartient à la première dimension du Temps et tire son origine de l’ensemble et de la progression absolue du Temps qui propulse la Matrice vers le futur, - le décalage vers le rouge intrinsèque lié aux événements dans la deuxième et la troisième dimension sur la feuille de temps du ‘Présent’, qui proviennent de perturbations locales sur la matrice, par exemple celles causées par des quasars. 27

De la Deuxième à la Troisième Dimension du Temps à travers le ‘e = mc2 d’Einstein’ La première dimension du Temps, la force externe Te, progresse vers l’extérieur, d’un point de singularité zéro dans le futur avec une vitesse absolue du Temps Ta, créant une onde bidimensionnelle sur la surface de la bulle grandissant du ‘Maintenant’. La surface progressive de cette bulle de savon représente le passage du moment ‘Présent’. Comme tous les objets tridimensionnels et nous, qui sommes sujets à et faisons partie du passage bidimensionnel du ‘Présent’ sommes séparés du passé, qui a disparu à jamais, et du futur qui est à venir, alors tout ce qui est tridimensionnel et nous devrons être directement ancrés dans le ‘moment présent’ de la deuxième dimension Ta2. Einstein a doublement fait mouche, premièrement en définissant la vitesse absolue de la lumière et deuxièmement par son équation e = mc2. Sans ces deux accomplissements, ma propre théorie n’aurait jamais vu le jour. Basant ma théorie sur ses deux découvertes, je suis convaincu que j’ai raison d’allier l’équation e = mc2 d’Einstein avec ma propre définition du temps absolu, la Force qui change et propulse toute chose dans l’univers dans le futur avec la vitesse absolue de la lumière : - Premièrement, en substituant le e d’Einstein dans e = mc2 par le plus précis te, représentant l’énergie-temps. - Deuxièmement, comme la vitesse du temps absolu ta est égale à la vitesse absolue de la lumière, en remplaçant c2 par ta2. 28

- Troisièmement, en estimant le m d’Einstein comme un composant temps-énergie additionnel à ta2, à attribuer à un surplus d’énergie sur la matrice. L’équation, maintenant formée de trois composants, passe automatiquement à la puissance de la troisième dimension, où elle fait partie de notre monde matériel. Par la suite, après avoir remplacé l’équation e = mc2 d’Einstein par te = m.ta2, nous sommes maintenant libres de définir un atome comme l’énergie-temps ancré dans la troisième dimension. Suite à ce qui précède, je soutiens l’hypothèse que tout ce qui valable pour un seul atome devrait également l’être pour tous les atomes de l’ensemble de l’Univers combinés. Par conséquent, l’équation d’Einstein devrait être immédiatement mise à jour avec des lettres majuscules de niveau atomique et être validée et englober toute la matière atomique tridimensionnelle qui existe dans l’Univers : - Te, l’énergie totale du temps ancrée dans la troisième dimension universelle, - Ta2, la surface d’espace-temps positive de la matrice mère bidimensionnelle dont elle fait partie, - M la masse/énergie du surplus d’énergie provenant de la matrice qui a été engloutie dans les atomes, - donnant lieu à M.Ta2, représentant toute la matière tridimensionnelle que l’univers contient. Le passage à Te = M.Ta2 fait de cette version améliorée de l’équation d’Einstein la clé parfaite pour déverrouiller et comprendre la structure du triple pouvoir et le fonctionnement de l’Univers entier, en commençant par la relation et la connexion entre la troisième et la deuxième dimension, établie par l’équation M.Ta2. 29

