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f_swissporKISODUR_PIR_Promotionsprospekt

Published by info, 2020-04-01 08:55:44

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,swissporKISODUR l’isolant thermique hautes performances pour les conduites SHSANS�HALOGENE Préserver l’énergie, c’est protéger l’environnement! Produits et services du groupe swisspor

Un système d’isolation rapide, simple, propr Les coquilles de swissporKISODUR utilisées pour les con- duites frigorifiques et conduites de chaleur permet- tent de lutter efficacement contre les pertes éner- gétiques. Leur précision d’ajustage, la variété de leurs dimensions ainsi que leur parfaite épais- seur d’isolation font des demi-coquilles PIR la solution idéale pour une isolation durable et prometteuse. · Sans halogènes · Isolation thermique hautes performances · Application simple grâce à des coquilles pour conduites et des pièces moulées offrant une grande précision d’ajustage · Isolant ultra performant ne nécessitant qu’un encombrement minimum · Produit spécialement adapté aux conduites frigorifiques et conduites de chaleur grâce à une structure à cellules fermées 2

re et ultra performant Comparaison de la conductivité thermique λD (à 10 °C) 0.045 0.040 0.035 0.030 0.025 0.020 PIR Laine de roche Laine de verre Polyéthylène Caoutchouc La zone supérieure (représentée en gris) indique la diversité des produits existants. Les valeurs spécifiées s’appliquent à des conduites dotées d’une isolation de plus de 25 mm d’épaisseur. 3

Fabrication et applications de la mousse PIR Remarques générales L’appellation PIR est l’abréviation de «polyisocyanurate», un isolant appartenant à la famille des mousses rigides de polyuréthane. Ses deux substances de base – l’isocyanurate et le polyol – sont mélangées à des additifs: eau et gaz propulseur. Une réaction chimique est déclenchée dans les installations de production afin de générer, en un temps très bref, une mousse rigide PIR constituée à plus de 90 % de cellules fermées. Le polyuréthane PIR est un duroplaste: même à température élevée, il ne fond pas et conserve sa forme et ses dimensions. Il offre une bonne résistance à la pression, a une longue durée de vie, est hydrofuge et résiste à la quasi-totalité des produits chimiques utilisés pour la construction. Les coquilles et pièces moulées PIR sont découpées dans des blocs préfabriqués à l’aide de fraiseuses modernes CNC, ou sont moussées sur des installations continues avant d’être fraisées à la forme souhaitée. PIR pour l’isolation thermique Employé pour l’isolation thermique des conduites de chauffage et d’eau chaude, le PIR convainc par son exceptionnel pouvoir isolant, un grand choix de coquilles et pièces prémoulées offrant une grande précision d’ajustage, son faible poids ainsi que sa rapi- dité et facilité d’application. Le PIR peut être travaillé avec un couteau normal ou une lame de scie à main. PIR pour l’isolation frigorifique Pour l’isolation frigorifique des conduites d’eau réfrigérante et d’eau froide, les coquilles isolantes à cellules fermées peuvent être munies d’une barrière pare-vapeur offrant un grand potentiel de sécurité. Les conduites frigorifiques sont souvent dimensionnées de telle sorte qu’aucune eau de condensation ne se forme sur la surface, autrement dit que la température de surface soit toujours supérieure à celle du point de rosée. Mais cette méthode ne tient pas suffisamment compte de l’aspect énergétique. Il en va tout autrement avec le PIR qui, par comparaison, permet d’économiser beaucoup d’énergie même avec de faibles épaisseurs d’isolation. Ceci permet de réduire les coûts de manière efficace et de préserver l’environnement. Coude 90° S Coude 90° équerre Coude 45° Raccord en T 4

Valeurs techniques de swissporKISODUR Valeurs techniques Méthode de mesure (norme) Valeur Caractéristique Matière Mousse isolante thermodurcissable en polyisocyanurate Pourcentage de cellules fermées Conductivité thermique λD ISO 4590 > 90 % Conductivité thermique Résistance à la diffusion de vapeur d’eau μ EN 14308 0.028 W / m·K Augmentation d’humidité admissible Température d’application EN 12667 (à 10 °C) 0.023 W / m·K Classification selon norme EN EN 12086 50 à 80 ≤ 3 % vol. en 10 ans -40 °C à +120 °C EN 13501-1 DL-s2, d0 5

Fonctions d’une isolation Isolation thermique L’isolation thermique vise à limiter les pertes énergétiques et les émissions de CO2, à ne pas dépasser la température de surface spécifiée (protection contre les contacts fortuits) et à respecter les prescriptions légales en matière d’épaisseurs d’isolation minimales. Isolation frigorifique L’isolation frigorifique vise à empêcher que de l’eau de condensation ne se forme sur la surface isolée et que l’augmentation de l’humidité dans le matériau isolant ne dépasse les limites prescrites. Si la mise à disposition de l’agent frigorigène nécessite de l’énergie, il faut là aussi réduire les pertes énergétiques et limiter les émissions de CO2. Les isolations frigorifiques sont exposées à un risque particulier: la pénétration d’humidité dans le maté- riau isolant. Ce phénomène se produit par condensation de la vapeur d’eau contenue dans l’air ambi- ant. Lorsque la température autour de l’objet ou dans l’isolant descend en dessous de la température du point de rosée de la vapeur d’eau, cette dernière peut s’infiltrer dans l’isolant. La masse de la vapeur d’eau condensée est limitée par la masse de la vapeur d’eau évacuée. La vapeur d’eau est transportée par des différences de pression totale (flux d’air) et des différences de pression partielle de vapeur d’eau (diffusion de vapeur d’eau) entre l’environnement et l’isolant. Toutes les réflexions sous-tendant la mise au point d’une isolation frigorifique visent avant tout à éviter la pénétration d’humidité. Si ce risque n’est pas supprimé, de l’eau et/ou de la glace se forment au niveau du système d’isolation, en chaque point dont la température est inférieure à celle du point de rosée. Le système d’isolation doit impérativement être protégé contre l’eau et la glace pour les raisons suivantes: ∙ elles réduisent considérablement le pouvoir isolant du matériau d’isolation; ∙ l’eau peut provoquer une corrosion des installations isolées, notamment à l’intérieur du doublage; ∙ l’eau et la glace alourdissent l’isolation. Les conduites frigorifiques peuvent se briser sous cette charge. 6

Structure du système d’isolation Principe du système pour les conduites de chaleur 1 Agent caloporteur 2 Conduite 3 Protection contre la corrosion (selon exigences) 4 swissporKISODUR Coquilles 5 Fil de ligature galvanisé 6 Doublage 7 Suspension de la conduite Principe du système pour les conduites frigorifiques 1 Agent frigorigène 2 Conduite 3 Protection contre la corrosion (selon exigences) 4 Produit hydrofuge (selon exigences) 5 swissporKISODUR Coquilles 6 Fil de ligature plastifié 7 Barrière pare-vapeur 8 Doublage 9 Suspension de la conduite 7

Eléments composant les systèmes d’isolation PIR Agent frigorigène ou caloporteur Eau froide ou produit chauffé ou refroidi par procédé industriel, généralement un fluide, qui est utilisé comme agent réfrigérant ou caloporteur. Dans une conduite de chaleur, la température est supérieure à celle de l’air ambiant tandis qu’elle est inférieure dans le cas d’une conduite frigorifique. Conduite Cylindre creux par lequel l’agent frigorigène ou caloporteur s’écoule ou est refoulé. Le choix du matériau et le dimensionnement doivent être effectués par l’ingénieur d’études en fonction de l’ouvrage et conformément à l’utilisation convenue. Les calculs thermiques doivent être réalisés à partir du diamètre extérieur de la conduite. Protection contre la corrosion (pour les conduites frigorifiques exposées au risque de corrosion) Protection des surfaces extérieures de la conduite contre la corrosion. Les mesures de protection contre la corrosion doivent être planifiées et réa- lisées par le maître d’ouvrage. Même si la barrière pare-vapeur a été réalisée avec le plus grand soin, d’infimes quantités de vapeur d’eau se diffusent dans un système d’isolation frigorifique et se condensent sur la surface froide de la conduite sous forme d’eau ou de givre. La diffusion d’humidité peut être limitée à certaines valeurs admissibles, mais ne saurait être entièrement éliminée. La protection contre la corrosion est fonction à la fois du matériau de la conduite et du système d’isolation frigorifique retenu. Produit hydrofuge (pour les conduites frigorifiques) Le produit hydrofuge est une matière de remplissage qui supprime les cavités entre l’isolant et la surface de la conduite afin d’éviter l’infiltration d’humidité. Ce produit empêche la coquille d’isolation PIR de coller à la surface de la conduite, ce qui permet d’avoir, à tout moment, accès aux divers composants de l’installation. Il peut se composer de masses pâteuses, résistantes à l’eau, de pH neutre et à élasticité permanente. Coquilles d’isolation et pièces moulées PIR (coudes, segments, panneaux) Couche isolante en mousse polyisocyanurate (PIR) thermodurcissable. Maté- riau isolant hautes performances présentant une structure cellulaire presque totalement fermée. La grande précision d’ajustage et la variété des dimensions garantissent une isolation optimale pour un encombrement minimum. Les coquilles d’isolation PIR doivent être protégées contre les intempéries et les dommages mécaniques. 8

