Important Announcement
PubHTML5 Scheduled Server Maintenance on (GMT) Sunday, June 26th, 2:00 am - 8:00 am.
PubHTML5 site will be inoperative during the times indicated!

Home Explore Carnet de voyages « Egypte Pharaonique » Avril 2011

Carnet de voyages « Egypte Pharaonique » Avril 2011

Published by pietssw, 2016-07-11 09:14:14

Description: Carnet de voyages « Egypte Pharaonique » Avril 2011

Search

Read the Text Version

Carnet de voyages « Egypte Pharaonique » 25 mars – 3 avril 2011 Les pyramides d'Egypte sont les plus anciennes bibliothèques du genre humain. (Rivarol)Bonjour à mes fidèles lecteurs , voilà enfin j’ai pris mon courage et mon clavier à deux doigts,pour vous racontez notre expérience de ce voyage qui nous à plongé dans une civilisation etun pays magnifique. Il est vrai que l’on doit oubliez notre pays lorsque l’on entreprends unvoyage comme celui là ! Nous avons découvert un pays à la fois étrange ( civilisation) etémouvant (le peuple). Je ne pourrais pas ne pas conseillé à mes amis et connaissances de faireun voyage dans ce pays merveilleux par la richesse de cette civilisation vieille de plus de 4000ans avant J.C. ainsi que de son peuple qui sort d’une révolution. Celle-ci nous avaient un peuangoissé au départ, mais on se rends bien compte sur place que cela ne ce justifiai pas. Vendredi 25 mars.-Cette journée sera courte, puisque départ pourl’aéroport à 12h30’.- le temps de faire connaissance denotre accompagnatrice Liliane et et d’enregistrer nosbagages. On embarque à 15h25’. Un vol sans histoireset un petit repas à bord et nous voilà arrivé au Caire, ouun petit désagrément m’attend puisque un de nosbagages sera endomamgagé , la personne qui nousacceuille aura à cœur de m’accompagne et négocieraun dédommagement de la compagnie Egypt Air. Etnous voilà plongé directement au cœur du problème du Caire « la pollution sonore » , il nousfaudra parcourir plus de 40 km pour arrivé à notre hôtel « Mercure – Le Sphinx ». Dans lazone du Grand-Caire, les sources de pollution sonore sont multiples : klaxons utilisés sansmodération, cris des marchands ambulants, haut parleurs des appels à la prière, et leséchoppes, les garages et les petites fabriques placées au cœur des zones d’habitation,notamment dans les quartiers populaires. Nous serons enregistrés vers 23 heures et content dese mettre au lit. Récupération courte mais nécessaire pour entreprendre la suite de notreprogramme.

Samedi 26 mars Après un petit déjeuner copieux et varié , nous ferons plus amples connaissance des quelques compagnons de voyage , ainsi que de notre guide egyptologue Suzanne ( je l’appellerai Cléopatre ! voir photo ci joint) Dans la matinée visite Sakkarah, la nécropole la plus visitée de l'Egypte. Le roi Djoser fut le premier souverain à faire construire un monument funéraire. Ce fut cette pyramide à degré que nous pouvons admirer et qui fut construite parImhotep, le premier architecte connu par des annotations hyéroglyphes . On y trouveégalement un grand nombre de mastabas ou tombes de nobles et dignitaires dont la décorationintérieure est d'un niveau artistique très élevé. La matinée se terminera par la visite de Memphis, ruines dela capitale de l'Ancien Empire. On y trouve un sphinx en albâtre dont le poids est estimé à 80 tonnes. Nous admirerons également un colosse couché représentant Ramses II.Quelques astuces pour ne pas étre sollicités de toute par par les Cairotes pour les Bakchich( un terme utilisé pour décrire à la fois un don charitable ainsi que certaines formes de pot-de-vin), j’aurai l’occasion + d’une fois d’y avoir recours pour service( parfois forcé) rendu !

Conseil : Ne pas répondre au sollicitations, se regardé les pieds ! avancé sans s’arréter Un petit arrêt dans une Carpet’s School » ou l’on tentera vainement de me vendre un tapis de soie ou de laines fabriqués par des enfants auxquels on apprend en contrepartie à lire et à écrire ! (forme d’esclavages autorisées pour ma part).Un déjeuner dans un restaurant typique soulagerons nos neurones, car il fautsuivre les explications de tout ce que nous voyons, le repas sera composé dedivers plats relevés style mezze tout cela accompagné d’une bière locale bienfraiche ‘ La Stella’’…. Eéh oui !L'après-midi, visite du site le plus connu de l'Egypte, le plateau de Gizeh avec les pyramides de Chéops, Khéphren et Mykérinos. Viviane et moi aurons l’occasion de visité celle de Mykérinos , attention la tête et les claustrophobes !Photo pris par Yvonne« photo interdites ( appareils laissés a l’entrée au gardien, cedernier en profitera pour faire une photo= bakchich !) plateau de Gizeh - Site Egypte Eternelle Ces trois monuments sont gardés par le Sphinx, statue imposante d' un lion à tête humaine. Dont là représentation la plus vraisemblable reste Kephren , fils de Khéops. On passera par le temple funéraire de la Vallée du roi Khephren avant d’arrivé sur le plateau du sphinx, il est le seul à avoir gardé beaucoup de restes d’une sobriété inhabituelle par rapport aux autres temples que nous visiterons.

