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Carnet Champagne juin 2011

Published by pietssw, 2016-07-11 09:15:44

Description: Carnet Champagne juin 2011

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CARNET D’ESCAPADES EN CHAMPAGNE – ARDENNES (MARNE) 14 JUIN – 18 JUIN 2011« Les touristes veulent toujours aller là où il n'y en a pas. »Bonjour à toutes et tous qui me liront.. un jour peut être .. une fois ( en bruxellois dans le texte) !Bon voilà que les fourmis me disent de prendre la tangente vers des cieux plus cléments qu’ici.( froid et gris)Beaucoup d’air et histoires nous attendent Viviane et moi pour ce court séjour dans la forêt d’Argonne dansle département de la Marne, (on profite d’un Bongo offert en guise decadeau à Viviane) à Hôtel le Tulipier.En ce mardi 14 juin au matin qui en fait débute mal puisque ma voitureelle ne démarre pas (9hrs) ! Je vous passerai l’historique desdépannages ! je résume batterie défectueuse..appel eurocare « miseen route ».. vers le garage pour plus de sécurité… re-panne.. et« traction jusque mon garagiste ».Finalement on perd la journée et on se rendra directement vers notre Hôtel « Le Tulipier » à Vienne-le- Château. Accueil sympa et très Champagne .. une coupe offerte en guise d’apéro ( pas terrible.. un peu passé à mon gout !.. ) et on oublie les soucis du jour et je dirait même plus ! Après ce diner des plus gastronomiques, qui démarre mal à cause du vin une bouteille d’AOC graves bouchonnée ! Mais bon cela arrive … composé de foie gras, coquilles St .Jacques, filet de bœuf tendre, fromages et dessert. La nuit sera nécessaire pour la suite du programme. 15 juin – Mercredi. Un petit –déjeuner buffet et nous voilà en routevers St-Menehould. La journée s’annonce ensoleillée, donc lapriorité sera donnée au grand air. Un passage par l’office dutourisme pour nous documentées et nous découvrons la cité parune promenade dans la ville parsemée de monuments àdécouvrir dont le relais de poste où fut découvert la fuite deLouis XVI ..et pris en chasse jusque Varennes- en- Argonne ou ilsera pris en captivité avec la fin que l’on connait ( couic ), lastatue de « Sainte Menehould », son église et en final la statue de« Dom Pérignon » l’inventeur du vin à bulles .. Communément appelé champagne. La fin de matinée sera elle aussi toute aérée avec une balade dans les bois « le sentier Botanique couplée au parcours de santé.. la végétation de cette zone présente un intérêt certain, du à sa variété, à sa relative richesse en espèces. Ces dernières sont identifiées par plaquettes amovibles. Un piquenique complétera cette promenade dans les bois d’Argonne. L’après midi sera couverte donc nous nous dirigeons vers les hauts lieux de la Bataille de la marne.