Fil de ligature Le fil de ligature – galvanisé ou plastifié – permet de fixer efficacement et durablement les coquilles d’isolation dans leur position définitive. Pour les conduites frigorifiques, la plastification s’impose lorsque la barrière pare-vapeur est réalisée à partir de matière synthétique liquide ou de bitume. Barrière pare-vapeur (pour les conduites frigorifiques) La barrière pare-vapeur a pour fonction de protéger l’isolation frigorifique contre la pénétration d’humidité. Le taux d’humidité accumulé dans les coquil- les d’isolation PIR sur une période définie (par exemple 10 ans) ne doit pas dépasser 3 % du volume. La qualité de la barrière pare-vapeur est indiquée, en mètres, par l’épaisseur d’air équivalente sd pour la diffusion de la vapeur d’eau. Les barrières pare-vapeur doivent être protégées contre les dommages méca- niques. Les barrières pare-vapeur se présentent sous la forme d’aluminium, de feuilles multiples d’aluminium manufacturées (meilleurs résultats), de matière synthétique liquide ou de bitume. Couche de protection entre la barrière pare-vapeur et le doublage (pour les conduites frigorifiques) Protection de la barrière pare-vapeur (la plupart du temps sous la forme de bandes de PE) contre les dommages mécaniques, par exemple si la gaine est vissée ou rivetée. Doublage Couche de protection du système d’isolation contre les dommages mécaniques, les intempéries, etc. Les doublages peuvent également servir de barrière pare-vapeur. Les calculs thermiques doivent tenir compte de la valeur d’émissivité du doublage. Celle-ci peut être modifiée par la présence de salissures et de poussière. Suspension de la conduite La suspension de la conduite vise à assurer sa fixation sans créer de pont thermique. Pour les conduites frigorifiques, il peut être nécessaire, selon le cas, d’utiliser des colliers froids assurant la fonction de barrière pare-vapeur. Les jonctions entre la barrière pare-vapeur du collier froid et l’isolation contiguë de la con- duite doivent être parfaitement étanches à la vapeur d’eau. L’isolant doit être fixé de manière jointive au collier froid, ou même collé si nécessaire. 9

Termes techniques et caractéristiques Température de l’agent frigorigène ou caloporteur dans la conduite θi [°C] Température maximale ou minimale de l’agent déterminée par les calculs. Dans le domaine des installations du bâtiment, les températures des agents frigorigènes ou caloporteurs varient dans les plages suivantes: ∙ chaleur: de 20 °C à 90 °C ∙ eau froide: de 7 °C à 12 °C ∙ eau réfrigérante: de 1 °C à 6 °C ∙ froid: de -40 °C à 0 °C Température moyenne θm [°C] Température moyenne de l’isolant déterminant la conductivité thermique. Il s’agit de la moyenne arithmétique de la température ambiante et de la température de l’agent. Conductivité thermique λ [W/(m·K)] Propriété du matériau: flux de chaleur Φ en watts [W] s’écoulant à travers 1 m2 d’une couche isolante homogène d’1 m d’épaisseur en régime stationnaire quand la différence de température Δθ s’élève à 1 kelvin [K]. 1 kelvin = 1 degré Celsius. La conductivité thermique λ, souvent appelée valeur lambda, est l’une des principales caractéris- tiques d’un matériau isolant. Elle indique l’efficacité avec laquelle le matériau isolant parvient à réduire le flux de chaleur. Plus la valeur lambda est faible est plus l’isolation est performante! La valeur lambda variant en fonction de la température, il est nécessaire d’indiquer, pour chaque valeur lambda mesurée, la température correspondante. Afin de pouvoir comparer les matériaux isolants entre eux, on utilise la valeur lambda déclarée λD. Par définition, cette valeur correspond à une température de 10 °C et peut être affectée d’un coeffi- cient de vieillissement en fonction du matériau considéré. L’émissivité est une donnée nécessaire au calcul de la part de rayonnement. Coefficient de transmission thermique h [W/(m2·K)] Rapport entre la densité du flux de chaleur q, en W/m2, à la surface d’une matière et la différence de température Δθ, en kelvins (K), entre cette surface et son environnement (p. ex. l’air), dans des conditions stables. Les paramètres suivants influencent le coefficient de transmission thermique: la température ambian- te, la température de surface, la vitesse du flux sur la surface (p. ex. le vent), le type, la caractéristique et l’état de la surface. Le coefficient de transmission thermique se compose toujours d’une part de convection et d’une part de rayonnement (il est encore plus complexe pour les surfaces propices à la condensation et mouillées). L’émissivité est une donnée nécessaire au calcul de la part de rayonnement. Emissivité ε [-] (également appelée facteur d’émission, coefficient d’émission ou pou- voir émissif) Rapport entre la densité du flux de chaleur émis par une surface donnée q1 et celle d’un dissipateur thermique idéal q2 («corps noir») à température égale. Un bon dissipateur thermique est également un bon absorbeur. Comme il ne réfléchit aucun rayonnement, il absorbe bien tous les rayonnements de chaleur incidents. Le corps noir possède une émissivité de 1. On attribue des valeurs de 0,05 aux surfaces métalliques polies. Dans les mêmes conditions, une isolation à doublage métallique présente un plus gros écart de température entre la température ambiante et la température de surface qu’une isolation à doublage non métallique. 10

Densité de flux thermique linéique qI [W/m] «Linéique» se dit d’une grandeur rapportée à l’unité de longueur dans le sens de l’axe tubulaire d’une isolation de conduite. Ces propriétés linéiques sont utiles pour calculer la perte de chaleur totale QR TOT lorsque l’on connaît la longueur de la conduite en m, la différence de température Δθ en K et la durée de service z (h/a). «Linéique» ne désigne pas le flux de chaleur dans le sens axial. Le dimensionnement d’une isolation de conduite nécessite des désignations et calculs spéciaux qui ne s’appliquent pas aux corps plats. Dans le cas des isolations thermiques, le flux de chaleur est orienté de l’agent caloporteur vers l’extérieur; inversement, dans le cas des isolations frigori- fiques, le flux est dirigé de l’extérieur vers l’agent frigorigène. Pont thermique ψ [W/(m·K)] (déperdition de chaleur supplémentaire) Points d’un système d’isolation au niveau desquels la conductivité thermique est nettement plus élevée que dans l’isolation homogène contiguë, par exemple à proximité de suspensions de conduites ou de dispositifs porteurs. Protection contre les contacts fortuits Revêtement calorifuge des tuyauteries du système d’isolation permettant de limiter la tempéra- ture de surface et d’éviter ainsi les brûlures (cutanées) ou le déclenchement d’incendies (p. ex. par projection d’huile chaude ou explosion de mélanges gazeux). Indice de résistance à la diffusion de vapeur d’eau μ [–] Paramètre de perméabilité à la vapeur d’eau de certaines matières, qui compare la résistance à la diffusion d’une couche de matière à celle d’une couche d’air de même épaisseur. Des calculs précis sont obtenus par détermination de l’indice de transmission de vapeur de l’air λDL en fonction de la température et de la pression atmosphérique. Epaisseur d’air équivalente sd [m] pour la diffusion de la vapeur d’eau Epaisseur d’une couche d’air présentant la même résistance à la diffusion que la couche de matière donnée. sd = μ∙d. Protection contre l’eau de condensation La protection contre la formation d’eau de condensation sur la surface des installations nécessite dans tous les cas une épaisseur d’isolation suffisante. Outre la température ambiante, l’humidité relative, la température de l’agent frigorigène et la conductivité thermique de l’isolant, le coeffi- cient de transmission thermique entre la surface isolante et l’air ambiant joue un rôle décisif dans le dimensionnement de la protection contre l’eau de condensation. Son calcul doit notamment tenir compte des facteurs entravant la convection en cas d’espace restreint ou de conditions de rayonnement thermique limitées. 11

Dimensionnement des conduites de chaleur Introduction Si la mise à disposition du caloporteur à la température voulue nécessite de l’énergie, le système d’isolation thermique doit être dimensionné de manière à limiter autant que possible les pertes énergétiques et à garantir la rentabilité du système. Pour des raisons liées au montage et à la rentabilité, les coquilles d’isolation PIR destinées aux systèmes d’isolation thermique doivent toujours avoir une épaisseur minimale de 30 mm. Protection contre les contacts fortuits Les composants dont la température est élevée doivent être recouverts d’un isolant thermique pour éviter toute brûlure en cas de contact fortuit. Nous recommandons d’utiliser un revêtement calorifuge d’une épaisseur suffisante pour isoler les conduites et obtenir une température maximale de 40 °C à la surface extérieure. La température de surface d’un isolant thermique ne fournit aucune indication sur la qualité de ce dernier car elle est égale- ment soumise à des influences externes, difficilement mesurables, telles que: ∙ l’émissivité du doublage; ∙ le vent, la circulation de l’air; ∙ le rayonnement thermique ambiant, provenant p. ex. de composants à température élevée; ∙ des installations entravant la convection, p. ex. de larges conduites d’aération placées juste au-dessus de la tuyauterie. Isolation thermique selon le MoPEC Les prescriptions des autorités cantonales sur l’épaisseur des isolants thermiques doivent être respectées. Elles reposent sur le «Modèle de prescriptions énergétiques des cantons» (MoPEC). Epaisseurs minimales d’isolant pour les conduites de distribution du chauffage et les conduites d’eau chaude selon le MoPEC Diamètre nominal de la conduite DN λ ≤ 0,03 W/(m.K) λ ≥ 0,03 W/(m·K) (coquilles PIR) à ≤ 0,05 W/(m·K) mm pouces (caoutchouc/laine minérale) 10 à 15 3/8 à ½ mm 20 à 32 ¾ à 1¼ 30 mm 40 à 50 1½à2 40 65 à 80 2½à3 50 40 100 à 150 4à6 60 50 175 à 200 7à8 80 60 80 80 100 120 Rentabilité Un dimensionnement rentable consiste à déterminer l’épaisseur d’isolation qui permettra de limiter au maximum les coûts globaux d’un système d’isolation thermique pendant sa durée d’utilisation. Le coût de l’isolation est d’autant plus élevé que l’épaisseur de l’isolant augmente (coûts liés au système d’isolation: charges d’investissement, entretien, démontage/élimination). En revanche, les coûts liés aux déperditions de chaleur (coûts énergé- tiques) diminuent. Le total des coûts (isolation et pertes énergétiques) varie en fonction de l’épaisseur de l’isolant. L’épaisseur idéale est celle qui génère un minimum de coûts. Elle est appelée «épaisseur d’isolation économique». Il est donc indispensable de se procurer des données complémentaires et de procéder à des calculs complexes. Pour pouvoir calculer rapidement et efficacement le coût des pertes énergétiques et les possibilités d’économie qu’offrent les différents matériaux isolants et épaisseurs d’isolation sur toute leur durée d’utilisation, le groupement d’intérêt «proPIR» met à disposition un outil de calcul mis au point par la Haute école de Lucerne (Technique et architecture). Calcul des épaisseurs d’isolation L’épaisseur d’isolation souhaitée est contrôlée afin de s’assurer qu’elle répond aux critères de rentabilité, de protection contre les contacts fortuits ainsi que de conformité aux prescriptions légales (MoPEC). 12