Nous vivons dans la troisième dimension du temps, M.Ta2, noyés dans le temps, que nous appellerons désormais ‘Systemland’. La théorie solide d’une structure dimensionnelle de l’Univers par paliers de pouvoir vient de Maxwell. En établissant leur relation mathématique, Maxwell a découvert deux couches dans la structure de l’Univers : il a constaté que les quantités de mouvement de la deuxième couche (notre troisième couche) sont des combinaisons quadratiques ou bilinéaires des quantités de mouvement de la première couche (notre deuxième couche). La structure à deux couches des champs énergétiques de Maxwell implique que les processus de base de la nature sont invisibles. Cela confirme qu’il est impossible à partir de notre troisième dimension de repérer et de jeter un œil dans la deuxième dimension. Malheureusement, Maxwell à l’époque ne voyait pas que ces couches de pouvoir représentaient des étapes dimensionnelles de puissance. La Mécanique Quantique soutient une structure de l’univers en couches dimensionnelles de différentes manières : - Il est révélateur que la mécanique quantique ne devienne nécessaire que lors du changement de l’atome de l’extérieur vers l’intérieur. Le changement indique des territoires différents et une frontière entre l’extérieur et l’intérieur. Des mathématiques non standard sont nécessaires pour analyser et décrire les événements à l’intérieur de l’atome. - Les événements quantiques ne peuvent être analysés sur une base individuelle et ne peuvent être décrits et définis qu’en analysant leur mouvement de masse. Mais en utilisant le mouvement de masse, autant oublier les quanta et leur mécaniques ! 30

Quoi qu’il en soit : plus l’intervalle de temps entre les événements quantiques est court, jusqu’à la constante de Planck, plus les événements quantiques s’aplaniront et deviendront de toute façon comme des ondes. - Le principe d’incertitude quantique stipule que la position et l’énergie des particules ne peuvent être définies. - Fluctuations Quantiques : à l’intérieur de l’atome se déroule une danse incessante de quarks qui clignotent, surgissant et disparaissant. Toutes les tentatives d’observation des quarks individuels ont échoué jusqu’à présent, ce qui a conduit à : - La loi quantique qui stipule que l’énergie des particules n’est pas toujours conservée et peut être détruite pendant un court laps de temps. La réponse à toutes ces énigmes quantiques réside dans la séparation dimensionnelle des étapes de puissance entre notre Systemland et la Matrice. Une fois comprises, il est facile, par exemple, d’expliquer les fluctuations quantiques comme des apparitions voisines d’ondes de quanta diffus de la Matrice, entrant et sortant de Systemland et inversement. Les ondes s’enroulent juste assez longtemps pour être repérées dans le Systemland avant de se déployer dans la matrice. Ainsi, la loi de conservation de la masse/énergie est respectée. Le cœur de l’atome constitue un monde à lui tout seul. Il projette l’étape de transit entre la Matrice bidimensionnelle et le Systemland tridimensionnel. Là où l’atome à l’extérieur est tridimensionnel et se situe à cent pour cent dans le Systemland, l’atome à l’intérieur – bien qu’il ne contienne rien d’autre que de l’énergie bidimensionnelle – n’est plus purement bidimensionnel. Toute l’énergie à l’intérieur de l’atome n’est qu’une énergie emprisonnée qui a perdu sa capacité à se déplacer librement comme sur la Matrice. 31

Mais que pouvons-nous faire quand la Science continue de s’en tenir obstinément à la mécanique quantique comme faisant partie et comme étant subordonnée au monde géométrique restreint de la matière tridimensionnelle, le seul monde que la Science connaisse ! Jusqu’à présent, Maxwell et la mécanique quantique soutiennent le nouveau cosmos dans une certaine mesure. N.B. : la Mécanique Quantique laisse supposer une structure maillée pour la Matrice et rejette le concept de Continuum de Bose-Einstein. Je mets le lecteur au défi de résoudre la question ! Cette théorie de nouvel Univers est soutenue par le mouvement de l’électricité : 32