Le site de la « Bataille de Valmy » sera notre prochain arrêt, et surprise il s’agit non pas de la guerre 14-18comme cela semblerait le croire vue le coin ! mais bien de la Révolution FrançaiseHistoireA la mi-septembre, au nord et au nord-est, les généraux Dumouriez et Kellermann regroupent leurs troupes tant bien que mal. Kellermann s’installe près de Sainte-Menehould, sur les hauteurs du village de Valmy, dominé par un moulin. Celui-ci pourrait facilement servir de point de mire à l’ennemi pour ajuster son tir d’artillerie : Kellermann le fait brûler. Et on attend. On attend le duc de Brunswick qui, lui, a reçu ses instructions du roi de Prusse, resté à Verdun, puis a quitté cette ville pour se diriger maintenant vers Valmy. Les Prussiens sont confiants, ils ont organisé des festivités les jours précédents etont porté de nombreux toasts au champagne à la défaite des armées révolutionnaires et à la libération prochaine de la famille royale.1792 : Drôle de bataille à Valmy Nous sommes le 20 septembre 1792, il est sept heures du matin, le jour se lève à peine, il pleut à verse (comme les jours précédents) et il y a encore du brouillard. Et quand le brouillard se lève… on aperçoit les Prussiens( 112.000 hommes) ! Ils sont commandés par le duc Charles-Guillaume-Ferdinand de Brunswick et, bien qu’ils aient été affaiblis par une pénible marche de nuit et des attaques sporadiques de bandes de paysans isolées, affichent une supériorité évidente aux armées françaises. Comme il est d’usage depuis l’invention du canon, on commence par bombarder l’adversaire pour l’affaiblir avant, logiquement, de se ruer à l’assaut à cheval puis de lui régler son compte à la baïonnette. Côté Français( 50.000 hommes), soyons clairs, on n’en mène pas large. L’enthousiasme du début est un peu retombé et on se prépare à subir le choc en situation d’infériorité manifeste. Le général Kellermann, pour éviter tout flottement, se porte en tête des lignes pour galvaniser l’ardeur des soldats.. Il brandit au bout du sabre son chapeau et crie: « Vive la Nation ! » : un cri bientôt repris par des milliers d’hommes. Mais les Français se gardent bien de charger et préfèrent entonner, pour se donner du courage, un chant composé au printemps 1792 par un capitaine du Génie, un dénommé Rouget de Lisle, précisément à destination de l’« Armée du Rhin ». On appellera cette chanson, un peu plus tard, « LaMarseillaise »… Les Prussiens, pourtant, ne bougent pas. Les Français non plus, d’ailleurs… Et puis, vers seize heures, unévènement inattendu se produit : le duc de Brunswick… ordonne à ses troupes la retraite ! Etonnés, les Français restent donc seuls maîtres du terrain. Ils veulent croire que c’est leur détermination,leur enthousiasme, leur courage qui ont impressionné l’ennemi lequel, intimidé, a préféré se replier plutôtque d’affronter les soldats de la révolution, sûrs de leur bon droit, de la justesse de leur cause et, donc de lavictoire. C’est une victoire, donc. C’est la victoire de Valmy ! Elle sera suivie par d’autres victoires, plusréelles, de Dumouriez, deux mois plus tard, en novembre 1792, qui chasseront les Prussiens de Belgique.Valmy reste l’un des mythes fondateurs de la république, celui de la résistance du peuple en armes. Bon ici plusieurs hypothèses seront émises : je trouve que cela vaut la peine de les énumérées.  Thèses médicale (laxative.. si on peut dire !) l’armée prussienne aurait une diarrhée des pas possible !  Thèses des combinaisons d’éléments militaires plus décisifs que prévus et qui ont défavorablement surpris les Prussiens : une résistance imprévue ; une résistance inattendue ; un brouillard dense ; le positionnement des armées de Dumouriez,  Thèses rocambolesque évoquent une manipulation autour des deux principaux éléments qui, depuis que le monde est monde, font tourner ce dernier. En l’occurrence, précisons-le, nous n’évoquerons ici que… l’argent. Quatre jours avant la bataille, en effet, un vol spectaculaire a eu lieu au garde-meuble : celui des diamants de la couronne royale. Et, pour expliquer la victoire de Valmy, c’est Georges Danton que d’aucuns accusent d’avoir perpétré ce forfait, grâce auquel il aurait « acheté » ensuite le duc de Brunswick.  Thèses du fantôme de Fréderic II ce dernier aurait ordonné a son neveu Fréderic-Guillaule II « de se retirer » Fleury ? Un… comédien, ami de Beaumarchais aurait mystifié le roi de Prusse personnage influençable, et s’adonne ouvertement aux pratiques alchimiques de la secte paramaçonnique mystico-chrétienne dite des « Rose-Croix ». Fait intéressant, il avait joué, vers 1785-86, une pièce au Théâtre-Français où il tenait le rôle de… Frédéric II de Prusse : une composition si saisissante de vérité (Fleury parlait allemand, ce qui n’était pas si courant à cette époque) qu’elle avait enthousiasmé le public de l’époque. Aussi Lenotre, compilant tous ces faits dans l’article de sa revue, conclut-il à une sombre machination grandguignolesque, potentiellement montée par le poète et homme de théâtre Fabre d’Eglantine avec Fleury afin de tenter un coup inattendu destiné à affaiblir l’ennemi.  Thèse officielle, thèses confidentielles Tout bien pensé, pour eux, « aucune des monarchies d’Europe (le Saint Empire germanique, le royaume de Prusse, le royaume d’Angleterre) n’(a) intérêt à une rapide défaite française » (Jean-Michel Gaillard). Elles ne se sentent en