Dimensionnement des conduites frigorifiques Introduction Si la mise à disposition de l’agent frigorigène à la température voulue ne nécessite pas d’énergie (par exemple: réseau d’eau non réfrigérée), le système d’isolation frigorifique doit de préférence être dimensionné de telle sorte qu’il ne se forme pas trop d’eau de condensation sur la surface isolée ni trop d’humidité dans le matériau isolant. En d’autres termes, il faut éviter la condensation par refroidissement de la surface. De plus, l’augmentation d’humidité dans le matériau isolant par suite de la diffusion de vapeur d’eau ne doit pas dépasser les limites prescrites. Si la mise à disposition de l’agent frigorigène à la température voulue nécessité de l’énergie, le système d’isolation frigorifique doit être non seulement dimensionné de manière à assurer la protection contre l’eau de condensation et l’humidité, mais également de manière à réduire au maximum les pertes énergétiques et à garantir la rentabilité du système. Pour des raisons liées au montage, les coquilles d’isolation PIR destinées aux systèmes d’isolation frigorifique doivent toujours avoir une épaisseur minimale de 30 mm. Protection contre l’eau de condensation Pour empêcher la formation d’eau de condensation sur une surface, la température de cette dernière ne doit pas être inférieure à la température du point de rosée de l’air ambiant. Protection contre l’humidité L’utilisation d’une barrière pare-vapeur de qualité adéquate et/ou d’une isolation suffisamment épaisse est nécessaire pour empêcher la pénétration d’une humidité excessive dans le matériau isolant. Plus la barrière pare-vapeur est dense et plus l’isolation est épaisse (volumineuse). L’augmentation volumique d’humidité dans le matériau isolant en sera d’autant plus faible. Rentabilité Le dimensionnement s’effectue de la même façon que pour l’isolation thermique. Protection des conduites d’eau statique contre le gel Les conduites parcourues par un fluide en mouvement (eau, p. ex.) ne sont pas exposées à un risque de gel. Les épaisseurs d’isolati- on habituelles suffisent à éviter que la température ne descende en dessous du point de congélation, même si la vitesse d’écoule- ment est très faible. Dans le cas des conduites de fluide statique (eau, etc.), l’isolation thermique peut certes retarder la formation de glace, mais elle ne peut empêcher la congélation à long terme. Les mesures permettant d’empêcher la congélation et, partant, l’éclatement des conduites consistent à: vider les conduites, enterrer les conduites en dessous de la limite de gel, maintenir les conduites en service, chauffer les conduites. Les vannes, suspensions, etc. sont exposées à un risque de gel accru. Dans certains documents, le givrage maximum autorisé est de 25 % du volume. Calcul des épaisseurs d’isolation L’épaisseur d’isolation souhaitée est contrôlée afin de s’assurer qu’elle répond aux critères de rentabilité, de protection contre l’eau de condensation et de protection contre l’humidité. Dans certains cas, on calcule également le temps nécessaire à la congélation. Il convient de choisir l’épaisseur d’isolation la plus performante. Installations de ventilation et de climatisation Les conduites d’aération, tuyauteries et appareils des installations de ventilation et de climatisation doivent, en fonction de la différence de température dans le cas de figure considéré ainsi que de la valeur λ du matériau isolant, être protégés contre les transferts thermiques (déperditions et absorptions de chaleur) conformément au tableau ci-dessous. Différence de température dans le cas de figure considéré, en K 5 10 15 ou plus Epaisseur d’isolation (en mm) avec 0,03 W/m·K < λ ≤ 0,05 W/m·K 30 60 100 Epaisseur d’isolation en fonction de la différence de température dans le cas de figure considéré 13