Le Temps et l’Électricité : une même bête ! Ce que nous savons, c’est que l’électricité est une force, peut être transformée en plusieurs formes d’énergie et peut être transportée par des câbles pour faire fonctionner ce que nous voulons. L’électricité est quelque chose d’étrange qui circule le mieux à travers les métaux refroidis à près de zéro degré Kelvin et comprimés à plat vers l’espace bidimensionnel. Ce que l’électricité n’est pas dans notre nouvel univers, c’est le flux d’électrons sous forme de particules. Ici, nous ne reconnaissons pas les particules. Ce que la Science appelle les électrons sont en fait des ondes d’énergie circulant à travers les champs électromagnétiques, soit librement, soit soumises à une contrainte au contact de la matière issue de Systemland. Les expériences de supraconductivité ont prouvé que: - L’électricité circule avec de moins en moins de résistance à mesure que son moyen de transmission se rapproche d›un état bidimensionnel. Ceci a été confirmé lorsque des feuilles de polymère ultra-minces étaient prises en sandwich entre des électrodes métalliques. - L’électricité circule avec de moins en moins de résistance quand la température est basse et quand elle atteint l’étape de Continuum de Bose-Einstein de supraconductivité frôlant Zéro Kelvin. Le mouvement du flux d’électricité proche de l’espace bidimensionnel et de Zéro Kelvin indique une sorte de passage d’un milieu moins conducteur et moins contraignant à un milieu librement conducteur : le passage de la troisième à la deuxième dimension. Ce dernier pourrait être soit sous la forme d’un super Continuum de Bose-Einstein ou d’une Matrice de Flatland. 33

La Matrice laisse penser qu’elle est le foyer idéal et le véhicule pour l’électricité fluide, alors que Systemland semble être un véhicule limité, où la température en hausse, un milieu spatial en développement et la densité décroissante décélère le flux de l’électricité jusqu’à ce que la prédominance du Flatland bidimensionnel s’affirme à une étape avancée. - Plus la température du véhicule est élevée, plus les atomes sont actifs, plus les orbites des ondes d’électron sont variées, plus les obstacles sont grands et plus le flux d’électricité est lent. - En frôlant les quelques milliers de degrés Celsius, la situation s’inverse lorsque les électrons en orbite autour des noyaux atomiques se détachent, atteignent l’état plasma et retrouvent leur liberté en tant que conducteurs. - Avec la densité de la matière diminuant dans un milieu tridi- mensionnel en expansion, le flux de l’électricité se disperse, devenant moins concentré. - Avant d’atteindre l’espace en expansion, le peu de « ma- tière » de Systemland restante ne suffit plus pour maintenir les conditions tridimensionnelles de Systemland et les règles bidimensionnelles de Flatland se réaffirment comme étant fa- vorables pour conduire l’électricité. Quand l’éléctricité se propage à travers Systemland d’atome en atome, elle fait face à la résistance et perd une partie de son énergie en forme de calories. L’Électricité requiert un espace non restreint pour se mouvoir librement. Cet espace, elle le trouve sur la surface bidimensionnelle de la Matrice, en forme basique de ‘Temps-Énergie’. Un argument convaincant qui tient la route pour l’équivalence du Temps-Énergie Te et l’énergie électrique (l’électricité comme 34

nous le connaissons) quand Te est comparé à un moteur électrique. La structure de l’Univers, constituée de couches, présente toutes les caractéristiques et les dynamiques d’un moteur électrique. Elle correspond aux théories de champ de couches électrique et électromagnétique de puissance (actualisées ici comme des dimensions) de Maxwell et la règle de la main droite de Fleming où : l’index montre la direction du courant, le majeur perpendiculaire à l’index représente le champ électromagnétique de Maxwell et le pouce, encore une fois, perpendiculaire au champ électromagnétique de l’index, montre la direction de la force mécanique qui en résulte. Comparé aux trois dimensions de notre Temps-Te où l’index en tant que flèche du Temps indique : le mouvement de l’énergie de la Force du Temps Te, la première dimension, le majeur perpendiculaire à l’index montre : le temps-énergie Te créant la surface de la Matrice Ta2, et le pouce encore une fois perpendiculaire à l’index montre le champ magnétique temps-énergie m.Ta2 qui en résulte, le foyer Systemland et toute l’énergie en mouvement. La conclusion ne peut-être que : le Temps et l’Électricité doivent être une même bête comme : - la force électrique coïncide avec notre temps-énergie cosmique Te et - le champ électromagnétique de Maxwell et le champ temps- énergie Ta2 de la Matrice se chevauchent. N.B. : toute perpendicularité cosmique observée dans l’Univers pourrait être indicative d’une frontière entre les dimensions et doit être recherchée. 35