réalité pas menacées, chez elle, par la Révolution et, si elles avaient voulu l’étouffer dans l’œuf, elles l’auraient fait dès 1791, sans attendre que, au contraire, ce soit la France qui, au printemps 1792 (et avec l’aplomb de la jeunesse et de l’enthousiasme) leur déclare la guerre ! Les trois principaux royaumes d’Europe, certes, ont intérêt à l’effacement de la France sur la scène internationale (c'est-à-dire européenne). Mais elles n’ont pas intérêt à son écroulement ni même à la voir sombrer dans un chaos insurrectionnel interne, non plus qu’elles auraient les moyens de mettre fin à celui-ci. Affaiblir : oui, vaincre : non, telle pourrait avoir été la tactique décidée par des Prussiens perplexes quant à la restauration hâtive d’un roi contesté et déçue des marques d’hostilités à leur encontre d’une population que les « émigrés » leur avait pourtant décrite comme acquise à la cause du monarque. Bref, « le jeu n’en vaut pas la chandelle, mieux vaut laisser la France à elle-même ». Le duc de Brunswick, « en accord avec son roi Frédéric-Guillaume II de Prusse » retient donc prudemment son armée en attendant d’observer les développements ultérieur. Bon ce n’est pas tout cela ! il faut continué et dans ce cas ci cela sera bien la grande guerre. Le centre interprétation de Suippes Marne 14-18 nous présente la Grande Guerre de façon moderne et originale, grâce notamment à des bornes interactives, un film adapté de la correspondance de guerre et une reconstitution de tranchée. Nous sommes vraiment plongés dans la vie des soldats sur le front. C'est à partir de l'accueil que l’on procède Viviane et moi à l'enregistrement de notre empreinte digitale. Cet enregistrement nous attribuera un personnage (homme et femme) contemporain de la première guerre mondiale, que l’on suivra durant toute la visite. Film inédit adapté de la correspondance entre trois frères au front et leur sœur à l'arrière, la famille Papillon,. Il se compose d'images d'archives, de reconstitutions, afin de présenter un document original, émouvant et fidèle à cette période. Diverses salles nous évoquent que la vie continue pour les femmes rester aux foyers (agricultrices, ces munitionnâtes, ces marraines de guerre) et pour les hommes au front (l'artisanat de tranchée et les relations civilo-militaires de la zone armée.) La salle suivante nousplonge dans une tranchée qui nous placera rapidement au cœurd'un terrible assaut. Emotions garanties grâce aux écrans qui nousentourent, aux images projetées au-dessus de nos têtes, aux cris dessoldats partant au combat et aux balles de mitrailleuses qui frôlentnos tympans, on ne sort pas indemnes de cette projection. La suitenous fera passer progressivement, de l'Europe et la France d'avantguerre, à la logique du conflit. Les grandes étapes de ces quatreannées de guerre sont déroulées dans cette salle, soulignées par denombreuses cartes et photos. Je me glisse parmi les soldats, les maquettes et les objets, pour rentrer dans leurmonde. Une galerie de portraits rend hommage aux différentes nationalités qui ont souffert sur cette terre deChampagne. La fin de journée approche et on décide de rentrer vers notre hôtel afin de jouir sur la terrasse d’un verre avec un bon livre. On prendra note de quelques sites intéressant à visitez plus tard en fonction de notre programme car pendant les quatre années de guerre, la Champagne a souffert au rythme des attaques et des batailles. Et ceux-ci ne manquent pas de d’intérêt. Un diner à nouveau qui développera nos papilles gustatives, et qui justifiera la qualité du chef.