Outil de calcul de proPIR Avec notre outil de calcul, développé en partenariat avec le département Technique et architecture de l’Université de Lucerne, nous voulons vous aider à sélectionner le matériau qui offrira une isolation optimale à vos conduites. Les principaux objectifs de l’outil sont de permettre la réduction des pertes énergétiques, la baisse des coûts ainsi que la limitation des émissions de CO2. Pour vous familiariser avec son utilisation, nous vous recommandons d’ouvrir la note explicative, qui contient une présentation synthétique de son fonctionnement. L’outil de calcul comprend trois espaces: «Start» («Démarrage»: données relatives à l’ouvrage, à l’in- génieur d’études, etc.), «Grundlagen» («Données de base» relatives à l’isolation prévue), et «Resultate» («Résultats). Etape 1 – Démarrage Etape 2 – Données de base Etape 3 – Résultats Variante 1 Variante 2 Variante 1 Variante 2 La première colonne des espaces «Données de base» et «Résultats» présente toujours en premier lieu un système d’isolation mettant en œuvre des coquilles PIR. La deuxième colonne permet d’établir une comparaison avec d’autres matériaux isolants et/ou d’autres épaisseurs d’isolation. pprrooPPIIRR ROeucthile dnet ocoall cPuIRl P‐RIRT‐2RT2 RReéssuullttaattes  Wpräortmecetsiocnh utthzermique OObbjjeekkttnnaammee OObbjjeekkttoorrtt Eslwrii sAsGpor AG PIIsRo ‐l aIstoioline rPuInRg VerCgolemicphasrvaaisrioannte GInedwuersbtersietrsatsrsae s3se VVaarriiaannttee  11 VVaarriiaannttee  22 WW//((mmKK)) °C Saisie des données de baseTCCeHHl‐: 4‐+550564212  D3(0e )Br3eo2n sd6wi8n1gil e3n3 11 00..003366 FTaexl: + +0411( 0()03)2  56682 6 1758 0 598 98 TReéisleurltgaetbsn pisasreti edlesr  dBue rceaclchunlung 14.8 wFawxw +.4e1lr i(.0c)h 56 678 98 99 WCoänrdmueclteibitifläithéi gtkheeirtm beiqi uDeä mà lma mteimttepléteramtuperera mtuory 3e5n n°Ce d'isolation 35 °C  BB 00..003311 www.swisspor.ch Oberflächentemperatur U 14.5 Regisol AG OOuuttili ld dee c aclacluclu PlI RP‐IRRT‐R2 T2Pertes de chaleur prporoPPIRIRSEclhrwi AalbGenweg 3 DRlLFFäoellénnuuissngxxutée  uddlentneeasbg   tdcceseehhz np oaabrgllaoeeesuutenerr epc  rrrtoaa iuWoddrnii äaal etrll  hmc(ieanelrccdmulu.l irpqcouhnelatsss twhiedremrsiqtauneds) q rad 7.1 8.3 W/m CTGeHel‐:3 w+20e942r1b  B(e0u)ss3stw2r ai3ls 8bs5ee i2  B23ü 3re3n Outil de calcul PIR‐RT2Wärmestrom rad. Rq lrad,wbr ObOjebkjtenkat8858mo....r3533et mW2/Km/(Wm) FCaHx:‐ +4054512(0 )D32e r3e8n5 d2i2n 3g5en 67..51 WO/bmjektname Wärmestrom rad. inkl. Wärmebrücken q rad 7.1 W/mObjektort wTewl:w +.0re4g1i s(o0l).3ch2 681 33 11 q rad,wbr 7.1 proPIRFaxs: w+0is4sp1o(0r )A3G2 682 15 05 PLRTPeoéseru osmvru tadeplleetcéasutr tirzaossot  ndnpu éercofs oid ntlnieimet cassittu ciseotrossfnn,a   fdtcto ehderseet suvr maivtlaesilqueuruser ss pméociyfeiqnuneess a dtete dsitféféesre pnetus vpernotd êutitrse  dinus mérêémese d taynpse l edse  cmelalutélerisa nuo. n protUégées. V1 PIR Isola1ti4o.5n PIR Comp1a4r.8aison V2 VVaalreiaO°unCOrutseb ic/ j2onemoktnmnuanmees swwwisIwnsdp.euoslrrt irA.iceGhstrasse Vale°uCr prOobpojeskéteo, rt CITICRnneHHdeld‐ u ‐g5u+sCT56i4tsseH62r1toil3e2‐ r( 5 lsi+0B3 et6A)4or  s2aB5s1Gts3w6o rs(  aei0Bs6l ws7)o s85sie wl69 8i6l 9788 98 98 BVearleüuhr ulinmgistsec hpurotztection contacts fortuits inférieure (40°) VariOanuti e 1 VariOaunite 2 V1 V2Vous trouverezW/(mK) Varia5n0te 2 TFSaecxhl  + Fw+4a14ax 1 (l+0b 4)(e 051n6) (w  056)7e6 85g  66 937 86 897 989 89 89 989 ROébseurlftlaätcsh epnatretimelps edrua tcuarlcul 14.5 Comparaison Kopieren14.8 FswCwaHwxi‐ sw3+s2w4.ps91ow2 r(.i  s0BAsw)up G5isso6ssrw .p6coi7hlr 8b.c e9hi8 B 9ü9ren CGorenndzuwcteirbti lBiteér üthherurmngiqssuceh uàt lza u tnetmerpsécrhartiuttreen m (4o0y°e) nne d'isolation 35 °C IsVoalaritaionUnBte P 1IR Modifiable wCIFTnHaewdxl‐u:Ew:5  +sl+6r.t0is02r 4Aiw43e1G1 siB s(t(o00rsa)s)p33wsos88ier5l5. c 22h22  3353 CEopnadiusisteeur isolation selon MuKEn EGFTwaleerwxliw   TGC wA++eeHe4G4.lrw‐:r11b4 e+e  5e((0gr050sb4it2)s)e1r   5o5sD a(t66l0ser.s )ac r663eesh727sn 3e 88d6  i 389n91g88 e3  99n398 11 0.0Ja31 Variante 2 V1 ‐> V20.0Ja36 Modifiée en pWjaar/t/ni(eme minKo)difiable CwHw‐Fw4a5.xs5: w2+ 0iDs4IDems1rp(uep0o)ncr3ridkm.2cei n6heng8re2 n15 05 FTEaelrxli: :w A ++wG004w411.e ((l00ri)).33c2h2  668821  1353  0151 Isolation PIR Comparaison wCGHeww‐RSw4ece5.hrge5bwi2lserao isDl.lbc tAereharGneswsneedg i3 n3gen EDMPFRCGDELRpilfaeeoépeaäeuftsrusinacmsxést usoeidds residmleitomuiastszreuane ucseldmr it ttucc desäiphrhbtae  ra picae niivkrclsahli oeedheoDtrai séaautlnäl ali tecreaetmit auhoucilrosnmarrehn ntddr sMsom iutseanä euillcaqorlKaokluneElence snM u (  ndàλluo DolKrai mvbE teeneeni m srt1 e (0ptλmo°éDCupr )ajàloit euu1sr0res°C m) oyenne d'isoldaRRtion 35 °C A5c0di.e0Gr Varia4n0te 1 Acier mm RTeelg:C i+sHo0‐4l3 A219 G(20 )B3u2s s6w8il1 b 3e3i B 1ü1ren 3.qd00rGBad 50.0 sur notre siNein Choix matériau influencjae/ λnDe,i nu et Fli. CSFwcaHwhx‐:wTFww3 a+e2wa.xl0e9:l:w b4 +2l+re1.0 i0rB.n4(e4c0u1wg1h)s (i(3ess002wog))33  l6.i388lc 855bh2  e22 21i2  B 533ü 530r5en Tel: +041 (0)385 22 33 07.O40.u013i1 3.00 mm 0N8.50.o033n6 WWmOum//im(/mnKo)n FRaexg:i s+o0l4 A1G(0)385 22 35 Schwalbenweg 3 IsFAêoltnulrafxeto i dordenem crhupanlilegeesu!nr nraadchia lM (iunKcEl.n p eornftüsl lt?hermiques) q rad,wbr 7.1 8.3 W/m wCHw‐w32.r9e2g Bisuosls.wchil bei Büren MDaieté Kriaanutonalen Energievorschriften müssen immer PIR (‐40°C bis 120°C) JaLaine de roche (12°C bis 750°C) Tel: +041 (0)385 22 33 VDDSDRDESVEVLEEVRêTPEVFTPPEFRJJeJEEEPREEEuupméaaaioiiäääellrfaeppepptiiiirreiemccccaaeeppéasllluunnnnnnfehhhreoeeoimsomooomiaaaarucllisppsrrsesxxnssscgsese uuurrritttstuoiiiisunnnndlltsstpppè  plll éeesssseeééueuprirpriaddiiirilesmvloooooitsscccssoaaaetasmmhccetssrnrrééirieeueeaeenhhhmmm  manotrrre t t  reamcmmrrdllcér  éeeuuutiiuuu u8eeetiiccnc eaal dooeommie iiinnntdisnnn'arrrrr  nhhpdtnaeee tt0eseennECd ûtt  e   ietggguuto cnaal0g   Eiiiiv ii   nné  edOiéddd csssssatttVr   hccrr0ulell nedEKCrueesh oooo 'egrpVeee ee' ood₂iwbaiaséddsie nasorOa  aérpllll‐uue é  aipp!nnl raafaaolgEnCcgreetfleueascuetuarrn₂eirfgirrttttlttoamiiatge  O,arr u  oaciriueuqiioiioaass eüirresagzde ûoooornernetsnuudaar₂rv cciuttreb niing(ie stnn nn vàtoteeeogeettddd prrdmsees isseotness     nffü e nccéreu.