L’Énergie Temporelle Électrique L’énergie temporelle électrique de la première dimension propulse la Matrice universelle dans le futur. Le surplus d’énergie inonde la surface de la Matrice. De la même façon que les courants électriques circulant dans le Systemland sont entourés par un champ électromagnétique, l’énergie temporelle électrique qui circule sur la Matrice est aussi entourée de son champ électromagnétique tridimensionnel. Ce champ offre l’espace tridimensionnel pour que les vagues d’énergie puissent se déplacer librement à l’intérieur et servir simultanément de foyer pour toute l’énergie ancrée dans la matière m.c2 dans la Matrice (voir chapitre : mécaniques cosmiques). Le champ électromagnétique entourant la Matrice est le foyer de l’ensemble de la ‘matière’ tridimensionnelle existante dans l’Univers, les étoiles, les galaxies, les nuages de gaz et de poussière, incluant les humains ! Le flux originel de l’énergie Te dans la Matrice, sur le point de propulser celle-ci dans le futur, est la source pour la création de toute matière flottant dans le champ électromagnétique environnant. En estimant la totalité de la matière tridimensionnelle existante dans l’Univers nous devrions avoir une idée approximative de l’énergie totale qui a été utilisée depuis les premières années d’existence de l’univers. 36

N.B. : Quatre questions sur lesquelles le lecteur devra se pencher : - Est-ce que l’impulsion de la Flèche du Temps a été un événement singulier ? - Si non, est-ce que la création de la matière dense sera proportionnelle à la surface en expansion de la Matrice ou à la fourniture constante de l’énergie Te ? Est-ce que la matière initiale cessera d’être produite avec le temps ? 37

L’Énergie compte, la Matière est superflue Un des concepts de base expliqué ici est que la matière est un état éphémère de l’énergie et non pas l’inverse, comme la Science veut nous faire croire, soit que l’électricité en forme d’électrons est une propriété fondamentale de la matière. Nos pensées sont de la matière pure et dure, Des quanta aux étoiles immenses, Ce sont que des ensembles d’énergie, Nés des désordres localisés, Irréguliers et éphémères, Éparpillés dans les nuages Remplis d’énergie, Entourant la Matrice comme une enveloppe. Est-ce qu’on a déjà découvert de la “ matière tangible ˮ autre que d’énergie encapsulé  ? On suppose que la matière est créée à partir des molécules, avec des océans de vide qui les séparent. Donc pour trouver de la matière tangible, nous pouvons éliminer l’espace qui les sépare et nous concentrer sur les molécules. Mais les molécules sont supposément composées d’atomes avec encore plus d’espace les séparant. Et une fois de plus, nous oublions les océans de vide les séparant et les molécules pour obtenir de la ‘matière tangible’. Et maintenant, nous nous concentrons sur les atomes. Mais les atomes sont composés de ‘particules’ : électrons, neutrons, protons, encore une fois avec de l’espace infini entre eux. En comparant le volume et le contenu, nous pourrions dire qu’en général la molécule, l’atome et les distances subatomiques sont à peu près comparables aux distances galactiques cosmiques, stellaires et planétaires. 38