Ce temple a la forme d'un bloc carré de 45 m de longueur et de 13 m de hauteur. Deux portes symétriques de 6 m de hauteur formaient l'entrée, après être passé par les deux antichambres dont les sols, les parois et les plafonds sont en granit, nous arrivons dans le vestibule transversal( Propylée : séparation entre le lieu profane et divin). Le sol y est recouvert d'albâtre blanc. Au milieu de la pièce se trouve le célèbre \"puits\", qui ne pris la fonction de caveau que plus tard, ( Y jeter la pièce porte bonheur … hum .. au gardien !) . Il doit sa célébrité à la statue de Khephren, unique en son genre, qui fut découverte en 1860 par Auguste Mariette et se trouve aujourd'hui au musée égyptien du Caire. On sort sur le plateau , ici nous y rencontrerons plus de monde sur le site du Sphinx, et on est scotché par ce monument qui emet un sorte d’aura. Ici Cléopatre nous fera part de sa colère concernant la rénovation du Sphinx entrepris par différentes instances qui n’ont pas toujours respectés l’original Nous reprenons notre Van de transport , dans le vacarme habituels pour les Cairotes , mais loin sans faut pour nous ! J’aspire à une bonne douche et quelques moments de relaxation avant de dîner à notre hôtel. Quelques uns d’entre nous participerons à une excursion facultative proposé par notre guide « Cairo by Night » , mais je vous avoue que mon expérience de la vieille lors de notre arrivé ne m’avait pas inspiré à faire celle-ci . L’attraction principale de cette soirée pour nous sera d’assisté à une fête de un mariage dans l’hotel « musique et danse à fond la caisse comme on dit chez nous !Pour info le feu était rouge Dimanche 27 mars Une longue journée s’annonce pour nous , non seulement pour les visites programmées mais aussi pour départ vers Louxor pour embarquement sur notre navire de croisière. La matinée sera occupée par les visites des deux principales mosqués du Caire. La première se trouve dans le quartier musulman, pour nous y rendre nous empruntons les boulevards extérieurs. Là encore suite aux explications de ‘’Cléopatre’’ on ouvrira grands nos oreilles en fermant les yeux de temps en temps de peur de l’accident qui semble étre à chaque mètres. Trajets effectué par main de maitre de notre chauffeur, que je ne remercierai jamais assez pour nous avoir chaque fois ramené

sans incidents ! On passera notamment près du bidonville des Chiffoniers du Caire, ainsi que le longdu cimetière des morts- vivants (les vivants cohabitent avec les morts, vu la pénurie d’habitations auCaire (20 millions d’habitants)).La citadelle de Saladin est une grande forteresse, construite entre 1176 et 1183 sur leshauteurs du Caire. Elle fut édifiée par Al-Malik an-Nasir Salah ad- din Yusuf, plus connu sous le nom de Saladin. Un peu d’histoire : Une fois son pouvoir bien établi sur l’Égypte et la Syrie, Saladin lancera le Djihad en juillet 1187 en attaquant les croisés à Jérusalem. La ville sainte tombera le 2 octobre 1187. Puis ce fut aux tours des Mamelouks de s’installer dans la citadelle après leur victoire sur la dynastieAyyoubide. Le 19ème siècle marque un tournant avec l’arrivée au pouvoir de Mohamed AliPacha en 1805 (Mehemet Ali). La Citadelle va subir de grandes transformations avec lareconstruction des murs d’enceintes et de nombreuses demeures intérieures. Mais l’édificele plus remarquable est celui qui domine aujourd’hui la Citadelle de Saladin, la MosquéeMohamed Ali de style Ottoman Baroque, comparable aux grandes mosquées d’Istanbul.Je me rends compte sur le chemin de la deuxième mosquée d’uncompagnon de voyage supplémentaire « un policier en civil »protection fournie par l’hôtel tout au long de notre périple de lajournée, ce dernier étant armé d’une mitraillette camouflé sous sonveston.