éii eessssieslüraae   aan!salro'ttb   tffc1eeee r ui fdlcbslcxcuiiellrsaooia1lno ufeoo  lllloqsuq.aueeeoe(eprioooonl rr ensrtnnnCrnieguu  rlnttrtnavnnnnk nauén  edouue  e es eMeuaotccrecd    un u lsigiiMnnMisp d oolNnln iostte ereidài.n eupooeesstto nnaaneeu l  upueeenoursK1lrrdnpi tt et  KKmmevoNrdn urü0daaEnuzNnpséeEErrn°uebuccnoureeu oCreunnntpt étrnnet essse ssrrtséztre derg   zet  i o lu((ea ffstrtls u'Vλλmdoopeàuohrnon zndaDDras 'lrretegunépuVeggtt'ir  siruljueuuààesltstaiiozmia si tz,e  eiidevrl u11ittaeinéillsioossili0a0rtqtittesa  ntsnia inie°°uoav snntnCCi v tsiet3on2fféooe)))iéés0n oe nnd ü)rr 2 snJ3  iiebd3 aee s0 de0heu3uu erJ  r0rrrJ 3ae eeea  30huan  ih0((n nrn44are esaee00nn nn N°°sd))suuwfddutrzéiDbZDDuern dg'suzteiiltis vaotino 3n0 d Jea[[[[[ hCk3kkCgWWg0rHHe   CFCFahh1/O/On/'/aa2as2a2]0]P]]//0aaaAs]H]u dAoce00uru0 ..0i435nd00cz.dqqdEKCEKC.9050o uo200OaO0GrrGUUnEKCnuECK08aapOOddtsb22pa2,2wlualbigre Fax: +041(I0m)3p8ri5m 2e2r 35 67'1.154 0.034 78'1.379W/(mK) WkW/mh/a 19741..135 118'40..3685mm °WCCH/Fm/a 62O'1u53i47 35 72O'14u79i93mm OkkWgu iCh/On/ao2/na 913 1'065 CHF/a 2'137 40 2'493‐ kg CO2/a 14.5 14.8 °kCWh O4u0i 1 O5u0iwww.swW/(mK) mOCHumiF/non kWg ChO2 Oui Aucun appui ‐ OCkgHu CFi/On2on 40 0.000 30'731 Pas de doublage 4'332 0.90 310'763713 Aucuns 0.0 4'332 Horizontal 10'673 % Non 3'000 50 mm www.regisoCl.aclhculer ATPRLRegeeéemesrscn ptuodteé lmictsrraaa e8méltt7oc'uns0'tpa0r0eione0v0r0redgtsaeé uttciiraoqnnut esosen laaonlnen sMu deuollKievEsenn rte tmoupjloieusrsPertes énergétPieqrtues éanenrugeélltieqs u[eks Wahn/nau]elles [kWh/a] JähPrleircthees r éEnneerrggéiteivqeurlesu sta  n[nkueWllhe/sa ][kWh/a]ƟM [k1W'2h010/'0a0]0 58 6O'1u5i4 58 3'0020'500 °C 7N'1o7n9 kOWuih/n/aon Pertes coûts éPneerrtgeés ticqouûtes éanenrugeélltieqs ues annuellesJ ährliche EPneerrtgeis ecvoerûltus stéknoesrtgeént i[qCuHeFs /a]nnuelles  E Emissions de gEamz isà siefofnest  ddee  gsaezr rà e eaffnent udelel esse rre annuelles  JäEhrmliiscsiheo nCs Od₂‐e Egmaizs sài oefnfeent  [dkeg  sCerOr2e/ aa]nnuelles  1'065 CHF/a DVVDVReEeEr_SrSessII2ciGiGoo0hNNnn1e    3B3B4n.Y.Y00t1 o HH1IoS1SmlLL0_UUp_P  ‐p‐rI  RTiTrmo&&-PRAAeITrR2T_ofro_l_sFli inalV12_offenVVVEIHTEBTPDEAnEPEEEEEPERPêEEE.eepnpraaaipxouétmcccmcccccoteeeémmavalrllpenmsreetoooooooortrrrisiimaesenrsiseiiuupptttunnnnnnnnièsssonssld éeeecrréélesrsrlooooooeeoonac  teitssserreiivl tiuuhtmmmmmmnimmaoodaa    oé imm3645271imccéprrté857687eotttu451632nnn '''''''  eoouuiiiiiirniisa0000000i''''''bcmin'''''' aeeeeee pt0000se00seet000000svcrrûû0000000roeéaet  000000s      lee000000l  eeoe00000000ddédddddduattiVrV re 0000000000000  ben‐nansrsgrteddec'ee'ee vaaiééaiit v ustthèé'eav  aéé    arare!rggnngCccCereu tpnnriicisnemoaoaiaaeeOOr i,etuqdèee t zzûûnnsrrrpue₂₂r'rurr   eggattf  ààeattfrnggssaemssoiii eer   rtee(ééuupc  eesersa   ssa  éett11trra e‐ffstsuuauiir v q ffri  uqquuumuqoeepprrnieautluu  rrunnneptt‐aansuuai  vv  eee  meeuuerxrddunhn(aassss  ui  nnueeerprmeeeddl e  epraaaaeem  enl  uuuPssnloaddnnpp  uetleeerrddiltuJ. uudnenpprésépe rärruurCtrr iuuh ooorree aetdéérrhpeeéuee  sdrrééelaeerdd    ittrllméoeeaea l  ll   ''dehddeenààluunpnn  aiuiddesss  '' rfttnn uVuV1rsfrpe''iiuuu)llguui0ttEsaraiibésssiitto  eerrllladitiiaaiietoiillllisnsoqllieiaattneessaasiinucnnooaassttitenttiittinnsoooéeeii   ooenannd d 22nnns   elefdd  n  rss  ddiuee33uugeee  00orr33l  l    r33e00uuaaif00s  nnnniaaq  ssaaeennunn  sseddss)uuƟwρFdƟsrrééUdlUeieeUee,G  dd''uuttiilliissaattiioonn  ddee[[[[[  33CkkCk1gWg00HH'    68240CCFFaah110000011//OOnn000000''''/aa820026842ssa2D200000]]0000]//000e0000000aad]]anAsu,06114 KCEKC11003cs.2000024OOauEKC.KEC.n0n1OO2241s22. .2v20e011nP44teJärhtesli kg CO2/a [CHF/a] 913 12 2'5020'000 [kg CO2/a] °C 2'493 kWIsohla/tioan PIR 2'137 60 % PkCCkIRWg HH‐ IC sCFFoohml/iOeparua2rna/gisaon Dedans, sans v2e'n0t010'500 kg COVergleichsva2riante 6'154 0.2 30'731 7'179 kWh 913 m/s 1'065 CHF 2'137 1'5010'040'0332 kg CO2 40 10'673 2'493 coûts énergétiques annuelles 11 hE i l tk t 1'00035000'731 °C Isolation PIR 3'040'0332 Emissions de gaz à effet de serre annuelles Comparaison Aucun 500100'673 m Jmähmrliche CO Emissionen Isolation PIR 0 20'500 % Comparaison 0 3'000 % 10 2'000 11 h/d 1 2'500 Mois/Année m Economie46''000000 [CHF/a] [CHF/a] 600 [kg CO2/a] [kg CO2/a] 1'500 ‐ TTeemmppss  ddee35  ''ff00oo00nn00ccttiioonnnneemmeenntt  ajonunruneallier hd 800 24 24 2'000 kg CO2/kWh ha 400 12 12 1'000 CHF/100 L EmissioAnnsn déee sgaz à effet de serre annuelles SLoonugrcuee udr'24é c''n00o00en00rdguieite LR 600 100 100 1'500 Années FRaecntdeeumr se13pn''é00tc 00oi00fuiq CuOe Pdae i ngastza àll aetfifoent de serre 200 500 %/année PTerimx sppsé dc'i2af'im0q0uo00ert sisosuermcee ndt'é isnoelragtiieoPnertes énergétiques annuelles ηE Mazout Mazout Version 3.1 Durée d'u1t'0il0is0ation de l'installation τE 0.85 0.85 1'000 Emissions de gaz à effet de serre annuelles DESIGN BY HSLU ‐ T&A Augmentation du coût d'énergie PE 0.30 0 ta 400 0.30 Pertes coûts énergétiques annuelles Version 3.1 0 tn 0 100.00 100.00 500 VersiDoEnS I3G.N1 BY HSLU ‐ T&A ΔP e 1.5 DESIGN BY HSLU ‐ T&A 200 1.5 30 0 30 1.5 1.5 0 Rechentool_PIR-RT2_fr_sli Pertes énergétiques annuelles 14.11.201P4ertes coûts énergétiques annuelles Rechentool_PIR-RT2_fr_sli 14.11.2014 Rechentool_PIR-RT2_fr_sli 14.11.2014 1

