Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) - NewspaperDirect

Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) Page 71 Table des matières < Article précédent Article suivant > Skinner suspendu par le Rouge et Or QUÉBEC | ( Agence QMI) Le Rouge et Or de l’Université Laval a suspendu son quart- arrière Alex Skinner pour trois rencontres, hier, relativement à une altercation

survenue à la sortie du bar La Commission des liqueurs, du quartier Sainte- Foy, le 28 juin 2013. Skinner, qui a plaidé non coupable aux accusations de voies de fait avec lésions portées contre lui, ratera donc le match d’ouverture de la nouvelle saison contre les Carabins de l’Université de Montréal, le 6 septembre, au PEPS. CODE D'ÉTHIQUE « À l’aube de la nouvelle saison, le conseil d’administration du club,

de concert avec le personnel d’entraîneurs, a décidé de sanctionner l’étudiantathlète. Son implication dans ces incidents, contrevenant ainsi au Code d’éthique et aux règlements, lui vaut une suspension de trois matchs à subir dès le début du calendrier de compétition » , a indiqué l’organisation dans un bref communiqué. RAPPEL DES FAITS Lors des événements en question, Skinner, le joueur de ligne défensive Michel Savard et sa copine Leila Barlovits Martel ont eu

maille à partir avec un policier de Lévis. L’homme, qui n’était pas en fonction ce soir- là, a été sévèrement blessé dans la bagarre.

Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) Table des matières Toutes les pages < Page 71 Page 73 > Page 72 La victoire d’une pionnière La nouvelle reine de la Coupe Rogers avait à peine 19 ans quand elle s’est hissée dans le top 10 de la WTA. Un fait d’armes incroyable pour une joueuse... LA DOUBLE FAUTE On en a déjà largement parlé,

mais il était impossible de passer

sous silence la défaite prématurée de la favorite du public montréalais. Parce que non seulement a-t-elle été battue... L’AS DE LA SEMAINE Une grande joueuse d’une classe encore plus grande. Le public lui a rapidement pardonné ses absences, et avec raison, car non seulement Venus Williams s’est donnée en spectacle à la...

Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) Page 72 Table des matières < Article précédent Article suivant > La victoire d’une pionnière Agnieszka radwanska est une des personnalités les plus en vue en pologne, une athlète dont la notoriété dépasse de beaucoup le

sport qu’elle pratique. AgnieszkA RAdwAnskA La nouvelle reine de la Coupe Rogers avait à peine 19 ans quand elle s’est hissée dans le top 10 de la WTA. Un fait d’armes incroyable pour une joueuse originaire d’un pays où l’on ne produit généralement pas de champions de tennis. En six ans, elle n’a jamais quitté l’élite. Le titre un peu inattendu qu’elle a glané à Montréal était le 14e de sa carrière, une carrière bâtie

sur un jeu anachronique, tout en finesse et en intelligence, qui en fait la Martina Hingis de la présente décennie. Quatorze titres, donc, ainsi qu’un deuxième rang mondial détenu pendant quelques semaines. À un certain moment, Radwanska n’a été qu’à une victoire d’accéder au trône du circuit féminin – en 2012, à Wimbledon –, et ce, malgré la pression engendrée par le fait d’être l’unique championne de son pays. lA prEmiÈrE

Son tennis, si atypique selon les critères modernes, c’est avec son père Robert qu’elle l’a développé dans sa Cracovie natale, là où les courts de tennis ne sont pas légion. Là-bas, son statut unique fait d’elle un aimant à commanditaires. Pour preuve, elle figurait l’an dernier au huitième rang des athlètes féminines les mieux payées au monde, selon Forbes. Radwanska est la seule Polonaise dans le top 100. Seulement huit joueuses du pays se sont hissées parmi les 100 meilleures au monde dans l’histoire de la WTA, dont sa cadette Urszula.