Nous descendons une rue étroite pour rejoindre le 2éme mosquée. En fait pas si étroite que ça. Cette sensation de boyau est insufflée par la hauteur des façades, inhabituelle pour des bâtiments religieux Islamiques ! La Mosquée de Sultan Hassan et Madrasa (= école). Le bâtiment a été construit par le Sultan Hassan, le fils d'Al Nasser Mohamed Ibn (le grand Sultan Mamluk). Ce monument a été construit dans 1256 AP J.-C.. Ce monument Islamique est exceptionnel en Egypte, construit en pierre et au designunique. Du vestibule d’entrée, un passage sombre et tortueux attend le visiteur. Pas de lignedroite. Alors qu’on a l’habitude, une fois entré, d’embrasser tout l’espace d’un coup d’œil, ici,on passe par des chicanes, des perspectives coupées, comme s’il y avait volonté de séparer l’intérieur de la mosquée de la rue. Mais aussi de faire traverser les ténèbres avant d’atteindre la lumière. Au bout de quelques encablures, le passage débouche sur la cour. C’est une cour de plan carré avec, au centre, la fontaine aux ablutions couverte d’une construction à coupole de plan octogonal.On assistera à une courte prière par le préposé à l’appel de la prière journalière amplifié parles hauteurs des murs dans l’espace réservé à la tombe du Sultan Hassan. Conseil : Cléopatre nous donne le conseil suivant, les vendeurs s’adresseront à moipour vous vendre leur produits et autres ; si je dis c’est un bon prix = Pas achetez , par contresi je dis « c’est un TRES bon prix , ceux que cela interresse = OK Après un repas assez similaire de celui de la vieille, qui me trahira plus tard avec des conséquences que vous pouvez imaginées. Nous prendrons la direction de la place Tahrir pour nous rendre au Musée du Caire « Le musée égyptien du Caire » est situé en plein centre du Caire ; c'est l'un des plus grands musées du monde entièrement consacré à l'antiquité égyptienne, le premier conservateur de ce musée fut Auguste Mariette qui le fonda en 1858. Plus de 160 000 objets sont exposés dans cet espace, ou nous passerons + 2 heures à suivre les explications de ‘’Cléopâtre’’ devant les pièces les plus

remarquables du musée dont la pierre de Rosette ! Une copie en fait (celle-ci à aidé àdéchiffrer les hiéroglyphes) en terminant par le clou qui est bien sûr le trésor deToutankhamon. On apprendra que durant la révolution de février, certaines pièces bienspécifiques seront volées à différents endroits bien précis du musée. Ndlr : pour info, photo interdites dans le musée du Caire, tombes de la vallée des Rois ainsi que Abou Simbel. Les photos reprises de ces endroits viennent d’un CD de 3000 photos acquis sur place La collection d'objets retrouvés dans la tombe légendaire de Toutankhamon fait la fierté du musée égyptien. Le trésor de Toutankhamon est composé de ses cercueils et d'une grande quantité de bijoux en or, en pierres semi- précieuses et en verre coloré. Un rapide trajet en fin d’après midi pour récupérer nos bagages et en route pour l’aéroport, direction Louxor pourembarquement à bord du bateau ’ Nabilatan’. Il sera à nouveau très tard lorsque nous nousmettrons au lit, car à notre arrivé sur le bateau on nous servira un repas des plus complet etcela à l’heure Espagnole c.à.d. 23 heures.Par la même occasion on nous signalait avec effroi que notre nuit serait courte, puisquerendez était pris pour levez à 05h30’ au matin, cette journée sera la plus exténuante pour laplupart d’entres nous. Surtout pour le groupe qui nous rejoindra en provenance de Bruxellesdirectement (ils arriveront à 02hrs du matin ‘ nous l’apprendrons le lendemain)

Lundi 28 mars Réveil dur dur ! Petit déjeuner des plus complets agrémentées par la présence du personnel de bord avenant et aux petits soins pour les passagers que nous étions ! (peu nombreux 50 personnes au lieu de 160 habituellement sur ce genre de navire). Départ pour l'impressionnante visitede la nécropole thébaine, le monde des morts sur la rive gauche où furent enterrés les Rois(Vallée des Rois) et les Reines (Vallée des Reines). Visite de trois tombeaux royaux «Ramsès IV - Amenherkhepshef – Ramsès IX »Figure 1-2-3 Divers interieur tombes

Sarcophage de Ramès IVLe petit train de la vallée (parking vers le site)Visite du temple de la Reine Hatchepsout à Deir El Bahari.Construit par Senmout, il est un desmonuments les plus remarquables del'architecture égyptienne. Ce temple à terrasses entièrement creusé dans la montagne estconsacré à Hathor, déesse de la joie et de l'amour.C’est là que l’on connaitra Viviane et moi quelque soucis « gastro », mais qui seront viteoubliés en ce qui concerne Viviane, car du à la chaleur et la fatigue.