Qu’il s’agisse d’une protection contre la chaleur ou contre le froid, le résultat est automatiquement calculé par le système en fonction des données saisies pour la température ambiante et la température de l’agent caloporteur/frigorigène.pprrooPPIIRR OReucthil ednet ocoallc PuIlR P‐RIRT‐2RT2 OObbjjeekkttnnaammee RRéessuullttaattse  pWroätremcetisocnh uthtzermique sEwlriis AspGor AG OObbjjeekkttoorrtt IGnedwuesrtbreisetsratsrsaes 3se PIIsRo l‐a Itsioolnie PruIRng VeCrgolmeipchasravaisroiannte VVaarriiaannttee  11 VVaarriiaannttee  22 Résultat du calcul thermiqueCCTeHHl‐:‐4 5+50654221 3 D( 0eB)r3oe2ns dw6i8ni1gl e3n3 11 TFeaxl :  ++04411 ((00)3) 25 668 26 7158  0958 98 RTéesiluelrtgaetsb npiasrstei edles rd Bue craelcchunl ung 00..003311 00..003366 14.5 14.8 Fwawx w+4.e1l r(i0.c)h 56 678 98 99 CWoänrdmuectleibitifliäthéi gthkeritm bieqiu Deä àm lam tmemittpeéltreamtupreer amtuory e3n5 n°eC d'isolation 35 °C  BB WW//((mmKK)) U °C www.swisspor.ch Oberflächentemperatur Regisol AG proPIRECSlcHrh‐iw3 A2a9Glb2e Bnuwsesgw 3il bei Büren Outil de calcul PIR‐RT2Pertes de chaleur q rad 7.1 8.3 W/m qRrlad,wbr 76..15 85..35 Wm/2Km/(Wm) GTeel:w +e04rb1 e(0s)t3r2a 3s8s5e  232 33 FLleuixs tduen gcehnaleur radial q rad 7.1 8.3 WO/bmjektname CFaHx‐: 4+504512( 0D)3e2r 3e8n5d 2in2 g3e5 n RFläléunsxgu edltneab tcesh zpaorlgeoeutner certrai odWniaä ltr h(mienercmdl.u ipqrcouhneltass sthweidrmerisqtuaensd) q rad,wbr 7.1 8.3 W/mObjektort Wärmestrom rad. Twewl: w+0.r4e1g i(s0o)l3.c2h 681 33 11 Wärmestrom rad. inkl. Wärmebrücken U Isola1t4io.5n PIR Com1p4a.r8aison °C VariOaunite 1 VariOaunite 2 Oui/non Fax: +041(0)32 682 15 05 Protection contacts fortuits U 14.8 °C Températur de surface B 14.5 0.0Ja36 Wja/n(meiKn) IswsICnnwwHwdd‐iuiu5swss6ssts2r.ptpie3reoi slBerrtoir s.AastcswrGshaeilsse 0.0Ja31 CRTeHelg ‐ 5+is46o12 l( 30A )B G5o6 s6w78il 98 98 VBaelreüuhrr luimngistesc phruottzection contacts fortuits inférieure (40°) STFceahxl  w+ +4a41l 1(b0 e()0 n5)6w  56e67g8 6  39788 9 998 98 ROébseurlftlaätcsh peanrtteiemlsp edrua tcuarlcul CFwaHwx‐ 3w+24.9s1w2 ( i0Bs)su p5sos6wr 6.ci7lh 8b e9i8 B 9ü9ren CGornednuzwcteibrti lBiteér tühherrumngiqsusceh àu tlza  utenmteprsécrhartiuttreen m (4o0y°e)nne d'isolation 35 °C wTewl:w +.0s4w1i s(0s)p3o8r5. c2h2 33 Epaisseur isolation selon MuKEn dG 40 50 mm Fax: +041(0)385 22 35 Epaisseur isolation selon normes (λD à 10°C) qdrGad O74.u10i N85o.30n OWmu/mim/non wElwri wAG.regisol.ch RPDeärcmtoems msdteäa rcnkhdeaa nlteiaoucnrh  sMeluoKnE Mn uKEn remplies q rad,wbr 7.1 8.3 W/m Gewerbestrasse 3 FLGeluesxs d editrezel iccchthiavele eDsu äcrma rnamtdosiantälarlkees  (dλoDiv beeni t1 t0o°uCj)ours Ja Nein ja/nein êFAltunrexfo  drreedm ecrhpualnielgeseu!nr rnaadciha lM (iunKclE. np oenrftüsl ltth?ermiques) CH‐4552 DImDerrpeurncidmkienengren Die Kantonalen Energievorschriften müssen immer Tel: +041 (0)32 681 33 11 Fax: +041(0)32 682 15 05 Reéinsguelthaatlsten werden! www.elri.ch Perortesc téionne rcgoénttiqauctess  faonrtnuuiteslles [kWh/a] E 6'154 7'179 kWh/a PTReeemrstueplsté arctaoetûutrs  déen esurgréfatciqeues annuelles K U 1941.35 11'046.85 C°CHF/a Regisol AG [CHF/a] CEO 2 26O''11u35i74 27O''41u97i39 OkkgWu Ci/hOn/o2a/na Schwalbenweg 3 EVJämahleirsulsiciro hlniemsr idEten epgrargozie tàev ectrfilfouenstt d coen stearcrtes  afonrntuueitlsle isnférieure (40°) [[kkgW ChO/2a]/a] 913 1'065 CHF/a CH‐3292 Busswil bei Büren K 2'137 2'493 kg CO2/a Jährliche Energieverlustkosten [CHF/a] CO 2 EJäcohnrloicmheie C VOa₂‐rEiamnitses i1o npeanr rapport à Variante 2 sur une durée d'utilisation de [3k0g  aCnOs2/a] Tel: +041 (0)385 22 33 Ecpoanisosmeuier  idso'élanteirognie s esulorn u Mneu dKuEnrée d'utilisation de 30 ans E 30'731 kWh Fax: +041(0)385 22 35 EEpcinoasnisposameruuiern  igds oeVl acotriûoatns t seseu 1lro  gunen ngeoe drnmuürbeéese r(  dλVD'au rtàiia l1ins0at°etCi o2)n ü dbee r3 e0i naen sNutzungszeit von 30 Jahre d GK CmHmF www.regisol.ch REEceinocsnopomamrmuiena ngd dEean CteiOorg₂n i sesu eürlb ouennr e Me diunuKerE éNneu  rtdez'umuntpigllisisezaestiito vno dne 3 300 J aahnrsen CEO2 40 4'332 50 kkgW ChO2 K 1300''677331 Non OkCguH iCF/Ono2 n Imprimer LêEEetiirnnse ssd ppriaaererrmuucptnnilggvie  eKCssoO! cs₂at üenbntoe ünrb aeeliern see  idNnoeui vtNzeuunnttzg utsonzuegjsiotz uevoirtsn v 3o0n  J3a0h Jraehnren  CO2 4'332 Oui 10'673 8'000 1'200 3'000 Pertes énergétiques annuelles [kWh/a] JähPrelirtcehse ré Ennererggéitieqveurelsu sat n [nkueWllhe/s a[]kWh/a]PReérstueltsa é87t'ns'00e000r0gétiques annuelles Pertes coûts énergétiques annuellesJ ährliche EPneretregis ecvoeûrltsu sétknoerstgeétni [qCuHesF /aa]nnuelles [kW1'2h10'/00a0]0 E 6'154 Emissions de gaz à effet de serre annuelles  JEähmriliscsihoe nCs Od₂‐e Egamiz ssài oefnfeetn  [dke g sCerOr2e /aa]nnuelles  3'020'0500 7'179 kWh/a K 913 1'065 CHF/a EPmeritsessio c76no''00sû0 0dt00se  égnaezr àg éetfifqeut edse a snenruree lalensnuelles [CHF/a] CO 2 2'137 2'520'0000 2'493 kg CO2/a 65''000000 [kg1 '0C0O0820/0a] E 2'010'0500 Emissions de gaz à effet de serre annuelles Isolation PIR EEccoonnoomm54i'i'0e0e00  d0V0'aérniaenrgtiee  1s upra ur nraep dpuorréte à d V'uatriiliasnatteio 2n  sduer  3u0n aen dsurée d'utilisation de 30 8a0n06s00 [CHF/a] K [kg CO2/a] 30'731 Jährliche CO Emissionen Econom43i''0e000 d00e coûts sur une durée d'utilisation de 30 ans  CO2 kWhComparaison Econom32i''0e000 d00e CO₂ sur une durée d'utilisation de 30 ans 600400 1'510'0040'0332 CHFPIR ‐ Isolierung 10'673 kg COVergleichsv2ariante Version 3.1 281'''000000000 Pertes énergétiques annuelles 400200 Pertes coûts énergétiques annuelles DESIGN BY HSLU ‐ T&A 17''0000000 Jäh li h E i l 1'200 Jäh li h E i l tk t 1'000500 11 Version 3.0 200 0 3'000 DESIGN BY HSLU ‐ T&A 6'0000 1'0000 1140..1014..22001144 500 0 Isolation PIR 2'500 Comparaison 5'000 800 0 2'000 RVe_c2h0e1n4t0o1o1l_0P_IpRr-oRPTIR2T_foro_ls_liFinalV12_offen.xlsm [CHF/a] 600 [kg CO2/a] 1'500 4'000 3'000 400 1'000 2'000 200 1'000 500 Version 3.1 pprrooPPIIRRDESIGN BY HSLU ‐ T&A ROeucthil0e dneto coall cPPeurIteRls  éPn‐eRrIgéRTtiqu‐2eRs anTnu2elles 0 0 Pertes coûts énergétiques annuelles Emissions de gaz à effet de serre annuelles RReéssuullttaattes  Wpräortmecetsiochnu tthzermique VerCgolemicphasrvaairsioannte OObbjjeekkttnnaammee ERslweric iAshseGpnotoro Al_GPIR-RT2_fr_sli 14.11.2014 VVaarriiaannttee  22 OObbjjeekk1ttoorrtt 00..003366 GInewdeursbtersiterasstsrea s3se PIIRso ‐l aIstoioline rPuInRg 14.8 WW//((mmKK)) TCCeHHl‐:4 ‐+550546212  D(30e )rB3eo2n ds6iw8n1gi le3n3 11 VVaarriiaannttee  11 °C Résultat du calcul frigorifiqueFTaex:l  + +04411(0 ()03)2  56862 6 1758 0 598 98 wFawxw +.4e1lr i(.0ch) 56 678 98 99 www.swisspor.ch l'oupprtoroPiPIpRppplpIrRrrrooooPPPPPdIIIIIRRRRR eOOuutcitlRROi Olde eaudeucteh ticil ela cl dnadlcetcleuoc c uolca ulRegisol AG TReéisleurlgtaetbsn pisasret ideelsr  dBue rceaclchunlung  BB 00..003311 WCoänrmdueclteiibtfiläithéig tkheeitr mbeiqi uDeä mà mla mteitmteplétermatpuerera mtuory 3e5n °nCe d'isolation 35 °C U 14.5 Oberflächentemperatur SEclhrwi aAlbGenweg 3 Pertes de chaleur laPl cPlIcRuIuRl‐ Rl‐P RRPTITRIT2R2‐2R‐RTT22CTGeHle‐:3 w+209e42r1 b B(0eu)ss3stw2r ai3l s8bs5ee i2 B 23ü 3re3n LFeluisxt udneg cehnaleur radial q rad 7.1 8.3 W/m 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[kg CO2/a]2'0010'500 565172172.545''''''10461045566679769.545.9535934566 66..55 kC%kPVCkkkkkCkCkIeRgWHrWgWggWW HgHH‐ kC%k lkCI e  CFICsCsFCCFFhiWgogoHchhHohh/lOhm//liO OO/ aes/a/FCaCFtpavrhah2iauaa2ao/22O2/nrO/rn//ia/agaa aaPia2ansa2Iot/Re/naa %% 505050000 30'731 303730077 55554466 kkWWhh//aa 1'5010'040'3032 550000 CCHHFF//aa 330077 kkgg  CCOO22//aa 10'673 1'000500 30'731 36'055370332202327706004''''''3110053527050447300000000077286''400095330003'''072767637733824773972223313289 kCWHFh kkCCkkgWHggH kkCkCk  CFCCFhgWWgHHOO O FCCFhh222OO22 PPeerrPtteJeerätss  heéérsl innJéttceeänuuhrrheggyyerrrlaaéé igttcEuuiié))hnt  qqi[[eeuuqrkkr PeeguEisseWW  erenshhtaa ve//ernnaesaargnn nli]]éuuneusneevulltell e lrreel[lgsseku  és((st tiWaa[  qhkuu[  /ukWae]shW /haa/n]an]uelles [kWh/a] 667744E33m99issions de gaz à effet de serre annuelles kkWWhh 55777722 Jährliche CO Emissionen CCHHFF 33772288 kkgg  CCOO22 3503235'550001210''550000 335500 11 Jährliche Energieverlustkosten  [CHF/a] [kg CO2/a] [kg CO2/a] IIssoollaattiioonn  PPIIRR Pertes coûts énergétiques annuelles  Pertes coûts é [nCerHgFé/tai]ques annuelles  Emissions de gaz à effet de serre  Emissiaonnns udelel egsa [z kà g eCffOe2t /da]e serre  300 EEmmiissssiioonnss  ddee  ggaazz  àà  eeffffeett  ddee  sseerrrree   CCoommppaarraaiissoonn 3002235'000001210''000000 aannnnuueelllleess  [[kkgg  CCOO22//aa]] Pertes énergétiques annuelles (au  250250 330000 Pertes énteurgyaétui) q[ukesW ha/nan]uelles (au  2002120'0500010'550000 [CHF/a] [[CCHHFF[//Caa]]HF/a] 225500 PIR ‐ Isolierung IsIsoolalatitoionn P PIRIR tuyau) [kWh/a] 150 VerPgIRlIes i‐oc Ilhsaostviloiaenrriu aPnnIRgte CCoommppaararaisisoonn 1501110'5000010'0000 220000 VIseoCrgloalmeItsiiocphnlaas rtPvaiaoIiRsrnoia nPnItRe 115500 ComCpoarmapisaornaison EEmmiissssiioonnss  ddee  ggaazz  àà  eeffffeett  ddee  sseerrrree  aannnnuueelllleess 10015050000500 110000 50 5000 0 5500 1 00 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Economies Comparaison énergétique d’isolations de conduite en PIR et en laine de roche Unité PIR Laine de roche Conductivité thermique déclarée à 10 °C λD 0.028 0.034 Diamètre intérieur mm 35 35 Epaisseur d’isolation mm 40 40 Longueur de la conduite m 100 100 Température ambiante °C 12 12 Température de l’agent °C 58 58 Agent énergétique Mazout Mazout Prix de l’énergie CHF/100 l 100 100 Durée d’utilisation de l’installation Année 30 30 Perte énergétique annuelle kWh/an 6154 7179 Coûts énergétiques annuels CHF 913 1065 Emissions annuelles de CO2 kg / an 2137 2493 Economies permises par le PIR en comparaison de la laine de roche, sur une durée d’utilisation de 30 ans Energie kWh 30‘731 Coûts énergétiques CHF 4‘332 CO2 kg 10‘673 Le tableau ci-dessus montre très clairement la différence de performances entre une isolation en PIR et une isolation en laine de roche de même épaisseur. Pour une longueur de conduite de 100 m, l’isolation en PIR permet d’économiser quelque 30 000 kWh sur 30 ans. Il faut par ailleurs noter que la laine de roche de 40 mm d’épaisseur ne satisfait pas aux prescriptions légales du MoPEC. 16