Après avoir encore une fois déduit l’espace vide et en se basant sur le fait que tous les molécules et atomes sont que des composites d’énergie, nous miserons sur les particules subatomiques pour trouver de la matière tangible. Même si nous entendons parler de plus en plus de ‘sub-particules’ qui ont été ‘découvertes’, et qui ont été baptisées de noms saugrenus, en réalité les particules n’ont pas été trouvées et leur existence non prouvée. Seules les caractéristiques directionnelles et énergétiques ‘d’une chose’ peuvent être observées pendant les collisions subatomiques. Mais ces ‘choses’ peuvent être n’importe quoi et ne sont pas nécessairement de la ‘matière’. Jusqu’à ce jour, les particules sont considérées comme des constructions essentielles qui ne peuvent pas être isolées et étudiées individuellement. D’ailleurs, les scientifiques qui disent avoir fait mouche avec leur bombardement atomique comme étant la preuve de l’existence de la matière se mentent à eux- mêmes ! Une surface dure n’est pas forcément de la ‘matière’. Ça peut-être en train de détoner dans la Matrice Mère du Flatland ! Qui plus est, se dire que tout ce que l’Univers contient existe uniquement comme des instants éphémères sur la feuille de temps du ‘Présent’. Donc, où est la substance ? La recherche de ces particules non existantes par les scientifiques s’apparente à des bambins tapotant dans tous les sens avec leur force individuelle dans une flaque. Ce qui crée ensuite des ricochets qui se heurtent, résultant en plusieurs vagues qui sont ensuite analysées pour leurs attributs. La recherche du boson de Higgs n’est autre qu’une perte de temps et de dix milliards d’euros dépensés par le CERN (les contribuables !) selon moi. De même, je considère la recherche de l’antiparticule comme inutile ! 39

Jusqu’à ce jour, aucune matière tangible n’a été trouvée ou son existence prouvée ! Si on élimine tout le vide, seule l’énergie te qui s’est fixée dans les atomes de Systemland est ce qui reste pour notre monde tridimensionnel, notre Systemland. Les galaxies, les étoiles, les molécules et atomes sont que des nœuds et points d’intersection d’énergie, qui font partie d’un plus Grand Dessein. Seule l’énergie et son rapport à ce qui l’entoure sont réels. En vain, nous les créatures de Systemland ne parviendront jamais à résoudre l’énigme de l’énergie tridimensionnelle. La déduction pourrait être notre seule chance. Un nouveau monde se dévoile sous nos yeux. Une matrice singulière, finie et globulaire, soit l’épine dorsale de l’univers, qui s’agrandit, où nos petits Systemlands éparpillés et désarticulés flottent. La Science aveuglée ne peut pas et ne verra pas au-delà de ses frontières familières de Systemland et soumet désespérément chaque observation et événement à la règle de Systemland. Observer et calculer les quanta en tant qu’état de la matière de Systemland, au lieu de ranger les quanta là où ils appartiennent : dans le monde de la seconde dimension. Jusqu’à ce jour, la Science attribue toujours l’énergie de la Matrice uniquement et exclusivement au Systemland sous la forme d’énergie noire et grise. Le concept erroné d’un univers composé de matière tangible de la Science doit céder la place au concept d’un Univers composé de forces intégrantes flottantes et d’énergie sans substance. Si vous voulez, vous pouvez surnommer l’énergie atomique piégée dans son ensemble matière tridimensionnelle. Mais à l’intérieur de l’atome tout est et restera bidimensionnel ! 40

Les Dimensions et les Mathématiques Les caractéristiques et l’interprétation du mot ‘dimension’comme décrites dans cet essai diffèrent grandement de l’interprétation scientifique dominante actuelle qui définit le mot. La Science s’inspire de notre notion tridimensionnelle terrestre représentée par la longueur, largeur et hauteur pour définir les dimensions. Pour la Science, une dimension dépend sur le nombre de coordonnées géométriques qui le définissent. Ainsi, une ligne renvoie à la dimension “ une ˮ. Une surface, comme un plan ou la surface d’un cylindre ou d’une sphère, la dimension “ deux ˮ. L’intérieur d’un cube, d’un cylindre ou d’une sphère, la dimension “ trois ˮ. En ajoutant le temps, la structure de l’Univers devient celle d’un continuum espace-temps à quatre dimensions. Les coordonnées de la Science font partie de la troisième dimension et n’existent que dans la troisième dimension et ne sont pas indépendantes. La Science a laissé de nombreuses questions sans réponse concernant leur structure coordonnée de l’Univers. Par exemple : quelle coordonnée représente la hauteur, la longueur, la largeur ? Quelle coordonnée doit être éliminée en premier ? Longueur, largeur ou hauteur lorsque vous souhaitez régresser de la troisième à la deuxième dimension ? Comment trouve-t-on le centre de l’Univers ? Comment les coordonnées sont-elles établies, comment s’entrecroisent-elles et comment établissons-nous leurs angles relatifs ? 41