On en profitera sur retour passant par le souk du temple de faire notre premier marchandage pour l’achat d’un chapeau (super mimi) pour Viviane, amusant ! De 15€ = 5 €.Arrêt avant le retour vers le navire, devant lesColosses de Memnon taillés dans un seul bloc etd'une hauteur de 17 mètres. Ils représentent le RoiAménophis III et sont les seuls vestiges de sontemple funéraire. Déjeuner à bord, ou nous ferons plus amples connaissances avec nos compagnons de route et de table ; Yvonne et Marthe les Namuroises, deux amies qui voyage ensembles sans leurs maris (cela existe desmaris qui n’aiment pas voyager ?), Arlette et Guy, couple retraité de Theux, Simone dit« Poupous » de Westende, et enfin Liliane notre accompagnatrice de 7Plus.Nous prendrons le chemin ensuite de la Visite du temple de Karnak ;Le dieu principal de Thèbes nommé Amon, dieu sans l'aide duquel Pharaon n'aurait puchasser les Hyksôs, va peu à peu devenir le grand dieu d'Egypte, associé toutefois au dieu

Rê d'Héliopolis d'où son nom Amon-Rê. Les pharaons qui se succédèrent pendant ces cinqsiècles feront de ce temple l'un des plus beaux mais aussi l'un des plus complexes édifices de l'antiquité. On retiendra surtout que les particularités des temples égyptien est de posséder des murs recouverts d’inscriptions, mais également de scènes. Ces scènes permettent à qui sait les décrypter de retracer des éléments du culte divin, des fêtes ou toutes autres activités en relation avec la divinité ou le temple. On nous dira de bien retenir que les représentations égyptiennes se divisent en deux parties : la scène en elle-même, avec les personnages (dieux, prêtres ou rois) et les légendes identifiant chacun des personnages et leurs actions.J’ai essayé le déchiffrage avec alphabet hiéroglyphes.. Euh ! J’ai dit essayé Conseil : Gardez vous d’utilisez les toilettes sur les sites, je constaterai un manqued’hygiéne ( et de papiers) et bakchich onéreux , donc toujours à utilisé en cas d’absoluenécessité et se munir de papiers hygiéniques humides de voyage sur vous.Mais revenons a Karnak ; UN temple ? Sans être exhaustif, on peut dénombrer à Karnak : letemple principal, le temple de Ptah, le temple de Khonsou, le temple de Touthmôsis III(Akhmenou). Et tout près, on peut voir le temple de Montou et le temple de Mout. Karnakn'était pas un temple mais une ville où plusieurs milliers de personnes s'activaient enpermanence, perpétuellement en chantier du Moyen Empire jusqu'à la période ptolémaïque.Je décrirai ici d’une manière très succincte ce que nous avons visité, car cela serait trop long.Devant l'entrée du temple se trouvait autrefois un plan d'eau relié au Nil: c'est par làqu'arrivaient les matériaux nécessaires à l'agrandissement du temple mais c'est de là aussique partaient les barques sacrées pour rejoindre le temple de Louxor, une allée de sphinxdonnait accès à l'entrée du temple.

Ensuite viendra les reposoirs de barques – ensembles d’édifice qui servait de halte aux barques sacrées. Salle hypostyle : Cette salle semble refléter non seulement la puissance d'Amon mais aussi celle de la monarchie égyptienne. Après avoir franchi le deuxième pylône, on arrive dans une iimmense forêt de pierre de 134 colonnes, cette salle hypostyle est la plus grande du monde. La nef centrale, construite sous le règne d'Aménophis III, est formée de 12 colonnes (six de chaque côté) hautes de 23 mètres avec une circonférence de 10 mètres. Sur les chapiteaux quesoutient chacune de ces colonnes, 50 personnes pourraient se tenir debout.Ces chapiteaux représentent des fleurs de papyrus ouvertes (chapiteaux papyriformesouverts) car dans l'antiquité cette colonnade était la seule partie de la salle à se trouverdans la lumière du soleil grâce à l'aménagement de claustras( fenêtres). Les scènes et lesinscriptions gravées sur ces colonnes, comme sur toutes les colonnes de cette salle, ont uncaractère religieux: on est ici dans une partie du temple où seuls les initiés (les prêtres et lepharaon) ont le droit de pénétrer. Tandis que les murs racontaient les exploits guerriers.On sort de la salle hypostyle de Karnak par le troisième pylône ou du moins par ce qu'il enreste. Une fois cette porte franchie, un champ de pierres parsemé de magnifiquesmonuments s'offre à notre vue.A droite, une allée, succession de cours séparées par des pylônes, constitue l'axe royal dutemple. Tout droit, en continuant le parcours sur l'axe divin, on arrive à ce qui constituaitdans l'antiquité la partie la plus sacrée du temple: c'est dans cette direction que se trouvaitle \"saint des saints\" et c'est ce chemin-là que nous prendrons en premier. Examinons bienles lieux: une cour devant laquelle nous nous trouvons, deux obélisques qui ne sont mêmepas alignés pour marquer l'entrée d'une salle, des colonnes recouvertes de hiéroglyphes encouleurs et puis évidemment encore et toujours des tas de pierres. Ensuite viendra lesreposoirs de barques – ensembles d’édifice qui servait de halte aux barques sacrées Onparcourt encore quelques mètres dans l’axe sacré pour arrivé au Naos. Chaque templeabrite un naos, salle ultime de l'élément divin renfermant une statuette à l'image du dieuou de la déesse. Un seul homme peut entrer en contact avec Dieu, Pharaon. Celui-ci nepeut pas se multiplier partout dans le pays alors il se double, cultuellement, en tant quegrand prêtre. Le grand prêtre est le seul capable de pénétrer dans la salle sainte.Après tantde pierres, nous sommes naturellement attirés par un plan d'eau en direction du sud: ils'agit du lac sacré que fit creuser Thoutmosis III. Là, chaque jour, les prêtres sepurifiaient dans ce lac qui représentait l'océan primordial, océan d'où la vie était sortie audébut des temps. Autour de ce lac il y avait de nombreuses constructions: des habitations deprêtres, des volières, un jardin botanique, des chapelles. On terminera par la représentationdu Scarabée, Khépri est un dieu de la mythologie Égyptienne. Khépri représente le soleillevant, qui est la première forme qu’a prise le créateur à la naissance du monde.