Ce dernier nous comblera avant une bonne nuit de sommeil. Le jeudi 16 juin . Le temps se couvrent et par conséquent on ne prends pas le risque de s’aventurer trop vers les balades nature .. mais plutôt vers la culture de ville « Châlons-en-Champagne » sera notre étape déjeuner. Un arrêt programme a la Basilique de l’Epine sur la route.Histoire« La tradition situe la découverte d'une statue de la Vierge Marie la nuit de l’Annonciation de l’an 1400 : Des bergers,attirés par une lumière étincelante au milieu d’un buisson d’épines, ont constaté la présence de la statue en pierrepolychromée de la Vierge Marie avec l’Enfant Jésus. En 1406 commence la construction de l’église actuelle. En 1914, celle-ci est élevée au rang de basilique. Notre visite sera principalement en fonction de ce qui est à voir , c.à.d. : La façade avec ses deux flèches ajourées et les gargouilles pour l’extérieur. A l’intérieur La statue de Notre Dame de l'Epine, la sculpture de la mise au tombeau ainsi que le tabernacle reliquaire. Nous profiterons également pour se rafraichir au puits, Le puits de la sainte vierge profond de 26 mètres il a servi à la construction de l'édifice puis à abreuver les pèlerins. Chalons est une ville très animée même en journée ce qui nous change des patelins que l’on a traversés pour y arrivé. Donc une place de parking près de l’office du tourisme nous arrange et cela sans frais, car parking payant à tous les coins de rue. En bon touriste que nous sommes un passage par l’office nous fourni quelques explications, ainsi que un plan de ville touristique avec les bâtiments à contemplés. Un petit air de Venise... L'Office de Tourisme nous propose une balade sur les cours d'eau qui traversent le cœur de la ville. Départ prévu vers 14 hrs. Notre ballade éclair de la cité nous amène sur la place Foch, prés de l’hôtel de ville ou mettrons à profit pour déjeuner dans un des restaurants qui propose un plat du jour, dans ce cas-ci ; une pizza et un tiramisu comme dessert.

A l’office du tourisme on nous signale un léger retard pour la ballade en barque, nous mettrons à profit pour continuénotre visite par le ‘’Jard’’.Au cœur même de la ville, le jardin offre un cadre enchanteur propice à l'évasion et à une sieste digestive. Lieu depromenade favori des Châlonnais: Le petit jard, réaménagé en 2001car détruit au cours de la tempête de décembre 1999, recèle de nombreuses curiosités botaniques dans un cadre floral remarquable de part et d'autre du Nau. 14 h50’ départ finalement de la promenade en barque au milieu de la verdure qui nous permettra de découvrir sous un angle insolite de nombreux sites et monuments Châlonnais. Fin d’après midi déjà ..On prendra la route vers la montagne de Reims, direction Epernay pour y faire une dégustation de Champagne. mais le temps nous manquera pour se faire… notre arrivée tardive dans le coin sera fatale (heures d’ouvertures) Allez temps pis.. retour vers notre nid douillet entouré d’un grand parc « du Tulipier », car nous étions quand même à +/- 100 bornes de là. A notre arrivée surprise, un car complet de séniors de la région Alsacienne, cela promet à la salle de restaurant. Et, confirmation après un léger rafraichissement en chambre on se rend vers la salle de diner ! Notre table étant dressé prés des seniors Alsacien bruyant, je demande à être déplacé vers un endroit de la salle moins bruyant afin de jouir d’un repas dans une ambiance plus calme. On ne tardera pas de monté en chambre rapidementaprès notre repas tout aussi pantagruélique que la vieille.Vendredi 17 juin, Après un petit déjeuner, nous prendrons la direction du site de la « Haute Chevauchée ». La Haute-Chevauchée en Argonne (route forestière D38c) est parcourue par un sentier historique qui suit le ravin du ruisseau des Meurissons, réseau des tranchées et boyaux français et allemands, longe la longue ligne des énormes entonnoirs de la guerre des mines.