La Science a aveuglément pris nos trois ‘dimensions terrestres’ familières qui sont ancrées sur un horizon et sur la gravité verticale et imposé cette structure terrestre à tout l’Univers, où les ‘ancres’ de l’horizon et de la gravité verticale sont inexistantes, ignorant ainsi la possibilité de l’existence de toutes dimensions indépendantes, première ou deuxième. Qui plus est, la Science n’a jamais pris la peine de définir ce que représente sa quatrième dimension, le ‘Temps’, et pour cela on apprécie sa rigueur ! Rejetant le concept fragile de la Science d’un Univers structuré par des coordonnées perdues dans le temps, je me suis tourné vers Maxwell et sa découverte implacable des couches dans la structure de l’Univers, séparées par des étapes mathématiques de puissance. Malheureusement, Maxwell à l’époque n’a pas reconnu que ces couches de puissance représentaient des étapes dimensionnelles dans la structure de l’Univers. Je définis une ‘dimension’ par sa position sur l’échelle de la puissance mathématique : la première dimension de base, une ligne droite, la seconde, une surface plate et la troisième, un volume spatial. Les trois sont perpendiculaires l’une à l’autre, chacune indépendantes de l’autre (voir le Diagramme I) ! La Première Dimension du Temps : avec une force égale et une vitesse constante, la flèche du temps dirige et entraîne tout du passé vers le futur. Aussi loin que nous puissions observer et définir : tous les événements chimiques, physiques et électromagnétiques se produisent, se déroulent et se développent dans le même ordre et de la même manière avec le passage du temps d’où que nous regardions dans le Cosmos. Si le Temps n’était pas homogène, ce ne serait pas le cas. 42

Pour mesurer la progression du passage ou de la vitesse du Temps, nous prenons des clichés, à intervalles réguliers fixes, de notre environnement qui est soumis au passage du Temps. Pour l’instant de seconde en seconde, de jour en jour, d’année en année et ainsi de suite. Leur séquence révèle la deuxième dimension du Temps, la feuille de temps cosmique qui avance le ‘Moment Présent’ fugace. Le ‘Présent’ éphémère représente l’image bidimensionnelle entre le passé, disparu, et le futur, à venir, en constante évolution. C’est l’arc du temps, s’étalant latéralement à 90 degrés, perpendiculaire à la direction de la flèche du Temps. La Matrice de l’Univers, élevé d’un cran sur l’échelle de puissance mathématique de Maxwell, est bidimensionnelle et n’a pas de corps. Sa surface se dilate vers l’extérieur comme une sphère plate. La Flèche de Temps de la première dimension propulse la sphère bidimensionnelle de la Matrice perpendiculairement à l’arc dans le futur. Si elle n’est pas perpendiculaire, l’Univers contiendrait des vitesses variables et des passages du Temps localement. Un vieux projecteur de cinéma en est un bon exemple. Chaque image qui s’ensuit montre une vue différente de la précédente montrant la progression du ‘Présent’. Chaque image est plate et bidimensionnelle. On peut y regarder dans n’importe quelle direction. L’image est et restera bidimensionnelle avec les détails relatifs les uns par rapport aux autres. Pour voyager des cadres bidimensionnels du ‘Maintenant’ au monde tridimensionnel de e = mc2 d’Einstein, la ‘Flèche du Temps’(le projecteur) fait bouger les cadres bidimensionnels dans le futur. Une augmentation de puissance dans la première dimension crée la deuxième dimension. Ensemble, ils créent la troisième dimension, une autre étape sur l’échelle de puissance. 43