Tourné 3 x autour de celui-ci porte chanceEn réalité, le site de Karnak est un musée à ciel ouvert relatant l'histoire de l'Egypteancienne. Il se caractérise par un ensemble de styles architecturaux propres aux diverssouverains ayant régné depuis la douzième dynastie à l'époque greco-romaine. A uneépoque, le site était appelé « pr Imn » ce qui signifie la « demeure d'Amon ». Par la suite,on lui donna le nom de « Ipet Sout » qui peut être traduit par « la plus vénérée des places ».Par conséquent, on est véritablement émerveillés par les splendides bâtiments qui s'étendentsur une surface énorme. Il faudrait + temps pour visité ce site , mais bon pas prévu ! Nous terminerons cette journée par le tour de ville en calèche, et surtout dans les ruelles des souks de Louxor, c'est pour un occidental remonter le temps. Un temps où les voitures ne polluaient pas les villes. Un temps où les gens déambulaient en prenant le temps de se saluer, où laconvivialité l'emportait sur l'indifférence. Et puis il y a les devantures des échoppes commeautant de cavernes d'Ali Baba offrant à nos yeux ébahis. Quoi qu’il en soit, la richesse descouleurs et des senteurs du souk en fait une promenade incontournable pour les personnesdésireuses de rompre avec les visites des sites archéologiques.Ici nous serons content de regagner le navire en fin d’après midi, pourraison de fatigue, mais pour moi raison supplémentaires ; problèmesintestinaux.Et Après chaque visite, notre retour au bateau est célébré par uneboisson rafraîchissante : de la citronnade ou du chakara (thé à based’hibiscus). Nous avons aussi droit à la serviette bouillante pour nousrafraîchir avant un petit passage à la cabine. Sans oublié la surprisejournalière par nos garçons de cabine qui sculptent avec les serviettesde bains.Un diner rapide et relaxe avec un bon roman, pour finir la soirée ; pour ma part la nuit seraagitée, voir paragraphe ci-dessus

Mardi 29 mars Heureusement un petit déjeuner et le « remède égyptien » me remettra d’aplomb pour la journée, qui s’annonce plus calme que les jours précédent. Esna Le temple d'Esna ou le temple de Khnoum est situé dans une profonde dépression en pleincentre ville, entouré par le marché et le souk. Le temple est dédié à Khnoum, Dieu à la tête de bélier, censé avoir modelé l'humanité sur son tour de potier avec l'argile du Nil. Reste uniquement la salle hypophyse est la partie la mieux conservée du temple, qui renferme plus de 20 colonnes immenses et de beaux bas-reliefs disposés aux murs et aux plafonds. Le plafond et les murs sont largement occultés par des dépôts noirâtres de fumées, car le temple fût à une certaine époque occupé par un village copte.On constate une certaine décadence dans les finitions des sculptures murales. Les formes sontdifférentes des autres temples que nous avons déjà visité. Dans le temple, les colonnes sontentièrement couvertes de textes: un corpus d'une longueur exceptionnelle, toute unebibliothèque gravée dans la pierre. Dans la cour, la déesse Menhit, considérée à Esna commel’associé de Khnoum.

Nous reviendrons au bateau pour le BBQ du midi sur le pont, tout en naviguant. Mon repas sera légèrement insipide en ce qui me concerne puisque on m’avait concoctée un menu personnellement adapté à mes ennuis intestinaux. Mais pour les autres « Yalla » (traduction ; en avant la musique) viande, poulet et poisson avec garnitures a volonté.Le Nil est la voie qu'empruntaient les Égyptiens pour se déplacer. Il apporte la vie enfertilisant la terre et garantit l'abondance. Il joua un rôle très important dans l'Égypte antique,du point de vue économique, social (c'était autour de lui que se trouvaient les plus grandes villes), agricole (grâce au précieux limon des crues) et religieux ; L'importance du Nil dans la vie quotidienne se reflète dans les croyances des anciens Egyptiens relatives à l'au-delà. Les Egyptiens avaient pour coutume d'enterrer leurs morts sur la rive Ouest du Nil car ils croyaient que l'au-delà se trouvait à l'ouest là où le soleil mourait chaque jour. L’après midi sera consacré à un autre temple celui de Edfou. Ici aussi nous utiliserons le taxi local c à d « la calèche » pour nous y rendre !