Aussi promise à un grand avenir, sa jeune soeur a chuté lourdement au classement après avoir atteint la 29e place, il y a deux ans. S’il faut en ajouter à sa longue liste de réalisations, «Aga», de son surnom, était devenue en 2007 la première Polonaise à remporter un titre WTA. Cinq ans plus tard, elle a été la première joueuse du pays à se qualifier pour la finale d’un tournoi du Grand Chelem dans l’ère moderne. lA prEssion « Je suis la première joueuse au

pays à accomplir certaines choses, et c’est ainsi depuis les rangs juniors, racontait Radwanska dimanche, après sa victoire. C’est un peu difficile, surtout à cause de la pression. « Mais je pense qu’au cours des dernières années, j’ai bien géré ça. J’essaye de ne pas y penser. Je tente simplement de faire ce que j’ai à faire, et de le faire de mon mieux. » La situation de Radwanska n’est pas sans rappeler celle d’une certaine Eugenie Bouchard. À l’instar de la Polonaise, la Québécoise a écrit à elle seule de

longs pans de l’histoire du tennis dans son pays. Elle accumule les premières. Elle attire les commanditaires. Elle est entrée dans le top 10 sensiblement au même âge et, en se fiant à ce qu’on a vu jusqu’à maintenant, la suite risque d’être aussi glorieuse, sinon plus. DirE non Le truc pour se maintenir au sommet quand on est sollicité de partout, selon la Polonaise? Dire non. Et le dire souvent.

«J’ai vite appris à refuser les deman- des, a expliqué la joueuse, sourire en coin, au sujet des entrevues et activités promotionnelles. Je pense qu’il faut savoir dire non beaucoup.» Mais ce n’est certainement pas facile. Surtout quand on est la plus principale tête d’affiche des tournois disputés dans son pays. En Pologne, ils se sont succédé au fil des ans: Sopot, Varsovie, Katowice… Radwanska n’a jamais été couronnée chez elle. La pression

était-elle trop forte? Peut-être. Jouer chez soi, ce n’est pas comme jouer à des kilomètres de la maison. Ça implique un nombre accru d’entrevues, de séances d’autographes et de voir son visage sur les affiches de promotion partout dans le stade. Dimanche, Radwanska, la pionnière, a été couronnée sur les terres d’une autre pionnière. Après sa défaite précipitée, Bouchard a reconnu avoir croulé sous la pression. Mais à voir «Aga» gonfler son palmarès, il y a de l’espoir pour les filles qui portent sur les épaules les espoirs d’une nation.

Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) Page 72 Table des matières < Article précédent Article suivant > LA DOUBLE FAUTE Eugenie Bouchard On en a déjà largement parlé, mais il était impossible de passer sous silence la défaite prématurée de la favorite du public montréalais.

Parce que non seulement a-t-elle été battue d’entrée, mais elle l’a été de façon inattendue. Évincée dès son premier match, la Québécoise nous a à peine permis d’y croire le temps d’une manche. Après qu’elle eut perdu le set initial 6-0, certains comparaient sa débandade à l’affront subi par le Brésil en demi- finale de la Coupe du monde de soccer. Sans aller aussi loin, disons que ce revers cuisant restera longuement marqué dans la mémoire des gens massés dans les estrades du stade Uniprix ce soir-là. Mais elle rebondira. Promis.

Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) Page 72 Table des matières < Article précédent Article suivant > L’AS DE LA SEMAINE venus Williams Une Venus grande promet de revenir dans joueuse deux ans. Croisons-nous les doigts pour que le d’une poids des années ne la classe rattrape pas d’ici là.

encore plus grande. Le public lui a rapidement pardonné ses absences, et avec raison, car non seulement Venus Williams s’est donnée en spectacle à la Coupe Rogers, mais elle s’est aussi avérée une athlète incroyablement gentille et généreuse. À 34 ans, l’Américaine en était à une première présence à Montréal. Et la finaliste de la Coupe Rogers avoue avoir été charmée par le tournoi et par la ville, qui est du même coup devenue sa favorite sur le circuit.

Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) Table des matières Toutes les pages < Page 72 Page 74 > Page 73 venus Williams de retour dans le top 20 Williams a progressé de six rangs pour effectuer un retour dans le top 20 de la WTA. À Montréal, elle a atteint sa troisième finale de la saison, elle qui... Françoise Abanda



marraine de la Coupe le Blanc SAINT-HYACINTHE | (Agence QMI) Quelques jours seulement après son élimination à la Coupe Rogers, Françoise Abanda était à Saint-Hyacinthe hier en tant que marraine de la Coupe Le Blanc. Abanda...

Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) Page 73 Table des matières < Article précédent Article suivant > venus Williams de retour dans le top 20 ST. PETERBURG, Floride | ( Agence qmi) Finaliste à la Coupe rogers, l’Américaine Venus Williams a atteint la

20e place du classement mondial, tandis qu’Eugenie Bouchard est demeurée huitième hier, malgré sa défaite au deuxième tour. PHOTO D'ARCHIVES Après Avoir Atteint lA finAle À MontréAl dimAnche, l’AméricAine Venus WilliAms A progressé de six rAngs pour effectuer un retour dAns le top 20 de lA WTA. Williams a progressé de six rangs pour effectuer un retour dans le top 20 de la WTA. À Montréal, elle a atteint sa troisième finale de

la saison, elle qui compte un titre à son palmarès en 2014, gagné à Dubaï. Sa cadette Serena, qu’elle a battue en demi-finale, est demeurée en première position. Derrière elle, la Roumaine Simona Halep a progressé d’un échelon, deuxième, tandis que la Chinoise Li Na a reculé d’un rang, troisième. Ces deux joueuses n’étaient pas à Montréal. La Tchèque Petra Kvitova et la Polonaise Agnieszka Radwanska, couronnée dimanche, complètent dans l’ordre le top 5. PETITE BAISSE POUR RAONIC

Défaite d’entrée à la Coupe Rogers, la Québécoise Aleksandra Wozniak a tout de même connu une hausse d’une place, 96e. La Canadienne Sharon Fichman a pour sa part perdu 14 positions, 114e, elle qui n’a pu jouer à Montréal en raison d’une blessure. Battu par l’Espagnol Feliciano Lopez en quarts de finale de la Coupe Rogers de Toronto, le Canadien Milos Raonic a chuté d’une place au classement masculin, septième. Son compatriote Vasek Pospisil, défait au premier tour, s’est pour sa part retrouvé 46e, après avoir perdu 19 rangs.

Champion du tournoi, le Français JoWilfried Tsonga est monté de cinq positions pour renouer avec le top 10, au 10e échelon.

Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) Page 73 Table des matières < Article précédent Article suivant > Françoise Abanda marraine de la Coupe le Blanc SAINT-HYACINTHE | (Agence QMI) Quelques jours seulement après son élimination à la Coupe

Rogers, Françoise Abanda était à Saint-Hyacinthe hier en tant que marraine de la Coupe Le Blanc. Abanda s’est dite satisfaite de son passage dans le tableau principal à Montréal. La Québécoise de 17 ans s’est inclinée au premier tour devant la Slovaque Dominika Cibulkova en trois manches de 6-1, 3-6 et 6-0. La jeune sensation a d’ailleurs décidé de faire le saut chez les professionnels dès l’année prochaine. « J’ai passé une très belle semaine à ma première

participation au tableau principal à Montréal, s’est- elle réjouie. Je suis contente d’avoir livré un spectacle sur le court central. « C’était une défaite, mais c’est un match dont je vais apprendre beaucoup. Je vais en tirer beaucoup dans le futur. « C’est un tournoi ( Coupe Le blanc) auquel j’ai participé quand j’étais très jeune; c’était un de mes premiers tournois internationaux. Je suis vraiment contente de revenir ici. »

Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) Table des matières Toutes les pages < Page 73 Page 75 > Page 74 Une performance in Achevée En fait, par moment, on a cru que le XI montréalais était en mesure d’offrir une bonne performance, mais jamais n’a-t-il pu le faire sur les 90 minutes du match.... S’AdApter Aux rigueurs de la MLS

En MLS, la préparation physique

revêt une importance bien particulière. Avec les longs voyages, beaucoup plus fréquents que dans les championnats anglais ou espagnols, pour ne nommer qu’eux, la difficulté...

Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) Page 74 Table des matières < Article précédent Article suivant > Une performance in Achevée le match de samedi dernier à philadelphie ressemblait à

plusieurs autres que l’impact a joués cette saison. PHOTO D'ARCHIVES Andres Romero A tout tenté fAce À l’Union de PhilAdelphie, sAmedi dernier. En fait, par moment, on a cru que le XI montréalais était en mesure d’offrir une bonne performance, mais jamais n’a-t-il pu le faire sur les 90 minutes du match. Ajoutez à cela que l’Union est

une équipe qui, jusque-là, ne faisait pas partie du portrait pour les séries éliminatoires et vous avez une performance que je qualifierais d’inachevée. L’équipe en bleu-blanc-noir était venue pour jouer… juste pour jouer. Il ne faut pas se surprendre dans les circonstances qu’on cherche toujours une première victoire sur les terrains adverses. LA DERNIÈRE LIGNE En défense, malgré plusieurs bons coups dans le match, la performance du dernier rempart

montréalais a aussi comporté des trous en Pennsylvanie. Les deux buts accordés ont été le résultat d’erreurs flagrantes d’une équipe en mal de confiance. Sur le premier, trois joueurs d’expérience ont commis des erreurs d’exécutions qui se sont avérées fatales. Tour à tour, Patrice Bernier, Krzyztof Krol et Troy Perkins ont transformé un jeu de routine en action dangereuse. Deux mauvais coups de tête et un manque de communication de la part du

gardien et c’était déjà 1 à 0 à la 12e minute. On pourrait répéter ce qu’on a déjà dit d’un but qu’ils avaient encaissé de la même façon un peu plus tôt cette saison contre Kansas City; notez bien, les jeunes joueurs surtout: le gardien doit prendre la décision le plus rapidement possible. Il fait face au jeu, c’est donc lui le patron. Et le défenseur doit se mettre entre le joueur adverse et le ballon, lui bloquer la route. C’est un jeu de base défensivement. pour nous réjouir un peu

En somme, la performance de l’Impact a été inachevée. Partielle au niveau physique, techniquement et tactiquement incomplète et psychologiquement insuffisante. Malgré tout, on peut retirer quelques éléments positifs de cette prestation. D’abord, la performance de Maxim Tissot. Ce dernier a marqué son deuxième but de la saison sur une action beaucoup plus difficile qu’elle ne l’a laissé paraître.

Le synchronisme pour rejoindre la longue passe de Andres Romero était parfait et le plat du pied – en une seule touche – était tout aussi impeccable. L’entrée d’Anthony Jackson- Hamel a aussi apporté de la vigueur et nous a donné un peu d’espoir pour l’avenir. D’ailleurs, je répète ce que j’ai déjà dit dans cette chronique: la MLS devrait servir aux joueurs qui formeront l’effectif la saison prochaine. Ceux- ci doivent convaincre le personnel technique qu’ils méritent de faire partie de la

solution au problème du club. En Ligue des champions, on doit faire jouer les meilleurs joueurs indépendamment de leur statut.

Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) Page 74 Table des matières < Article précédent Article suivant > S’AdApter Aux rigueurs de la MLS En PHOTO D'ARCHIVES MLS, la FrAnk KlopAs préparation physique revêt une importance bien particulière.

Avec les longs voyages, beaucoup plus fréquents que dans les championnats anglais ou espagnols, pour ne nommer qu’eux, la difficulté de gérer les efforts d’un effectif est décuplée. De plus, l’horaire ne cesse de varier. Parfois les joueurs de Frank Klopas jouent le samedi, d’autres fois le dimanche et c’est sans compter les matchs de semaine qui se présentent de façon irrégulière. Une bonne forme physique a une influence directe sur la

technique des joueurs, la tactique et sur leur état psychologique. En trois ans de MLS, l’Impact peine toujours à trouver la bonne recette. Encore là, une impression d’inachevé demeure. L’an dernier, l’équipe avait piqué du nez, à bout de souffle déjà à la mi-saison. D’ici la fin de la saison, c’est un sujet sur lequel je reviendrai. Après tout ce temps, il faudra bien que les troupiers de Klopas trouvent une façon qui convienne aux rigueurs du circuit nord-américain.



Le Journal de Montreal (12 Aug 2014) Table des matières Toutes les pages < Page 74 Page 76 > Page 75 1,4 M$ pourla maisonde brian gionta Selon le site Dans Les Coulisses, la maison de l'ancien capitaine du Canadien, Brian Gionta, serait à vendre pour la modique somme de 1 450 000$. Située à Brossard, la... Carey Price se



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