Tout comme un courant électrique à travers un fil crée et est entouré d’un champ électromagnétique autour de lui, les flux d’énergie, circulant sur la sphère de la Matrice, ont un champ électromagnétique qui les entoure. Ce champ électromagnétique contient tout ce qui constitue la troisième dimension de l’Univers. C’est le foyer de toute la matière tridimensionnelle que l’Univers contient et la grande autoroute sur laquelle toutes les vagues peuvent déferler. La matière tri-dimensionnelle tire ses origines dans les collisions régulières des ondes d’énergie qui se produisent sur la surface de la Matrice, et ce qui cause l’apparition de jets d’énergie de plasma qui sautent perpendiculaires à la Matrice (voir chapitre suivant). Si elles n’étaient pas perpendiculaires, ces jets d’énergie retomberaient dans la Matrice et ne seraient pas capables de s’imprégner dans des atomes tri-dimensionnels. C’est l’échelle du pouvoir avec son aspect perpendiculaire qui définit les vraies dimensions avec leurs liens de puissance de la première à la deuxième et à la troisième dimension. Je remplace ici la définition de la structure de l’Univers donnée, en utilisant les coordonnées, par la Science : L’Univers est composé de trois dimensions du Temps séparées perpendiculairement, indépendantes mais liées entre elles, et séparées par rapport à leur position sur l’échelle de puissance. Il supprime la première dimension en tant que partie intégrante de la seconde, et les deux en tant que parties intégrantes de la troisième dimension. 44

La structure corrigée n’a rien à voir avec la longueur, la hauteur ou la largeur, ni avec le temps relatif. La perpendicularité renforcée s’adapte à un Univers régi par les forces des champs électriques et électromagnétiques de Maxwell. La règle de la main droite de Fleming, – couvrant le courant électrique, le champ et la force qui en résulte (enveloppée ou non) – confirme la même perpendicularité universelle. Les paliers de puissance et de perpendicularité rejettent le concept de l’Univers construit dans l’ensemble dans ses dimensions géométriques, établi par la Science. Oubliez les théories des cordes, les dimensions multiples, l’hyperinflation et les extravagances similaires. Simplifiez les choses. Les mathématiques modernes sont comme une langue que vous pouvez déformer à votre guise. La première chose est les mathématiques pures qui se détraquent, l’autre, ce sont les mathématiques appliquées à la mauvaise structure de l’Univers. Bien que jusqu’à un certain degré, les mathématiques soient une nécessité pour la Science moderne, leur importance est grandement exagérée. Pour ma part, je ne fais pas entièrement confiance aux mathématiques ‘modernes’. C’est devenu un peu comme la ‘comptabilité moderne’ où vous pouvez changer le débit en crédit. Pour moi, les mathématiques s’apparentent à une clôture de barbelés, érigée par l’élite scientifique afin de protéger leurs théories souvent fragiles contre les vérités qui dérangent. 45

La Force du Recul Remplace la Gravitation Le passage de l’énergie pure de la matrice à l’énergie emprisonnée dans la troisième dimension, à travers le vortex, laisse la surface bidimensionnelle de la matrice déformée horizontalement. N.B. : il ne peut jamais y avoir de distorsion verticale de la matrice plate, car la pression en progression constante de la Force Absolue du Temps et la règle du Temps Égal pour toute la surface de la Matrice Universelle ne permettront jamais une distorsion verticale de la matrice ou une dilatation du Temps Absolu. Plus la matière nouvelle apparaît, plus la surface de la Matrice se déforme horizontalement, ce qui donne automatiquement naissance à une contre-force. La science confond et interprète cette force comme l’attraction mutuelle que la masse exerce sur la masse et l’appelle gravitation, mais la science n’a jamais pris la peine d’établir l’origine de leur gravitation ! La gravitation n’est pas une force mystérieuse où la masse attire la masse mais c›est la Force de Recul du contre-vortex se manifestant dans le champ d’énergie électromagnétique entourant la Matrice, qui s’efforce de tirer toute la matière une fois créée et toutes les ondes électroniques emprisonnées et en rotation qui se sont échappées vers dans la Matrice de la deuxième dimension. C’est la Force de Recul qui retient toute la matière tridimensionnelle dans le champ électromagnétique environnant installé localement et lié à la Matrice. Ce n’est pas une force gravitationnelle mystérieuse interagissant entre la matière. La Force de Recul de la Matrice se déplace, – directement ou indirectement via les galaxies, les systèmes solaires, les planètes 46