Avant même de pénétrer dans les lieux, on est saisi par la beauté des deux faucons de granit noir qui encadrent la porte du premier pylône et qui symbolisent le dieu Horus à qui le temple est dédié. Au fur et à mesure que l'on s'avance dans le sanctuaire, les pièces deviennent de plus en plus petites et l'obscurité se fait plus intense. On découvre ainsila bibliothèque, la salle des offrandes, différenteschambres de culteOn termine par le naos (petit sanctuaire) de granit gris,d'époque pré-ptolémaïque, se dresse encore dans lesanctuaire ; il abritait la statue du dieu Horus. Devantle naos, un socle de granit noir servait de support à labarque sacrée. De petites chapelles consacrées àdifférentes divinités entourent le sanctuaire central et sont desservies par un couloir. Onconstatera ici aussi comme dans les autres temples une configuration qui revient à chaquefois ! c.à.d. l’Entrée, une Cour, salle Hypophyse, Reposoir et le Naos et autour on retrouverala maison des prêtres, entrepôts, palais royal, dans certains cas le lac sacré, ainsi que le murd’enceinte. Nous serons à bord cette fois ci plus tôt, on en profitera pour faire quelques achats à la boutique du bateau, conseillé par Cléopâtre. On se laissera guider par Samuel le responsable des échoppes de souvenirs, photo et bijouterie. Colliers, boucles d’oreilles, bracelet pour moi et une cartouche pour Viviane nominative en Hiéroglyphes. On en profitera pour se munir de Djellaba pour la soirée déguisé de demain et de T-shirts pour les petits-enfants.

L’ambiance sera de la partie au soir car nous aurons une soirée Disco après le diner. Et navigation vers Kom Ombo prochaine escale.Mercredi 30 mars Un petit déjeuner rapidement avalé et en route, pour une fois à pieds. Ici la particularité est la dualité de ce temple Kom Ombo que nous pouvons apercevoir du bateau.Vue du temple à notre arrivée la veille au soirLe Temple d’Horus : Situé dans la partie gauche dusite. Il protège du mal c'est une divinité guerrière del'Égypte antique.Le Temple de Sobek : Situé dans la partie droite dusite. Dieu primordial il est attribué à la création dumonde et à la fertilité.

Les crocodiles étant fréquents à l'époque pharaonique, la simple présence de crocodilesdans le Nil signifiait une bonne crue pour les récoltes.Une scène qui m’a frappé c’est qu’à l'arrière du temple, sur un mur nous pouvons constaterdes hiéroglyphes représentant des instrument de chirurgie de l'époque. Dans l’Égypteancienne, on pratique déjà des interventions de ce type. Notre visite s'achève par le célèbrenilomètre (d'époque romaine). Ce puits creusé près du temple permettait aux fonctionnaires de mesurer la crue du Nil et par là-même les taxes à prélever. Eh oui même là on payait le pot ! lol ( l’impot) Nous navigueron fin de matinée , et pour diner à nouveau barbecue sur le pont que cette fois ci je le dégusterai avec plaisir tout en suivant les plus beaux paysages le long du Nil vers la ville d’Assouan.

L’après midi sera plus relax dans la mesure ou celle-ci sera moins culturelle ; visite en bateau de la reserve naturelle Assouan avec sa multitude d’oiseaux et le visite du village Nubien. Mais malgré léger stress pour moi car mon appreil photo venant de rendre l’âme ! mais grace aux compagnons de Ibis Royalvoyage j’ai pu interchangés ma carte sur leurs appareils.La faune et floredu Nil a changé aucours des siècles.Par exemple, leshippopotames ontdisparu du Nil, Le Sultan \" par chance aperçu dans un fourréleurs deux dernières apparitions furent relatéespar Buffon en 1769 et par un chroniqueur arabeen 1815. Autre exemple le crocodile du Nil ; les derniersspécimens furent aperçus au XIX siècle en Nubie et ilsemblerait qu’on ait découvert des traces de sa présencedans le lac d’Assouan. Autrefois, les Nubiens y vivaient dans des huttes de fortune et des tentes. Aujourd’hui, ils ont érigé au milieu des champs de modestes demeures parées d’unmélange insolite de teintes pastel et de couleurs vives dominéespar un bleu indigo éclatant attirant immanquablement le regard. Autre contraste saisissant, les toitures sont désormais enveloppées d’une nuée d’antennes paraboliques dessinant une mosaïque singulière issue du mariage inénarrable entre traditions et modernité. Néanmoins, l’atmosphère qui règne dans ces villages est restée enjouée et conviviale, fidèle à l’hospitalité traditionnelle des Nubiens. Les rues y sont constamment animées par les cris des enfants courant dans tous les sens. Situées non loin, lesfemmes coiffées de leur voile nous accueilleront toujours avec le sourire et vous inviteront chez eux pour y dégustez thé et biscuits maisonsPhotos diverses du Village Nubien

On à un nouveau copain ! La soirée tombera très vite après le cour d’alphabet et de calcul arabe dans l’école du village. Retour en vitesse , car la nuit tombait tôt , se préparer pour la soirée costumée du soir. Emus par cette Ancienne Nubie, où hommes et femmes, paysages et monuments luttent entre tradition et adaptation, nous savourons ces instants àbord, communiant une dernière fois avec laNubie....