Comparaison énergétique de conduites avec isolation en PIR et sans isolation Isolation thermique par mètre linéaire Unité PIR Pas d’isolation Conductivité thermique déclarée à 10 °C λD 0.028 35 Diamètre intérieur mm 35 Epaisseur d’isolation mm 40 Longueur de la conduite m1 1 Température ambiante °C 12 12 Température de l’agent °C 58 58 Agent énergétique Pompe à chaleur Pompe à chaleur Prix de l’énergie CHF/kWh -.20 -.20 Durée d’utilisation de l’installation Année 30 30 Perte énergétique annuelle kWh/an 62 497 Coûts énergétiques annuels CHF 6 45 Emissions annuelles de CO2 kg/an 3 27 Economies permises par le PIR en comparaison d’une absence d’isolation, sur une durée d’utilisation de 30 ans Energie kWh 13‘066 Coûts énergétiques CHF 1‘118 CO2 kg 722 Les chiffres sont éloquents! Pour chaque mètre linéaire de conduite non isolée, les pertes énergétiques annuelles s’élèvent à 435 kWh. Il vous en coûte chaque année CHF 39.00 et cela représente également 24 kg d’émissions supplémentaires de CO2 dans l’environnement. 17

Economies Comparaison énergétique de conduites avec isolation en PIR et en caoutchouc sans halogènes Isolation frigorifique Unité PIR Caoutchouc sans halogènes Conductivité thermique déclarée à 10 °C λD 0.028 0.041 Diamètre intérieur mm 35 35 Epaisseur d’isolation mm 40 25 Longueur de la conduite m 100 100 Température ambiante °C 18 18 Température de l’agent °C 6 6 Agent énergétique Pompe à chaleur Pompe à chaleur Prix de l’énergie CHF/kWh -.20 -.20 Durée d’utilisation de l’installation Année 30 30 Perte énergétique annuelle kWh/an 1403 2670 Coûts énergétiques annuels CHF 126 241 Emissions annuelles de CO2 kg/an 78 148 Economies permises par le PIR en comparaison du caoutchouc sans halogènes, sur une durée d’utilisation de 30 ans Energie kWh 38‘001 Coûts énergétiques CHF 3253 CO2 kg 2101 Une isolation sans halogènes avec du caoutchouc (le PIR est lui aussi sans halogènes) ne permet d’obtenir les valeurs requises pour empêcher la formation d’eau de condensation à la surface et l’augmentation d’humidité dans le matériau isolant qu’à partir d’une épaisseur d’isolation de 25 mm. Outre les coûts énergétiques, il faut donc compter sur des coûts de fabrication encore plus élevés. 18

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Recommandations pour l’application et l’exécution Les systèmes d’isolation swissporKISODUR conviennent à la fois aux applications directement accessibles (par exemple: centrales et locaux de distribution) et aux plafonds intermédiaires (ventilés ou non), aux cavités et aux canalisations à grande distance (dans des canaux praticables ou non). Ils peuvent également être utilisés pour les conduites extérieures. Emplacement de la conduite Type Directement accessible (locaux de distribution, centrales, canaux Doublage en feuille PVC, gaine d’aluminium/PET, gaine d’alumi- praticables, etc.) nium à gros grain ou tôle de métal léger Dans les plafonds intermédiaires (ventilés ou non) ou dans les Doublage en feuille PVC, gaine d’aluminium/PET ou gaine d’alu- cavités minium à gros grain Dans les canaux non praticables Doublage en tôle de métal léger Dans la terre sèche Systèmes spéciaux préfabriqués Dans la terre traversée par des eaux souterraines Systèmes spéciaux préfabriqués A l’extérieur Doublage en tôle de métal léger, ventilée, à points fixes et points flottants, permettant l’écoulement de l’eau de condensation Généralités Les prestations à exécuter au préalable, l’encombrement et les propriétés des surfaces de l’objet à isoler doivent être contrôlés par le mandataire. En cas de doute sur la faisabilité du type d’isolation prévu, il convient d’en informer le mandant par écrit. Le cas échéant, l’objet à isoler doit être protégé contre la corrosion. Afin de garantir une isolation irréprochable, les conditions ci-dessous doivent être remplies. ∙ L’installation est hors service et sèche. ∙ Le sol ne présente ni obstacle ni salissure importante. ∙ L’objet est muni de fixations pour l’ossature. ∙ Les éléments installés sur l’objet, tels que les brides et plaques signalétiques, doivent être dimensionnés de telle sorte que les raccordements, les dispositifs de lecture et de mesure et les inscriptions des plaques signalétiques soient situés à l’extérieur de l’isolation. ∙ Les appuis permettent de fixer correctement les isolants, les barrières pare-vapeur et les gaines. ∙ Les passages tubulaires dans les murs et les plafonds doivent être conçus de façon à respecter l’épaisseur d’isolant et à permettre l’exécution du système d’isolation prévu. Toutes les prescriptions en matière d’ignifugati- on doivent être respectées. ∙ Afin de réduire le risque de pénétration de l’humidité dans les canalisations extérieures horizontales, il convient de fixer les accessoires de tuyauterie en dessous du plan horizontal traversant l’axe de la conduite. ∙ L’isolation doit pouvoir être montée sans entrave. ∙ Les travaux de soudage sur l’objet ont été effectués et l’installation a été contrôlée. ∙ Les travaux de collage des métaux sur l’objet ont été effectués. ∙ L’installation ne doit pas être mise en service avant l’achèvement des travaux d’isolation. ∙ Les pièces de l’installation revêtues d’une isolation ne doivent pas servir à la fixation d’autres installations. 20

Exigences ∙ Eviter au maximum les ponts thermiques. ∙ La protection contre la corrosion ainsi que les divers éléments du système d’isolation (colle, isolant, barrière pare-vapeur, gaine, etc.) doivent pouvoir être combinés sans aucun problème. Il convient également de s’assurer de la compatibilité des différents matériaux. ∙ Afin de limiter les risques de corrosion, les métaux présentant différents potentiels électriques ne doivent pas se toucher. Il faut au besoin prévoir des éléments de séparation. ∙ Les systèmes d’isolation doivent être montés de manière à permettre le montage et le démontage de modules sans endommager l’isolation. Ecartements minimaux requis entre les conduites (en mm) Support Appuis Il convient d’éviter tout contact direct de l’objet à isoler avec les suspensions, fixations, fondations, etc., et d’intercaler des appuis en matériaux isolants présentant une grande résistance à la pression. Les contraintes de compression admissibles pour les charges permanentes sur ces matériaux isolants ne doivent jamais être dépassées. En cas de résistance insuffisante, il est possible d’utili- ser des appuis en matériaux présentant une conductivité thermique plus faible, par exemple du bois dur. Appuis dans les suspensions et fixations Les appuis doivent être au moins aussi épais que la couche d’isolation contiguë. Pour les appuis mobiles, on peut utiliser des iso- lants résistant à la pression; pour les appuis fixes, il faut utiliser des matériaux présentant une conductivité thermique plus faible et pouvant absorber les pressions et les poussées, par exemple du bois dur, de la mousse rigide PUR/PIR à haute masse volumique apparente ou du bois stratifié. Ossatures Les ossatures transmettent le poids du système d’isolation et les forces qui s’y appliquent vers des supports ou directement sur l’objet isolé. Les ossatures génèrent inévitablement des ponts thermiques. Afin de limiter leurs effets, on fixe des pièces moulées, par exemple en mousse rigide PUR/PIR ou en verre cellulaire, directement sur l’objet. L’ossature ne doit alors plus absorber que les charges provenant de la gaine et éventuellement les forces qui s’y appliquent. Les pièces de l’ossature servant à la fixation de la gaine peuvent être fixées au-dessus de la barrière pare-vapeur. Charpentes d’appui Les charpentes d’appui maintiennent la gaine à une distance adéquate de l’objet lorsque l’isolant ne peut assurer lui-même cette fonction. On utilise en général des coquilles, segments ou autres pièces moulées en matériaux isolants résistant à la pression, en matières plastiques ou en bois. Les charpentes d’appui ne doivent pas traverser la barrière pare-vapeur. Produit hydrofuge (pour les conduites frigorifiques) Le produit hydrofuge doit être appliqué en quantité suffisante sur la surface de la conduite ou à l’intérieur des coquilles d’isola- tion de façon à garantir l’absence de vide entre l’isolation et la conduite et empêcher ainsi la pénétration d’humidité. Le produit doit être choisi en fonction de la plage de températures de service de l’installation. Le produit hydrofuge doit être adapté au système et compatible avec les matériaux contigus. 21