HistoireLa Côte 285 / Haute ChevauchéeAprès l’attaque de juillet 1915, une nouvelle ligne de combat se forma sur la crête de la Côte 285 et celle-ci futbientôt le lieu d’une guerre de mines. Ces explosions de mines servirent dans un premier temps à ouvrir des brèchesdans la ligne ennemie afin d’augmenter les chances de succès des attaques de l’infanterie. Du parking, On peut voir les panneaux d’informations derrière lesquels le chemin historique commence. Après quelques pas seulement, on arrive d’abord au monument aux morts de l’armée française et de leurs alliés dans lequel se trouve également une petite chambre d’ossements. Derrière, il y a l’entonnoir explosé du 12 décembre 1916 qui fut créé par une explosion sous-terraine allemande de 52500 kg d’explosifs. Sur le côté opposé, il y a une haute croix pour les hommes tombés en Argonne. Elle futérigée en 1971 par le 4ème bataillon blindé 144 et par les pionniersfrançais. Derrière la haute croix, il y a un petit chemin qui vous conduit à lasuite du chemin historique. La durée totale de ce chemin sera de +/- de 30minutes environ. Il nous mènera jusqu’à l’entrée du Kaiser tunnel (fermé malheureusement). On prendra du diesel en cours de route décide de faire provision pour le pique nique du midi. Comme des vrais… la baguette, le pâté, le fromage, un litron de rouge sera de mise lors de notre arrêt sur une aire de circonstance. L’après midi sera tout aussi culturelle mais moins aérée, puisque cela se passera en ville de Verdun. Une visite éclair à l’office du tourisme et nous voilà embarqué dans le petit train touristique pour la visite de la ville et ces monuments. La ville de Verdun est empreinte par l’histoire de la ville. Il y a beaucoup de choses à y visiter. Un petit café sur le port de tourisme et on se dirigera vers la visite individuelle de la « citadelle souterraine ».La citadelle souterraine renforcée par Vauban joua un rôle décisif lors de la bataillede Verdun en 1916. On y découvre la vie des Poilus pendant la Première Guerremondiale.

Un petit wagon style la maison fantôme et on se laisse guider à travers les galeries où vivait une armée de près de 10 000 hommes : 15 scènes reconstituées nous sont présentées « tranchée, boulangerie, infirmerie, état-major, choix du Soldat Inconnu ». Au matin on aura décidé de prolongé ou terminé notre séjour vers la Belgique via notre petit hôtel préféré à Corbion « le Relais ». On sera accueilli à bras ouvert par notre hôtesse Anne et son mari Jean-François,la soirée sera également des plus agréables par le menuArdennais concocté par Jean-François ( paté et jambon depays, civet de marcassin et une glace comme dessert).Samedi 18 juin,La journée à nouveau s’annonce pluvieuse.. mais on prends le risquede prendre la direction de la promenade au départ du Monastère desTrappistines ABBAYE N.-D. DE CLAIREFONTAINE, vers le tombeau dugéant. Mais décidément la météo ne nous sera pas clémente et onannule par la force des choses. Un arrêt à la boutique du monastèrepour nous fournir en sirop de fruits fait par des moines et on prendra ladirection de Mormont pour rendre visite à nos amis Nadine & Guy.Ceux-ci nous accueilleront comme d’habitude avec chaleur et café.En fin de journée on prendra la direction de Woluwe, les têtes pleinesd’histoire et d’air pur.« L'histoire est bonne à oublier ; c'est pour cela qu'elleest bonne à savoir »Viviane & Pierre., le 24 juin 2011


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