Jeudi 31 mars Une visite en car vers la carrière de granit , ou nous pourrons voir l’obelisque inachevé Cet obélisque aurait fait 40 mètres de haut et aurait été le plus grand jamais construit, s'il ne s'était pas fendu. On utilisait des pierre de dolorites pour creuser dansle granit . Les boules de dolérite étaient trouvées sur place. Un arret à l’usine de papyrus( le vrai) ou nous aurons l’explication sommaire de sa fabrication et on y fera quelques achats de ce produit qui est très représentatifs.Un arrét style photo japonais sur le barrage Assouan !waouum .. c’est grand quand même Visite de l'île de Philae, domaine de la déesse Isis. C'est grâce à l'Unesco qu'il nous est permis de visiter cet ensemble monumental, un des plus admirables qu'il soit.

Le temple de Philaé compte parmi les templessauvés des eaux lors de la construction dubarrage d'Assouan, avec le temple d'AbouSimbel. En 1894, le temple fut partiellementimmergé, et la seule façon de le visiter était enbarque. En 1979, lors de la construction dusecond barrage, le temple aurait étécomplètement immergé, il fallait le démonteret transporter sur un îlot voisine, l'îlot Aguilkya, situé à 300m en aval, au nord. Les travauxfurent effectués avec la participation de l'UNESCO, du ministère de la Culture égyptien, desservices d’archéologie du Caire, en 1974, durant deux ans L’après-midi, quelques minutes de felouque pour contourner l’ile Eléphantine, agrémentés par les chansons des enfants qui s’accroche aubateau, et nous voilà sur l'île Kitchener. Cette petite îleabrite un magnifique jardin botanique et porte le nom de sonfondateur.

Lord Kitchener (maréchal britannique et commandant en chef de l'armée égyptienne) reçutl'îlot en cadeau pour avoir écrasé une révolte mahdiste et libéré Khartoum en 1898.Amoureux de botanique, il couvrit l'île d'essences variées d'Afrique Equatoriale et d'Asie.La soirée sera calme et surtout au lit rapidement, car à nouveau « un lève-tôt ». Vendredi 1 avril Départ 04hrs du matin par convoi vers Abou Simbel, à travers 297 km de désert ! Lever de soleil superbe et petit dej’ dans le bus nous voilà arrivé 07h10’ aux plusbeaux temples à mes yeux de la croisière.Les temples, au pluriel, car il y a bien 2 sanctuaires différents àAbou Simbel, le grand temple de Meha, dédié à Horus et Ramsès II.et le petit temple d'Ibshek, dédié à Hathor et Néfertari. C'est en 1813 que le Suisse Burckhardt découvrit les premiers colosses du Grand Temple. Mais c'est quatre ans plus tard que l'Italien Giovanni Battista Belzoni dégagea l'entrée et put pénétrer dans le pronaos. David Roberts, peintre orientaliste visita le spéos vingt cinq ans après. Ses lithographies sont aujourd'hui un formidable témoignage du chef d'œuvre de Ramsès II, protégé par le sable pendant des siècles mais condamné à disparaître enquelques années...

Abou Simbel reste aujourd'hui l'emblème de la campagne de sauvegarde des temples de Nubie lancée par l'Unesco en 1960 ; la construction du dernier barrage, le Saad-el-Ali allait en effet faire disparaître à jamais ces sanctuaires antiques. Les travaux de déplacement des deux lieux de culte ont duré de 1964 à 1972. Ils auront nécessité le transport de plus de trois mille blocs découpés, certain allant jusqu'à 30 tonnes. Deux fois par an, le 22 Février et le 22 Octobre, les autorités touristiques organisent unecérémonie, parce que le premier rayon du soleil levant vient directement éclairer le fond dusanctuaire du grand temple d'Abou Simbel, illuminant ainsi la statue de Ramsès II.Tout n'est qu'artifice, certes, jusqu'à la colline,creuse, bétonnée qui n'est qu'un immense dômemétallique. Comme nous étions quasi les premiers sur place, on profitera de rentrer et sortir des 2 temples plusieurs fois, ce qui nous permettra d’admiré et de médité dans ces temples dédiés au soleil (la lumière) et la beauté. Je reste sans voix, car cela était époustouflant.

Les mensurations modernes des top-Modèles ! Le retour sera agrémenté par la vision de ‘’Fata Morgana’’ autrement dit par un mirage, dans le désert Nubien sous 40°c Ce voyage sera sans problèmes et je pourrais finir mon roman à l’aise durant le trajet, avant de regagner le bateau.Déjeuner à bord , et cependant la navigation vers lebarrage Esna et arrivé àLouxor en fin d’après midi.