Recommandations pour l’application et l’exécution Isolant L’isolant doit satisfaire aux exigences définies au cours de la phase de planification. Il convient d’éviter les vides entre l’objet et l’isolant. Les coquilles d’isolation doivent être posées de manière jointive et à joints décalés. En cas d’application d’une couche supplémentaire, il convient de recouvrir correctement les joints de la première couche. L’isolant doit être protégé contre les intempéries et les dommages mécaniques par des mesures adaptées. Le diamètre intérieur des coquilles, coudes et segments correspond au diamètre extérieur de la conduite. En cas d’utilisation de produit hydrofuge, cette épaisseur supplémentaire doit être prise en compte. Il convient d’éviter l’isolation commune de conduites transportant un agent frigorigène ou caloporteur à des températures différentes. Barrière pare-vapeur (pour les conduites frigorifiques) Généralités La barrière pare-vapeur doit recouvrir l’isolant de manière à le rendre le plus étanche possible à la vapeur d’eau. Elle doit être parfaitement efficace, y compris au niveau des perçages, transitions, raccords, appuis, charpentes, etc. Le support de la barrière pare-vapeur doit être sec et propre. Les irrégularités grossières en surface doivent être égalisées. Barrières pare-vapeur pour coquilles d’isolation PIR Les barrières pare-vapeur peuvent se composer de feuilles collées sur toute la surface (par exemple des feuilles métalliques, plastiques, composites, d’aluminium / PET), de revêtements à base de bitume ou de matières synthétiques liquides. Les bandes pare-vapeur doivent être enroulées sans cavités ni plis. Il convient de respecter les chevauchements minimaux préconisés par le fabricant – en règle générale ≥ 30 mm. Les pâtes de revêtement pare-vapeur peuvent être appliquées à la spatule, au pistolet ou à la main. Le revêtement doit présen- ter une épaisseur régulière et ne doit pas contenir de bulles. En cas d’utilisation d’un bandage dans le revêtement, celui-ci doit être en matériau à cellules ouvertes pour assurer la parfaite liaison des différentes couches du revêtement. Le bandage doit être entièrement recouvert. L’épaisseur déterminante est celle de la couche sèche. Barrière pare-vapeur sous forme de doublage Les doublages en tôle, films plastiques ou en tout autre revêtement peuvent servir de barrière pare-vapeur si le matériau satis- fait aux exigences imposées, par exemple en ce qui concerne l’intensité de l’effet pare-vapeur, y compris au niveau des fins de conduites, moulures, collages, joints, perçages, etc. Couche de protection entre la barrière pare-vapeur et le doublage (pour les conduites frigorifiques) La barrière pare-vapeur ne doit pas être exposée à des risques d’endommagement pendant la phase de construction et d’ex- ploitation. Si, par exemple, le doublage est vissé ou riveté, la barrière pare-vapeur située en dessous doit être protégée contre le risque de détérioration par une couche de protection (rembourrage) se présentant par exemple sous la forme de bandes de mousse polyéthylène, de bandes de feutre de verre ou autre. La couche de protection ne doit pas être prise en compte dans le dimensionnement de la couche isolante. Il convient cependant de tenir compte des éventuels effets de la condensation. Doublage Généralités Le doublage joue le rôle de protection mécanique et, le cas échéant, de barrière pare-vapeur, de protection contre les intempéries et de coupe-feu. Il convient de veiller à ne pas endommager la barrière pare-vapeur au cours du montage du doublage. Si un doublage vissé sert également de barrière pare-vapeur, tous les joints, perçages, moulures et fins de conduites doivent être aussi étanches que possible à la vapeur d’eau. En cas de risque de pénétration de liquide (p. ex. de l’eau) dans l’isolation, le doublage doit impérativement être étanche. 22

Doublage en tôle Les tôles doivent être moulurées, les joints circulaires bordés. Les joints longitudinaux peuvent être bordés ou pliés à l’équerre. Doublage en gaine d’aluminium (classique ou à gros grain) Les joints circulaires collés doivent se chevaucher d’au moins 50 mm, les joints longitudinaux collés d’au moins 30 mm. Res- pecter les préconisations du fabricant Doublage en feuilles plastiques rigides (feuilles PVC rigides) Les joints circulaires doivent se chevaucher d’au moins 50 mm, les joints longitudinaux d’au moins 30 mm. Respecter les préconisations du fabricant. Divers Colles Les colles ne doivent en aucun cas altérer les propriétés des pièces assemblées et des matériaux voisins. Respecter les consig- nes d’utilisation du fabricant. La colle utilisée ne doit provoquer aucune nuisance olfactive susceptible d’entraver l’utilisation des locaux. Isolation des accessoires de tuyauterie Les accessoires de tuyauterie sont par exemple les vannes, robinets, brides et filtres. Les accessoires de tuyauterie doivent être isolés au moyen de protections pouvant à tout moment être facilement démontées pour les opérations de maintenance ou de réparation et pouvant ensuite être remises en place sans aucun impact sur le pou- voir isolant. L’isolation de la conduite doit se terminer devant l’accessoire de tuyauterie, à une distance permettant son retrait et son remplacement. Les protections doivent chevaucher l’isolation de la conduite sur une distance correspondant à l’épaisseur de l’isolant. Dans la mesure du possible, il convient d’utiliser une même épaisseur d’isolation pour les accessoires de tuyauterie et pour le système de conduites. La barrière pare-vapeur de la protection doit former une liaison continue et étanche avec la barrière pare-vapeur de l’isolant recouvrant la conduite. Tous les joints et transitions doivent être colmatés à l’aide d’une pâte étanche à la diffusion. Ces mesures peuvent poser problème lors du démontage et, dans certains cas, impliquer le remplacement d’anciennes protec- tions par de nouvelles au terme des opérations de maintenance sur les accessoires de tuyauterie. Protections en plastique La couche isolante se compose en général de mousse PUR de qualité supérieure, sans CFC, qui est protégée contre les dom- mages mécaniques par une enveloppe en plastique résistante. Les protections en plastique sont fabriquées industriellement. Le spécialiste de l’isolation ajuste les protections préfabriquées au système d’isolation de la conduite de façon à obtenir une grande précision de montage. Protections en métal Le caisson en métal léger, fabriqué par le calorifugeur-tôlier, est revêtu de nattes en caoutchouc, de laine de roche ou d’élé- ments PIR préfabriqués, puis ajusté au système d’isolation de la conduite de façon à obtenir une grande précision de montage. Les protections en tôle peuvent également être remplies de mousse PUR in situ, sur le chantier, ce qui implique leur destruction en cas de démontage. Distributeurs et accessoires de tuyauterie non isolés thermiquement L’eau se condensant sur les distributeurs et/ou accessoires de tuyauterie non isolés thermiquement doit être collectée et éva- cuée à l’aide d’un dispositif approprié. Charge électrostatique La mise à la terre est obligatoire en cas d’utilisation de matières pouvant accumuler une charge électrostatique en atmosphère explosible, par exemple des gaines revêtues de matière plastique ou des matières plastiques non conductrices. Ces travaux doivent impérativement être confiés à une entreprise spécialisée. 23

Prescriptions et normes ∙ Norme SIA 279 Matériaux de construction isolants – Registre Caractéristiques de matériaux de construction ∙ Norme SIA 118 / 380:2007 Conditions générales relatives aux installations du bâtiment ∙ Norme SIA 380.30 : SN EN ISO 13787 Détermination de la conductivité thermique déclarée (ISO 13787:2003) ∙ Norme SIA 380.302: SN EN ISO 8497 Isolation thermique – Détermination des propriétés relatives au transfert de chaleur en régime stati onnaire dans les isolants thermiques pour conduites ∙ Norme SIA 380.303: SN EN ISO 12241 Isolation thermique des équipements de bâtiments et des installations industrielles – Méthodes de calcul ∙ Norme SIA 380.304: SN EN 14114 Performance hygrothermique des équipements de bâtiments et installations industrielles – Calcul de la diffusion de vapeur d’eau – Système d’isolation de tuyauteries froides ∙ Norme SIA 279.312+A1: SN EN 14308 Produits isolants thermiques pour l’équipement du bâtiment et les installations industrielles – Produits manufacturés en mousse rigide de polyuréthane (PUR) et en mousse polyisocyanurate (PIR) – Spécification ∙ EN 13501-1 Classement au feu des produits et éléments de construction - Partie 1: Classement à partir des données d'essais de réaction au feu ∙ Modèle de prescriptions énergétiques des cantons MoPEC, dans sa dernière édition ∙ Loi fédérale sur les produits de construction (LPCo) ∙ Ordonnance sur les produits de construction (OPCo) Directives des associations professionnelles ∙ Isolsuisse: association des entreprises suisses d’isolation ∙ BCI (Industrie chimique bâloise) «Isolations thermiques» ∙ Fiches de travail de l’AGI (Arbeitsgemeinschaft Industriebau e.V.) ∙ Directives VDI (Association des ingénieurs allemands) 24

Plus d'informations sur www.swisspor.ch Dispositions applicables Les présentes bases de planification ne sauraient être appliquées de manière systématique à la conception d’isolations de conduites de chaleur ou de conduites frigorifiques en coquilles PIR, quelles qu’elles soient. Elles sont davantage conçues comme un document de référence destiné aux ingénieurs d’études et aux techniciens. Les données indiquées ont été établies à partir de l’état actuel de la technique et de notre expérience, sous réserve de modifications en fonction de l’application concernée. Les présentes bases de planification ne prétendent pas être exhaustives et ne possèdent aucun caractère juridiquement obligatoire. Les normes et directives actuellement applicables à la conception, au dimensionnement, au choix des matériaux, à la pose, à la protection contre la chaleur, le froid, l’humidité, le bruit et les incendies doivent être respectées. 25

Notes 26

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160295 by sli F/CH-Version 05/2016 swisspor AG Vente Support technique Produits et services du groupe swisspor Bahnhofstrasse 50 swisspor AG swisspor AG CH-6312 Steinhausen Industriestrasse Industriestrasse Tél. +41 56 678 98 98 CH-5623 Boswil CH-5623 Boswil Fax +41 56 678 98 99 Tél. +41 56 678 98 98 Tél. +41 56 678 98 00 www.swisspor.ch Fax +41 56 678 98 99 Fax +41 56 678 98 01


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