et tout ce qui flotte dans l’Univers –, vers et dans l’atome même. Alors que les trous noirs secondaires ne remodèlent que la matière du Systemland pour être ré-éjectée dans le même Systemland, les trous noirs primaires sont directement liés à la Matrice et servent de destinataires finaux pour toute matière tridimensionnelle qui s’y échoue. Dans les trous noirs primaires, la matière bascule dans la deuxième dimension avec un angle de 90 degrés d’où elle se déploie horizontalement dans la surface de la matrice. Pendant ce processus, les forces centrifuges de rotation inversent leur force pointant vers l’extérieur en une force pointant vers l’intérieur à l’horizon, et les ondes stationnaires s’effondrent à plat, alors toutes les distorsions précédemment induites de la surface horizontale de la Matrice s’étire de nouveau dans la planéité de la surface. En rentrant dans la matrice, les axes de rotation s’alignent, la surface de la matrice retrouve sa planéité d’origine et la Force de Recul est neutralisée. Le concept désuet du fonctionnement des trous noirs primaires doit être écarté. Ce ne sont pas des entonnoirs tortueux mystérieux sortant du Systemland à un endroit imprécis et pénétrant à nouveau le Systemland quelque part dans le Cosmos. Mais les trous noirs s’enrayent là où la matière et l›énergie s›enveloppent dans le trou noir via un disque d’accrétion aplatissant et se dirigent directement dans la Matrice Mère à la vitesse de la lumière. 47

La Force du Recul en résumé : La Force du Recul est enracinée dans la Matrice électrique temporelle bidimensionnelle, qui opère au niveau de plusieurs frontières dans l’enveloppe électromagnétique tridimensionnelle supérieure environnante, et qui ramène l’énergie emprisonnée dans la Matrice pour la libérer en tant qu’énergie primaire. La Force de Recul est la principale force dans la construction, le recyclage, la régénération, la gestion et le nettoyage de Systemland. À l’échelle macroscopique, la Force de Recul rassemble d’abord la matière atomique en conglomérats, les aplatit et les concentre en galaxies qu’elle décompose à nouveau dans une étape finale. À l’échelle microscopique, la Force de Recul guide les processus de création et de recyclage atomiques et subatomiques. Chaque quantité de matière piégée circulant sur le champ magnétique qui entoure la Matrice a son contrepoids – proportionnel à la matière créée – dans la Force de Recul. Il n’est pas essentiel de rechercher la matière noire ou l’énergie grise manquante dans notre Univers où tout est en équilibre! La théorie Générale de la Relativité d’Einstein parle de la relation entre la masse des objets et la distorsion gravitationnelle de l’espace/temps autour d’eux. Sa Relativité Générale est basée sur la Science et ses propres concepts erronés de la masse attirant la masse et sur un Univers absurde à quatre dimensions d’espace- temps. Une approche incorrecte, qui pourrait ou non apporter les bons résultats malgré ses idées erronées. Mais comme nous l’avons établi, ce n’est pas la distorsion de l’espace-temps causée par la gravitation qui dévie la lumière, mais la distorsion des champs électromagnétiques autour des objets célestes par la Force de Recul. 48


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