Sur les rives, les gens s'activent à leurs tâchesquotidiennes. Rien ne semble avoir changé depuisdes millénaires. En arrière le désert de sableprogresse peu à peu.La fine équipe à l’heure de l’apéro dans le hall du navire. En pleine forme, comme d’habitudeon en profite pour se passer les coordonnées pour pouvoir se contactez plus tard avecéchanges de photos Pour l’avant dernière soirée, Diner de Gala et soirée folklorique avec danse du ventre et derviche tourneur. Tout comme dans les hôtels normaux, les repas à bord des croisières sur le Nil sont en général sous forme de buffet et incluent la nourriture chaude et froide avec une variété de cuisine locale et internationale.

Ici pour ce avant dernier diner, il sera servi,par Mohammed notre Garçon, à table.Ce dernier à été aux petits soins pour noustout au long de la croisière.Samedi 2 avril Le Temple de Louxor terminera notre croisière en ce qui concerne les excursions. Ce dernier est au cœur de la ville, nous y rendrons à pieds sollicité »s à nouveau de toute part par les vendeurs et les enfants. Elevé sous Aménophis III (XIVe siècle av. J.- C.) et Ramsès II (XIIIe siècle av. J.- C.), le temple de Louxor ne servait en fait qu'une fois l'an lorsque les statues des dieux thébains étaient sorties du temple d'Amon à Karnak pour célébrer Opet, la fête du Nouvel An. Le cortège empruntait alors ledromos, voie triomphale longue de 2,5 km bordée dit-on de 700 sphinx àtête humaine, aujourd'hui en grande partie enfoui sous la ville nouvelle.

Le dromos réapparaît juste à temps pour accueillir les visiteurs à l'entrée du site et les accompagner aux pieds de l'impressionnant pylône de Ramsès II gardé par trois colosses du pharaon. L'obélisque parisien doit se sentir vraiment seul depuis qu'il sait que jamais il ne rejoindra son alter ego Egyptien. En 1980, la France a en effet renoncé à ce cadeau offert par Mohammed Ali en… 1831, mais, hélas, il est toujours là !La vaste cour de Ramsès II est dominée par le minaret de la mosquée Abou el-Haggag.Illusion d'optique, mirage de l'histoire, puissance de la foi, la mosquée apparaît commesuspendue dans les airs portée par les colonnes millénaires en forme de papyrus. Partoutsur les murs, des scènes racontent le déroulement de la fête d'Opet, la procession desbarques solaires, le rituel compliqué et fastueux lié à cette cérémonie, unique moment del'année où le peuple pouvait voir les statues des trois dieux thébains Amon, Mout etMontou. L’après midi sera consacré à la mise ne place des valises pour le retour sur Bruxelles du lendemain, et on profitera des derniers rayons de soleil sur le pont jusqu’au couché du soleil sur le Nil.

Dimanche 3 AvrilLever à 05h00 pour le dernier petit déjeuner et lesremerciements aux personnels du bateau pour les bonssoins. Le départ en bus vers l’aéroport de Louxordirection Bruxelles avecNous avons passés nos derniers moments en Égypte assis au salon de l’aéroport du Caire,dans l’attente du vol BruxellesNous avons fait un voyage fantastique avec nos compagnons de croisière. Durant les dixjours qui venaient de passer, non seulement j’ai visité les Pyramides et les templespharaoniques, mais j’ai aussi beaucoup appris sur la fascinante histoire égyptienne. Toutes lesbonnes choses ont une fin, notre séjour en Égypte s'achève avec nostalgie et tristesse.

Nous avons tous fait un merveilleux voyage et on s'est dit qu'on reviendrait afin de visiter lereste du pays car il reste tant de choses à voir.Ce que nous retenons de ce voyage, c'est que l'Egypte est un pays riche dans tous les sens duterme. Riche d'une grande civilisation dont les égyptiens sont fiers et qu'ils aiment avecrespect. Riche en chaleur humaine et en chaleur tout court (Soleil). Riche en ressources et envitalité. C'est aussi un pays riche en spiritualité et l'omniprésence des mosquées et des églisesle démontrent bien. Cela lui donne un caractère sacré.L'Égypte est un pays unique au monde et où le temps semble ne pas avoir d'emprise sur leslieux, le temps semble même s'arrêter quand on est là bas. C'est comme si on avait fait unbond de milliers de siècles en arrière tout en étant en 2011! Ce pays allie sans complexeancienneté et modernité. On retient également autre chose de ce voyage, c'est l’avis deCléopâtre (Suzanne) que la mystérieuse Égypte est loin d'avoir livré tous ses secrets! Maa es-salaama - Au revoir l'Egypte Le 17 avril 2011 Viviane & Pierre


Like this book? You can publish your book online for free in a few minutes!
Create your own flipbook